B. C. Forbes
@bCForbes
Thomas Edison ne lit pas pour le divertissement mais pour augmenter sa boutique de connaissances. Il suce des informations aussi impatientes que l'abeille suce le miel des fleurs. Le monde entier, pour ainsi dire, verse sa sagesse dans son esprit. Il le considère comme une perte de temps criminel pour passer par l'épreuve lente et douloureuse de vérifier les choses pour soi si ces mêmes choses ont déjà été vérifiées et mises à disposition par d'autres. Dans l'esprit d'Edison, la connaissance est le pouvoir.