Ancien agent de la CIA, Lemuel Gunn est devenu détective privé. Il vit désormais dans un mobile home au Nouveau-Mexique. En plein marasme financier et sentimental, il rencontre une certaine Ornella Neppi, qui lui demande de retrouver Emilio Gava, un prévenu libéré sous caution qui s'est volatilisé à la veille de son procès.

Une belle saloperie

Dans son vingtième roman, Robert Littell met en scène pour la première fois un enfant comme héros et narrateur. Le jeune Léon est à la fois intellectuellement précoce et d'une candeur désarmante ; ses rencontres avec un péremptoire vieillard dont il ignore l'identité seront surprenantes et instructives pour l'un comme pour l'autre. La Maison du quai est un vaste immeuble à Moscou, où logent des fonctionnaires, des apparatchiks soviétiques, ainsi que le jeune Léon Rozental. Après la mort de son père, physicien nucléaire, dans un accident de laboratoire, et l'arrestation de sa mère pendant la purge stalinienne des médecins juifs, Léon et d'autres enfants se cachent du NKVD dans les pièces secrètes du bâtiment. Lors d'une expédition souterraine, il découvre un passage menant à une immense salle de bal désaffectée. Il y rencontre Koba, un vieil homme peu avenant dont l'appartement est protégé par plusieurs gardiens jouant aux échecs. Koba est un officier soviétique haut placé, plus important encore que Léon ne peut l'imaginer, et qui connaît de façon troublante les pensées et machinations du camarade Staline... Dans ces conciliabules entre un jeune garçon naïf et un tyran paranoïaque, Robert Littell fait un portrait ambigu du dictateur soviétique, montrant son côté humain et en même temps une inconscience totale par rapport aux souffrances qu'il a infligées au peuple russe des décennies durant. Le charme et la spontanéité du jeune Léon en font un personnage irrésistible — et qui n'est pas sans rappeler Holden Caulfield, à qui il avoue s'identifier — pris dans la toile d'araignée du récit tissé par cette figure énigmatique.

Koba - Occasion

Silas Sibley, jeune espion de la Compagnie surnommé le Trieur, ne se doutait pas qu'en mettant au point un nouveau système d'écoute téléphonique il découvrirait un complot capable de bouleverser le fragile ordre mondial : dans vingt-sept jours, une bombe nucléaire explosera à Téhéran, et tout porte à croire qu'elle sera lancée sur ordre du ministère de la Justice des États-Unis. Le compte à rebours est enclenché pour la cité iranienne. et pour la vie du jeune Silas.

Un espion d'hier et de demain

An Israeli government minister is assassinated in the home of his mistress. Days later, Elihu, an aging and decorated Mossad officer, leads his final raid, killing a Hamas leader in his bed and barely escaping with his life.Out of this familiarly cyclical scenario emerges what is perhaps Robert Littell s most heartfelt and suspenseful novel. The action moves forward into the near future, when the global community, united under the leadership of a visionary woman president of the United States, brokers a major compromise between Israel and the Palestinian authority in the hopes of snuffing out the violent flash-point that fuels the flames of global terrorism.But then, Isaac Apflbaum, a well-known fundamentalist Rabbi, is taken hostage by Dr. al-Saath, a legendary Palestinian terrorist, who demands the release of several Palestinian prisoners in exchange for his prisoner. As Israel coaxes Elihu out of retirement to hunt down the terrorist who motivated his final mission, al-Saath and Apflbaum find themselves building an extraordinary relationship between hostage taker and hostage: parallels between these two battle-hardened partisans become the bonds that could lead to reconciliation. But with the Mossad strike team closing in, has the vicious circle already been closed.Ferociously suspenseful and brilliantly topical, Vicious Circle is a thriller that, like The Company before it, breaks down an entire culture of violence into the corrupted consciences that embody it.

Les enfants d'Abraham

Lemuel Gunn, ancien agent de la CIA, s’en est fait virer alors qu’il était en poste en Afghanistan. Installé dans un mobile home dans le Nouveau-Mexique, il est devenu détective privé.En plein marasme financier et sentimental, il n’est pas insensible aux charmes d’une certaine Ornella Neppi qui vient frapper à sa porte, le chargeant de retrouver Emilio Gava, un individu arrêté pour une affaire de drogue, puis libéré sous caution dans l’attente de son procès. Car Gava semble s’être évanoui dans la nature, et l’oncle d’Ornella, garant de caution judiciaire, risque d’y perdre 125 000 dollars.Gunn se lance sur sa piste mais sa mission va se compliquer singulièrement…

Beskrivelse: Da Kim Philby flygtede til Moskva i 1963, blev han den mest omtalte og berygtede dobbeltagent i spionagens historie. Ved begyndelsen af Anden Verdenskrig var han blevet hvervet til den engelske efterretningstjeneste. Han steg hurtigt i graderne og blev efter krigen udstationeret i Washington som ledende forbindelsesofficer mellem det engelske Secret Service

Philby

En 1950, à Berlin, Harvey Torriti, dit " le Sorcier ", et sa nouvelle recrue, Jack McAuliffe, préparent le départ du transfuge russe Vichnievski pour les Etats-Unis.Mais à la "Compagnie" - mieux connue sous le nom de CIA -, ses supérieurs semblent mettre en doute les capacités de leur agent, plus porté sur le whisky que sur l'étude des relations géopolitiques... Entre agents doubles et traîtres déclarés, personnages de fiction et personnages réels (Kennedy, Castro, Eltsine, mais aussi ben Laden), Robert Littell dévoile au travers d'un redoutable thriller politique un demi-siècle de notre histoire.Et nous entraîne, sur les traces de ses héros, en plein cœur de la guerre froide, des chars soviétiques de Budapest à la Baie des Cochons, de l'assassinat du pape Jean-Paul P' au complot contre Gorbatchev... Un roman d'espionnage magistralement orchestré, qui place Littell aux côtés des maîtres du genre, John le Carré en tête. " Eblouissant d'ambition, La Compagnie est à la CIA ce que Le Parrain fut à la Mafia.", Michel Abescat, Télérama.

La Compagnie : le grand roman de la CIA

With a sharp eye for the pathos and absurdity of the Cold War, Robert Littell crafted his first novel, the now legendary spy thriller The Defection of A.J. Lewinter. Christopher Lehmann-Haupt of The New York Times called it "a perfect little gem, the best Cold War thriller I've read in years," and the praise kept coming with critics hailing Littell as "the American Le Carr&eacute" (New York Times) and raving that his books were "as good as thriller writing gets" (The Washington Post). For his fourteenth novel, Robert Littell creates an engrossing, multigenerational, wickedly nostalgic yet utterly candid saga, bringing to life through a host of characters-historical and imagined-the over 40 years of the CIA-"the Company" to insiders. At the heart of the novel is a stunningly conceived mole hunt involving such rivals and allies as the MI6, KGB, and Mossad. Racing across a canvas that spans the legendary Berlin Base in the 1950s-the front line of the simmering Cold War-to the Soviet invasion of Hungary, the Bay of Pigs, the Afghan war, the Gorbachev putsch, and other major theatres of operation for the CIA, The Company tells a thrilling story of agents imprisoned in double lives, fighting an enemy that was amoral, elusive, formidable. Littell tells it like it was: CIA agents, fighting not only the good fight, but sometimes the bad one as well. Littell also brilliantly lays bare the warring within the Company to add another dimension to the spy vs. spy game: the battles between the counterintelligence agents in Washington, like the utterly obsessive real-life mole hunter James Angleton, and the covert action boys in the field, like The Company's Harvey Torriti-the Sorcerer-a brilliant and brash rule breaker and dirty tricks expert who fights fire with fire, and his Apprentice, Jack McAuliffe, recruited fresh out of Yale, who learns tradecraft and the hard truths of life in the field. As this dazzling anatomy of the CIA unfolds, nothing less than the world's future in the second half of the twentieth century is at stake. At once a celebration of a long Cold War well fought, an elegy for the end of an era, and a reckoning for a profession in which moral ambiguity created a wilderness of mirrors, The Company is the Cold War's devastating truth, its entertaining tale, its last word.

Une belle saloperie

Résumé

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