De la suisse ; journal de von zinzendorf ; septembre 1764

Le présent volume réunit les textes dans lesquels s'élabore la pensée politique novatrice de Rousseau. En quête de la cité juste, il cherche à établir les conditions théoriques assurant l'autonomie de l'individu. L'appareil critique éclaire les références nourrissant ses écrits tout en soulignant son originalité au sein des Lumières.

Oeuvres politiques

De ses promenades philosophiques à ses errances bucoliques, Jean-Jacques Rousseau a toujours témoigné d'une véritable passion pour l'herborisation. Entre 1771 et 1773, il rédige huit lettres élémentaires sur la botanique, adressées à Madame Delessert, à l'usage de sa jeune fille Madelon. Ces lettres, l'une des oeuvres ultimes de sa vie avec les Rêveries du promeneur solitaire, eurent un retentissement européen, au début du XIXe siècle. Véritable invitation à l'observation des fleurs, le projet de Rousseau dépasse la pédagogie. Sous sa plume, la description s'élève au rang d'art, la contemplation au statut de science. Liliacées, crucifères, papilionacées, ombellifères dessinent un herbier poétique.

Atlas de botanique élémentaire

Piccola biblioteca filosofica LaterzaA cura di A. VisalberghiL'"Emilio", insieme al "Contratto sociale" l'opera più famosa e più diffusa di Jean-Jacques Rousseau, fu pubblicato nel 1762. Trascorsi oltre due secoli, nulla di Rousseau è andato perduto. I temi fondamentali della sua ricerca sono ancora attualissimi; anzi, hanno conosciuto una vitalità straordinaria anche nei nostri anni, quando si è avvertita universalmente la necessità e l'urgenza di difendere la naturalità dell'uomo dalle sovrastrutture che minacciano di soffocarla.

Emilio

Correspondance générale - Tome 17

Culturellement, conjointement à la pensée du droit et des codes juridiques, l'Europe est conduite à penser la question de la paix, fondamentale pour le sens même des institutions humaines. Un des auteurs les plus connus du XVIIIe siècle, l'abbé de Saint-Pierre, s'est longuement penché sur ce problème faisant fi les railleries de ses contemporains. Rousseau, à moitié par choix, à moitié parce que c'est une sorte de tâche qui lui a été confiée, doit fournir des versions aisément lisibles de ces textes savants. Mais notre auteur ne peut se contenter de simples résumés. Il fournit également ce qui fait l'objet du présent ouvrage - son opinion sur l'idée de pain perpétuelle et donc à propos des rapports internationaux. Cet avis est critique, précis et rassemble à lui seul les objections les plus fondamentales. En ce sens, Rousseau, indépendamment de l'histoire de la philosophie et de l'avis de Kant sur ce sujet, insiste sur la grandeur de la paix, sa nécessité mais également sur sa fragilité, voire même sur son impossibilité : quel miracle pourrait amener un puissant à renoncer à sa puissance, à se soumettre à un ordre de droit et à respecter le devoir, essence même de la loi ? Nous voudrions, dans cet ouvrage, rendre compte de la pertinence de la pensée de Rousseau, intimement liée à ses plus grands écrits politiques, mais également montrer en quoi l'auteur fournit des lignes directrices afin de lire les rapports contemporains entre les Etats.

Jugement sur le projet de paix perpétuelle de l'abbé de Saint-Pierre

Collection complète des oeuvres de J.-J. Rousseau, Citoyen de Genève - Tome IV

«Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi.»Dans ces quatre premiers livres de ses Confessions, Rousseau raconte sa jeunesse, de sa naissance (1712) jusqu'à l'âge de 19 ans (1731). Il y retrace son enfance difficile à Genève - lui, le fils d'un modeste horloger, orphelin de mère - et sa fuite pour échapper à son milieu ; ses voyages ; enfin sa rencontre providentielle avec Mme de Warens, une femme plus âgée dont il tombe immédiatement amoureux. Ce sera pour lui une nouvelle naissance, et l'entrée dans l'âge adulte.Plus de trente ans après, Rousseau se penche sur Jean-Jacques. Il raconte ses chagrins d'enfant, ses joies d'adolescent, avoue ses petits larcins («j'ai donc été fripon»), revit ses premiers émois amoureux, replonge dans sa découverte éblouie de la lecture, qui le sauve de l'ennui («je ne choisissais point : je lisais tout avec une égale avidité»). Il fait, en somme, le bilan de son apprentissage de la vie. Dans cette extraordinaire quête d'une identité, véritable roman des origines, Rousseau se raconte, Rousseau se réinvente.

Les confessions - livres i a iv

If humans are benevolent by nature, how do societies become corrupt? And how do governments founded upon the defense of individual rights degenerate into tyranny? These are the questions addressed by Jean-Jacques Rousseau's Discourse on the Origin of Inequality, a strikingly original inquiry into much-explored issues of 18th-century (and subsequent) philosophy: human nature and the best form of government.Rousseau takes an innovative approach by introducing a "hypothetical history" that presents a theoretical view of people in a pre-social condition and the ensuing effects of civilization. In his sweeping account of humanity's social and political development, the author develops a theory of human evolution that prefigures Darwinian thought and encompasses aspects of ethics, sociology, and epistemology. He concludes that people are inevitably corrupt as a result of both natural (or physical) inequalities and moral (or political) inequalities.One of the most influential works of the Enlightenment, the Discourse on the Origin of Inequality offers a thought-provoking account of society's origins and a keen criticism of unequal modern political institutions.

De la suisse ; journal de von zinzendorf ; septembre 1764

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