La citation analysée
L'opinion d'Aristote... que les comètes n'étaient rien d'autre que des vapeurs sublunaires ou des météores aériens... prévalait si loin parmi les Grecs, que cette partie la plus sublime de l'astronomie était complètement négligée ; puisque personne ne pourrait penser qu'il vaille la peine d'observer et de rendre compte des chemins errants et incertains des vapeurs flottant dans l'Ether.
L'opinion d'Aristote... que les comètes n'étaient rien d'autre que des vapeurs sublunaires ou des météores aériens... prévalait si loin parmi les Grecs, que cette partie la plus sublime de l'astronomie était complètement négligée ; puisque personne ne pourrait penser qu'il vaille la peine d'observer et de rendre compte des chemins errants et incertains des vapeurs flottant dans l'Ether.