Cette première Bible entrera en toute simplicité dans le cœur de votre enfant et le divertira en lui racontant, de la Création à la Résurrection, la plus belle de toutes les histoires.

Message pour le Carême 2008

Persuadé que les saints sont, d'une manière unique, les exégètes de l'Evangile, le cardinal Ratzinger a saisi les occasions les plus diverses pour mettre en lumière leur figure : en eux, le Christ devient concret. Approfondir la vie des saints afin de comprendre comment ils ont vécu, ce qui les a rendus capables de devenir des hommes nouveaux et d'accomplir de grandes choses dans le Royaume de Dieu, cela signifie puiser dans une source riche l'inspiration et l'encouragement. Ces témoins manifestent la présence de Jésus et l'action toujours renouvelée de l'Esprit Saint au coeur de l'Eglise. En redécouvrant les saints, nous retrouverons aussi l'Eglise. Ce chemin s'ouvre aujourd'hui non seulement pour ceux qui doutent et questionnent l'Eglise, mais encore pour les croyants. Les saints nous font assurément ressentir à travers eux la proximité de Dieu : leur témoignage est pour chacun de nous un encouragement vigoureux.

Les Saints, nos contemporains

Le thème de l'écologie et du développement durable n'a cessé de gagner en importance depuis son apparition dans le débat public, au début des années 1980. Dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres, l'Eglise a frit bien plus qu'accompagner le mouvement : elle l'a souvent précédé. Au lien établi entre l'environnement, le social, l'économie et la politique par les écologistes, elle y ajoute l'éthique, à travers laquelle elle perçoit un moyen de changer la réalité. Il ne suffit pas de reconnaître ces liens : il faut aussi les analyser et les justifier. Ce sera la mission de Benoît XVI, surnommé le "pape vert". "C'est l'homme qui est premier, il est bon de le rappeler. L'homme, à qui Dieu a confié la bonne gestion de la nature, ne peut pas être dominé par la technique et devenir son sujet. Une telle prise de conscience doit amener les Etats à réfléchir ensemble sur l'avenir à court terme de la planète, face à leurs responsabilités à l'égard de notre vie et des technologies. L'écologie humaine est une nécessité impérative. Adopter en tout une manière de vivre respectueuse de l'environnement et soutenir la recherche et l'exploitation d'énergies propres qui sauvegardent le patrimoine de la création et sont sans danger pour l'homme, doivent être des priorités politiques et économiques. Dans ce sens, il s'avère nécessaire de revoir totalement notre approche de la nature. Elle n'est pas uniquement un espace exploitable ou ludique. Elle est le lieu natif de l'homme, sa "maison" en quelque sorte." Benoît XVI.

Pour une écologie de l'homme - Anthologie de textes

A l'approche du terme de son pontificat, Benoît XVI, dans une totale liberté de parole, a saisi toutes les occasions pour s'exprimer " à coeur ouvert " pendant les dix-sept jours qui se sont écoulés entre le Il février, date de l'annonce de son renoncement, et le 28 février 2013, date de son retrait définitif. Un fil conducteur se dégage de l'ensemble de ces discours, homélies et audiences. Au moment où l'Eglise accueille dans la joie son nouveau Pape François, le mot " humilité " vient donner tout son sens à la " feuille de route " de tout chrétien. Les éditions Pierre Téqui proposent au lecteur de ce recueil de rejoindre la pensée ultime et profonde de celui qui, avec sainteté et humilité, a été le Successeur de Pierre dans une période particulièrement mouvementée de l'Eglise. Benoît XVI positionne avec courage l'Eglise d'aujourd'hui au coeur de cette " feuille de route " par laquelle L'Esprit saint conduit l'Eglise depuis deux mille ans.

Feuille de route de l'Eglise - L'humilité. Du 11 au 28 février 2013, Benoit XVI  parle à coeur ouvert

Dans un contexte de crise de la mondialisation, le pape Benoît XVI expose, dans sa nouvelle encyclique, les objectifs et les valeurs qui doivent être défendus sans relâche, afin de créer une société réellement libre et solidaire. L'amour dans la vérité - carlins in veritate - est un grand défi pour l'Église dans un monde sur la voie d'une mondialisation progressive et généralisée. Le risque de notre époque réside dans le fait qu'à l'interdépendance déjà réelle entre les hommes et les peuples, ne corresponde pas l'interaction éthique des consciences et des intelligences. Seule la charité, éclairée par la lumière de la raison et de la foi, permettra d'atteindre des objectifs de développement porteurs d'une valeur plus humaine et. plus humanisante. Le partage des biens et des ressources. d'où provient le vrai développement, n'est pas assuré par le seul progrès technique et par de simples relations de convenance, mais par la puissance de l'amour qui vainc le mal par le bien et qui ouvre à la réciprocité des consciences et des libertés. " L'Eglise ne prétend aucunement s'immiscer dans la politique des États. Elle a toutefois une mission de vérité à remplir. en tout temps et en toutes circonstances, en faveur d'une société à la mesure de l'homme. (...) La fidélité à l'homme exige la fidélité à la vérité qui, seule, est la garantie de la liberté et de la possibilité d'un développement humain intégral. C'est pour cela que l'Église la recherche, qu'elle l'annonce sans relâche et qu'elle la reconnaît partout où elle se manifeste " (CV n.9).

L'amour dans la vérité - Lettre encyclique sur le développement humain intégral dans la charité et dans la vérité - Occasion

« La Parole du Seigneur demeure pour toujours. Or cette Parole, c'est l'Évangile qui vous a été annoncé » (1 P 1, 25 ; cf. Is 40, 8). Avec cette expression de la première Lettre de saint Pierre, qui reprend les paroles du prophète Isaïe, nous sommes placés face au Mystère de Dieu qui se communique lui-même par le don de sa Parole. Cette Parole, qui demeure pour toujours, est entrée dans le temps. Dieu a prononcé sa Parole éternelle de façon humaine ; son Verbe "s'est fait chair" (Jn 1, 14). C'est cela la Bonne Nouvelle. C'est l'annonce qui traverse les siècles, pour arriver jusqu'à nous aujourd'hui. » [Benoît XVI]

La parole du seigneur ; exhortation apostolique

Suite à l'intervention de Benoit XVI à Ratisbonne, à l'automne 2006, la polémique avait fait rage au plan international, on s'en souvient, à sa manière, le pape reprenait le grand débat sur les relations parfois problématiques entre religion, violence et raison, à partir notamment de l'exemple de l'islam. 
Les textes du Saint-Père à l'appui, ce livre élargit le débat en donnant la parole à de grands intellectuels qui réagissent à ses propos. 
Ainsi l'Egyptien Wael Farouk s'interroge sur le statut de la modernité, de la raison dans la langue et la culture arabe. Le philosophe français André Glucksmann met lui cette problématique en lien avec le danger du nihilisme. Le philosophe palestinien Sari Nusseibeh, le professeur Robert Spaemann et Joseph H H Weiler, ancien directeur du Centre Jean-Monnet, complètent cet ensemble. 
Car la foi ne saurait être un obscurantisme, mais un espace qui peut donner lieu aussi à l'exercice de l'intelligence. Et s'il fallait lancer à nouveau des liens, des ponts entre cette foi et la raison contemporaine ?

Dieu sauve la raison

Benoît XVI a consacré nombre d'interventions à son prédécesseur : elles sont un signe évident du souvenir toujours vivace et de son attachement profond à son "bien-aimé prédécesseur". En évoquant Jean-Paul II, Benoît XVI ne se lasse pas de répéter l'appel que le pape Wojtyla avait lancé, au cours de la messe inaugurale de son pontificat, le 22 octobre 1978 : "N'ayez pas peur, ouvrez, ouvrez tout grand les portes au Christ !" Et Benoît XVI reprend ce cri, comme un sceau posé sur son propre pontificat. Dans l'homélie par laquelle il inaugure son ministère de Souverain pontife, il renouvelle son exhortation : "N'ayez pas peur du Christ ! Le Christ n'enlève rien et il donne tout. Celui qui se donne à lui reçoit le centuple. Oui, ouvrez, ouvrez tout grand les portes au Christ - et vous trouverez la vraie vie". Dans les propos de son successeur, Jean-Paul II apparaît pleinement comme celui qui a fait de toute sa vie une offrande au Christ et qui, durant sa maladie, est allé jusqu'à se conformer "à Lui, même physiquement, par sa souffrance et de son abandon dans les bras du Père". Pour chacun, il demeure un modèle de fidélité totale à Dieu et de don de soi sans réserve.

Ouvrez les portes au Christ - Méditations sur Jean-Paul II

- la mort de Jean-Paul II et l'élection de Benoît XVI   - Les JMJ de Cologne   - Le synode des Évêques et l'Année de l'Eucharistie   - La célébration de la conclusion du concile Vatican II qui fut et reste une grande force pour le renouveau nécessaire de l'Église

Message pour le Carême 2008

Résumé

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