Quand j'avais cinq ans, je m'ai tue. le coeur sous le rouleau compresseur

Hoover sears, clown professionnel, anime les anniversaires - avec une certaine lassitude.
 Le jour oú l'hôpital lui confie quatre enfants malades à domicile, il est aux anges.  harold, tina, ralf et mickey deviennent vite son unique raison de vivre.  mais une commission d'experts le déclare fou et tente de lui enlever ces enfants.  l'amour débordant de ce clown écorché aura-t-il raison des préjugés ?.

Monsieur butterfly

Coffret : quand j'avais cinq ans, je m'ai tue, le coeur sous le rouleau compresseur

Il y a des gens qui ne tiennent pas en place. Bet, par exemple. Serveuse, représentante en produits de beauté, vendeuse dans une bijouterie, elle change de boulot au gré du vent. C'est une jolie blonde dont tous les hommes sont fous. Un peu naïve, un peu instable, elle se sent incapable d'être une bonne mère, au point de renoncer à élever son enfant. Mais rien n'est jamais si simple... " On s'est séparé par consentement mutuel : je n'étais pas celle qu'il avait cru que je croyais que j'étais. " Howard Buten, né en 1950 à Détroit, est psychologue clinicien spécialiste des enfants autistes et Clown (Buffo). Il est l'auteur de plusieurs romans, dont Quand j'avais cinq ans je m'ai tué, Le coeur sous le rouleau compresseur, Monsieur Butterfly et C'était mieux avant, disponibles en Points. " Ce gugusse-là a un petit grain, une touche de folie qui amuse, rafraîchit, réconforte ses lecteurs, ses spectateurs et ses patients. " L'Express Traduit de l'américain par Jacqueline Huet et Jean-Pierre Carasso

Quand est-ce qu'on arrive ?

Le coeur sous le rouleau compresseur

Coeur sous le rouleau compresseur (le)

Il y a des gens qui ne tiennent pas en place. Bet, par exemple. Serveuse, représentante en produits de beauté, vendeuse dans une bijouterie, et enfin, gérante de supérette. Le genre de blonde dont tous les hommes sont fous. L'un des derniers en date, Teddy, lui a même fait un enfant. Bet, se sentant incapable d'être une bonne mère, a choisi de ne pas l'élever. Mais rien n'est jamais si simple...

Une fois de plus, Howard Buten nous kidnappe pour nous entraîner dans son monde à lui. Un monde où une gérante de supermarché peut ressembler à une vedette de cinéma, où les petites filles sont plus sérieuses que leurs parents. Où il ne faut jamais, jamais, montrer ses sentiments, sous peine de mort.

"Les enfants autistes que j'ai rencontrés, j'ai pensé qu'ils avaient une culture à eux. Qu'ils chantonnaient une musique à eux, qu'ils faisaient des bruits, et c'était leur langue à eux, qu'ils se balançaient et c'était leur danse à eux. Bizarre, quoi, un peu comme s'ils venaient d'un autre pays - et même d'une autre planète. Mais, justement, non, ce qui est bien, c'est qu'ils sont de chez nous. On les a sous la main. Ils ont forcément plein de choses à nous apprendre, même quand ce qu'ils font nous effare. Faut savoir en profiter..."

Quand j'avais cinq ans, je m'ai tue. le coeur sous le rouleau compresseur

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