GZA
@gza
J'irais chez une tante, et elle me laissait jouer de la musique, et elle avait un album «The Last Poets». À cette époque, les albums n'avaient pas des autocollants explicites sur eux, donc certaines chansons avaient des blasphèmes sur eux, et j'ai été ému par cela. J'écoutais ces chansons, le flux, et je les équilibrais d'avant en arrière avec les trucs de la pépinière que j'avais.