Lisa Genova
@lisaGenova
Même alors, plus d'un an plus tôt, il y avait des neurones dans sa tête, non loin de ses oreilles, qui étaient étranglées à mort, trop tranquillement pour qu'elle les entende. Certains diraient que les choses se passaient si bien que les neurones eux-mêmes ont initié des événements qui conduiraient à leur propre destruction. Qu'il s'agisse d'un meurtre moléculaire ou d'un suicide cellulaire, ils n'ont pas pu l'avertir de ce qui se passait avant leur mort.