Maitres et valets dans la comedie francaise du xviiie siecle

Malraux avait le sens de la beauté, de l'aventure, de la politique, du romanesque... et de la formule ! "J'ai appris aussi qu'une vie ne vaut rien, mais que rien ne vaut une vie...", écrit-il dans Les Conquérants ; ou bien "L'audio-visuel oriente ce qu'il prétend rapporter" (L'Homme précaire et la littérature) ; mais aussi, dans L'Espoir, "Quand on contraint une foule à vivre bas, ça ne la porte pas à penser haut" ; sans compter "J'écris pour posséder mes songes" dans Royaume farfelu. Ca claque, ça tonne, ça donne à penser : ce parcours dans toute l'oeuvre malrucienne rassemble des pépites qu'on s'étonne à peine de trouver toujours d'actualité.

Les plus belles fulgurances d'André Malraux

Cet ouvrage scrute l'intertextualité des deux romanciers en dégageant la figure d'un André Malraux théoricien de la littérature dostoïevskienne. Réunir ses analyses philosophiques, esthétiques et formalistes permet de restituer l'essai sur son daïmon romanesque qu'André Malraux n'a pu achever.

Dostoïevski, démon de Malraux

Le bon sauvage

Résonances est une collection qui entend offrir l'essentiel des connaissances indispensables et incontournables permettant l'approche et l'étude efficace d'œuvres littéraires.

Maitres et valets dans la comedie francaise du xviiie siecle

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