Pince sans rire (Les aventures de Hugo et Marjo, tome 1)

C'est du gâteau ! (Les aventures de Hugo et Marjo, tome 2)

Les Grands Débrouillards - 14 Aventures Scientifiques en B.D.

Débrouillardises !  30 ans d'humour avec la bande des Débrouillards, tome 1

Minuit moins quart les Débrouillards !

Van l'inventeur (Les Débrouillards, tome 2)

Relations présente son numéro 823 intitulé « La transmission au Québec : entre désir et refus ».

Bien qu'elle se situe au cour de la culture et de la vie humaine, la transmission ne va pas de soi. Consciente ou inconsciente, recherchée ou fuie, elle peut aussi être porteuse de ruptures, par exemple lorsque le refus d'un héritage est assez fort pour remettre en cause les institutions qui le portent - la famille, l'école, la religion -, ou encore lorsque celles-ci sont oubliées, oblitérées, voire détruites, notamment par la colonisation ou les guerres. Néanmoins, le besoin, sinon le désir de transmettre reste toujours au centre du lien entre les générations et les époques, signe d'une réalité anthropologique et sociologique fondamentale. Notre dossier aborde ce thème à partir du Québec. À découvrir aussi dans ce numéro : la chronique poétique d'Emné Nasereddine, le Carnet de Nathalie Plaat, la rubrique Aux frontières avec Jean-Lou David, un débat sur l'électrification au Québec, un article sur la Colombie et un grand entretien avec la professeure Lucie Lamarche.

Relations. No. 823, Hiver 2023-2024 - La transmission au Québec : entre désir et refus

Tout le monde sait que tabarnak est un gros mot. Le papa de Jules l’utilise très très rarement. Il faut qu’il soit méga fâché, comme aujourd’hui. Pourquoi on n’a pas le droit de prononcer ce mot-là? Et d’où ça vient le mot tabarnak? Est-ce un gros monstre préhistorique, une maladie mortelle qui provoque des bubons ou le nom d’un terrible dictateur? Grâce à l’intervention de monsieur le curé, Jules et ses amis vont trouver réponse à leurs questions: le tabarnak habite dans l’église! Prêts à déguerpir au moindre signe de danger, le petit groupe d’amis visite alors une église pour la première fois...Partie intégrante du lexique de notre langue, véritable témoignage de l’héritage religieux du Québec, le sacre est ici expliqué avec intelligence et finesse par Jacques Goldstyn dans un album qui fera sans doute, beaucoup parler de lui.

Pince sans rire (Les aventures de Hugo et Marjo, tome 1)

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