La citation analysée
Camarades, il n'y a pas de véritable révolution sociale sans la libération des femmes. Que mes yeux ne voient jamais et que mes pieds ne m'emmènent jamais dans une société où la moitié des gens sont retenues en silence. J'entends le rugissement du silence des femmes. Je sens le grondement de leur tempête et je sens la fureur de leur révolte.
Camarades, il n'y a pas de véritable révolution sociale sans la libération des femmes. Que mes yeux ne voient jamais et que mes pieds ne m'emmènent jamais dans une société où la moitié des gens sont retenues en silence. J'entends le rugissement du silence des femmes. Je sens le grondement de leur tempête et je sens la fureur de leur révolte.