La chute de Toulon

Le Busard cendré est l'un des rapaces les mieux suivis pendant sa reproduction en France. A cela deux raisons essentielles : d'une part, c'est un rapace d'une rare élégance dont les observateurs deviennent souvent passionnés et, d'autre part, il est menacé par les activités humaines car il niche dans les champs de céréales. Chaque année, sans l'intervention des protecteurs, plus de la moitié de ses jeunes seraient détruits lors des moissons avant leur envol. C'est pourquoi près de mille nichées sont suivies annuellement dans de nombreuses régions de France, et ce depuis plus de dix ans. Un cas unique parmi les oiseaux ! Plusieurs études scientifiques sont menées depuis longtemps sur cet oiseau. L'auteur de ce livre continue son étude en Charente-Maritime : entre 20 et 60 couples sont suivis chaque année, soit plus de 700 nids depuis plus de vingt ans.

Le busard cendré

Depuis le milieu des années 70, la science économique ne jouit plus de la même considération. Cette crise de confiance a poussé et pousse l'économiste à porter un double regard critique sur sa propre pratique scientifique et sur le monde environnant, d'où la nécessité de développer et d'affiner l'analyse des questions d'éthique sociale posées.

La philosophie économique

Ces trois volumes de Leçons de philosophie économique ont pour principal objectif d'attester de l'existence et de la profondeur d'une culture commune aux économistes et aux philosophes.
Bien que généralement ignorée sous l'empire des contraintes disciplinaires, cette culture en partage transparaît dans la liste foisonnante des sujets abordés parallèlement par les uns et par les autres.
Pour aider à sa récapitulation, nous avons privilégié trois interfaces particulièrement denses entre économie et philosophie, auxquelles chacun des trois tomes de ces Leçons est tour à tour consacré.
Le présent volume est centré sur la troisième d'entre elles, à l'articulation entre Science économique et philosophie des sciences.

Leçons de philosophie économique - Tome 3, Science économique et philosophie des sciences

La philosophie économique a aujourd'hui droit de cité dans notre univers académique. Elle est conçue comme un lieu de rencontres entre disciplines séparées et non comme une tentative de morceler encore davantage un espace intellectuel déjà trop fragmenté. Dans un souci de symétrie et d'équilibre interdisciplinaire, la philosophie économique est synthétiquement articulée selon le triptyque : économie politique et philosophie sociale, économie normative et philosophie morale, science économique et philosophie des sciences. Le présent volume est le quatrième de la série Philosophie économique. Il s'inscrit résolument dans le prolongement des trois premiers, en prenant appui sur la démarche synthétique qui a précédé. Mais il inaugure cette fois une approche analytique, en traitant d'un thème particulier : La pauvreté dans les pays riches. Ce numéro 4 appelle donc toute une série de successeurs, aussi longue que sont nombreux les thèmes majeurs dont la " philosophie économique " doit se saisir.

Leçons de philosophie économique - Tome 4, La pauvreté dans les pays riches

Ces trois volumes de Leçons de philosophie économique ont pour principal objectif d'attester de l'existence et de la profondeur d'une culture commune aux économistes et aux philosophes. Bien que généralement ignorée sous l'empire des contraintes disciplinaires, cette culture en partage transparaît dans la liste foisonnante des sujets abordés parallèlement par les uns et par les autres. Pour aider à sa récapitulation, nous avons privilégié trois interfaces particulièrement denses entre économie et philosophie, auxquelles chacun des trois tomes de ces Leçons est tour à tour consacré. Le présent volume est centré sur la deuxième d'entre elles, à l'articulation entre Economie normative et philosophie morale.

Leçons de philosophie économique - Tome 2, Economie normative et philosophie morale

Par tradition militante, mêlée à un vieux fond de culture marxiste, les défenseurs de l'économie sociale présentent volontiers celle-ci comme "une alternative au capitalisme". C'est ce que nous appelons la stratégie du modèle. Leur mise en perspective de l'économie sociale nous paraît à la fois erronée et contreproductive. Erronée, car ce qui est .fondamentalement en cause n'est pas tant le capitalisme que l'idéologie néolibérale qui le soutient aujourd'hui. Contreproductive, parce qu'au lieu de s'épuiser dans une vaine lutte conte le capitalisme, l'économie sociale peut jouer un rôle crucial dans l'émergence de la société de demain : en nous montrant qu'il est possible "d'entreprendre autrement", elle nous démontre que la société néolihérale qui se met en place n'est pas une finalité. C'est ce que nous appelons la stratégie de l'exemple.

L'économie sociale - La stratégie de l'exemple

Ces trois volumes de Leçons de philosophie économique ont pour principal objectif d'attester de l'existence et de la profondeur d'une culture commune aux économistes et aux philosophes. Bien que généralement ignorée sous l'empire des contraintes disciplinaires, cette culture en partage transparaît dans la liste foisonnante des sujets abordés parallèlement par les uns et par les autres. Pour aider à sa récapitulation, nous avons privilégié trois interfaces particulièrement denses entre économie et philosophie, auxquelles chacun des trois tomes de ces Leçons est tour à tour consacré. Le présent volume est centré sur la première d'entre elles, à l'articulation entre Economie politique et philosophie sociale.

Leçons de philosophie économique - Tome 1, Economie politique et philosophie sociale

Quelle est la place de l'idéologie en économie ? Où sont passées les doctrines dont on enseignait en faculté la genèse et le contenu avant que le cours d'" histoire des doctrines économiques " ne soit rebaptisé " histoire de la pensée économique " ? Faut-il admettre que l'économie ne soit plus que science économique, comme le suggère l'intitulé officiel et académique qui la désigne désormais ? La croyance selon laquelle l'économique est tout entière aspirée par un idéal de scientificité, qui lui permettra de se débarrasser des biais idéologiques ou des adhérences doctrinales, est une idée reçue qui doit beaucoup à l'influence de Marx et au magistère de Schumpeter.
Mais une autre perspective se dessine si l'idéologie et la doctrine sont requestionnées dans des termes nouveaux, mieux à même de rendre compte du travail de l'économiste contemporain. Pour illustrer le caractère opératoire de cette autre façon de voir, nous revisiterons les oeuvres de Marx, Keynes et Hayek, à l'aide des concepts d'idéologie et de doctrine précédemment reformulés. Nous serons alors conduits à revendiquer pour l'économique un statut bien plus ambitieux que celui de science auquel certains voudraient la voir réduite : celui de discipline.

La chute de Toulon

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