Jack London
@jackLondon
Si le Cub pensait dans l'homme, il aurait pu incarner la vie comme un appétit vorace, et le monde comme un lieu dans lequel allait une multitude d'appétits, poursuivant et poursuivi, chassant et chassant, mangeant et mangeant, le tout en cécité et la confusion, avec violence et désordre, un chaos de gourmandise et de massacre, gouverné par hasard, impitoyable, planifié, sans fin.