Libba Bray
@libbaBray
J'ai l'impression d'avoir avalé un Magritte. Comme à l'intérieur, je suis fait de nuages et d'yeux flottants, de pommes vertes et d'hommes qui montent lentement dans des chapeaux de joueur.
@libbaBray
J'ai l'impression d'avoir avalé un Magritte. Comme à l'intérieur, je suis fait de nuages et d'yeux flottants, de pommes vertes et d'hommes qui montent lentement dans des chapeaux de joueur.
@duaneMichals
Si je me livre et me rend à la mémoire, je peux toujours sentir le nœud d'excitation qui m'a saisi alors que je transformais le coin en rue Mimosas, à la recherche de la maison de René Magritte. C'était en août 1965. J'avais 33 ans et sur le point de rencontrer l'homme dont les peintures surréalistes profondes et pleines d'esprit avaient contredite mes hypothèses sur la photographie.
@billyConnolly
J'aime Salvador Dali et René Magritte. J'aime aussi l'artiste écossais John Byrne, un autre surréaliste.
@josephOneill
Parfois, marcher dans des parties ombragées de Manhattan, c'est être inséré dans un Magritte: la rue est la nuit pendant que le ciel est le jour.
@sloaneCrosley
J'ai pensé à un rapport de lycée que j'ai fait sur l'artiste belge René Magritte et à une citation que j'ai lue une fois de lui, quelque chose sur sa promenade préférée étant celle qu'il a emmenée dans sa propre chambre. Il a dit qu'il n'avait jamais compris la nécessité pour les gens de voyager parce que toute la poésie et la perspective que vous allez déjà vous procurer. Anais Nin avait la même idée. Nous voyons le monde tel que nous sommes. Donc, si c'est le même cerveau que nous apportons avec nous chaque fois que nous ouvrons les yeux, quelle est la différence si nous regardons une crique d'île ou une montre de poche?
@sloaneCrosley
J'ai pensé à un rapport de lycée que j'ai fait sur l'artiste belge René Magritte et à une citation que j'ai lue une fois de lui, quelque chose sur sa promenade préférée étant celle qu'il a emmenée dans sa propre chambre. Il a dit qu'il n'avait jamais compris la nécessité pour les gens de voyager parce que toute la poésie et la perspective que vous allez déjà vous procurer. Anais Nin avait la même idée. Nous voyons le monde tel que nous sommes. Donc, si c'est le même cerveau que nous apportons avec nous chaque fois que nous ouvrons les yeux, quelle est la différence si nous regardons une crique d'île ou une montre de poche?
@dumitruTepeneag
Notre mouvement onirisme était une synthèse entre le fantastique romantique et le surréalisme. Dimov et moi avons rejeté l'écriture automatique. Nous avons adoré les peintres surréalistes: Chirico, Magritte, Tanguy et surtout Brauner (également roumain), qui n'ont jamais respecté les lois que le Breton a imposées dans ses manifestes.