La citation analysée
O que toi qui passe dans nos vallées dans ta force, freinez vos courses féroces, apaiser la chaleur qui se flamme de leurs grands narines! Toi, ô été, souvent piqué ici ta tente dorée, et souvent sous nos chênes, j'ai dormi, tandis que nous voyions avec joie tes membres brumeux et vos cheveux florissants.
O que toi qui passe dans nos vallées dans ta force, freinez vos courses féroces, apaiser la chaleur qui se flamme de leurs grands narines! Toi, ô été, souvent piqué ici ta tente dorée, et souvent sous nos chênes, j'ai dormi, tandis que nous voyions avec joie tes membres brumeux et vos cheveux florissants.