La citation analysée
Et quand mon corps cessera, mon âme sera toujours à toi, Claire ? Je jure par mon espoir du ciel, je ne serai pas séparé de toi." Le vent a agité les feuilles des marronniers à proximité, et les parfums de la fin de l'été se sont élevés autour de nous; pin et herbe et fraises, pierre réchauffée par le soleil et de l'eau fraîche, et l'odeur piquante et musquée de son corps à côté du mien. « Rien n'est perdu, Sassenach ; seulement changé. — C'est la première loi de la thermodynamique, dis-je en m'essuyant le nez. — Non, dit-il. C'est la foi.
Et quand mon corps cessera, mon âme sera toujours à toi, Claire ? Je jure par mon espoir du ciel, je ne serai pas séparé de toi." Le vent a agité les feuilles des marronniers à proximité, et les parfums de la fin de l'été se sont élevés autour de nous; pin et herbe et fraises, pierre réchauffée par le soleil et de l'eau fraîche, et l'odeur piquante et musquée de son corps à côté du mien. « Rien n'est perdu, Sassenach ; seulement changé. — C'est la première loi de la thermodynamique, dis-je en m'essuyant le nez. — Non, dit-il. C'est la foi.