Mélamine blues

Dans ce récit doux-amer où jaillit néanmoins l’humour qu’on lui connaît, François Gravel raconte la vie de sa mère, cette femme complexe qui laissera à son tour ses enfants « en haut de l’escalier ».À l’automne 1920, Martine a quatre ans et s’apprête à passer sa première nuit chez son oncle, curé. Sa mère vient de mourir. Son père l’a abandonnée. Ses frères et sœurs ont été dispersés aux quatre vents. La petite aurait besoin d’être consolée, mais son oncle refuse de la gâter. Du haut de l’escalier qui mène à sa chambre, Martine se dit qu’elle devra s’habituer, que ce sera toujours comme ça. Ce soir-là, elle se construit un blindage que personne ne réussira jamais à percer.

La petite fille en haut de l'escalier

Vous pensez que le mot anticonstitutionnellement est plutôt long avec ses 25 lettres? Eh bien détrompez-vous! Les Suédois font beaucoup mieux avec un mot de 130 lettres!Savez-vous que les Vietnamiens ne conjuguent pas leurs verbes et qu'ils n'ont pas de mot pour dire «oui» ou «non»?Savez-vous que la plupart des langues du monde n'ont pas de verbe pour «être» et «avoir»?Savez-vous que les Indiens Navajos ont une langue si compliquée qu'elle est devenue un code secret pendant la guerre? Savez-vous que le cœur des Japonais ne fait pas «boum boum» mais «doki doki»?Voici un livre sérieusement drôle et drôlement sérieux sur les langues!

Cocorico! Tout plein d'histoires qui parlents des langues

David n'a peur ni des monstres, ni des cauchemars, ni des sorcières, ni des vampires, ni même des voleurs. Il n'a peur de rien, sauf... de parler à Léa. Pourtant, dans ses rêves, David est prêt à surmonter tous les dangers pour impressionner sa belle. Trouvera-t-il, dans la vie, le courage de lui parler ? Peut-être que son imagination lui sera utile...

David et Léa

David n'a peur ni des monstres, ni des cauchemars, ni des sorcières, ni des vampires, ni même des voleurs. Il n'a peur de rien, sauf... de parler à Léa. Pourtant, dans ses rêves, David est prêt à surmonter tous les dangers pour impressionner sa belle. Trouvera-t-il, dans la vie, le courage de lui parler ?

«Dans Branchez-vous ! et autres poèmes biscornus, François Gravel s’interroge sur les curiosités de la langue française et s’en amuse. Il va même jusqu’à mélanger l’anglais au français pour s’entortiller les mots et la tête encore plus.»

Branchez-vous ! et autres poèmes biscornus

François a trouvé une solution pour éviter une cruelle punition : il invente une histoire ! Le problème, c'est qu'il devra en inventer une autre, puis une autre, puis encore une autre ! Aura-t-il assez d'imagination ?

Le trésor des Vikings

Quand les robots s'ennuient, Ils ont des idées de génie. Ils inventent un chien-robot Pour leur tenir compagnie Et d'autres animaux, un coup parti !Des kangourous volants, Des colibris géants Et des poules qui ont des dents ! Mais les robots sauront-ils en venir à bout Quand les animaux deviendront fous ?

La valse des animaux (Poésies pour Zinzins, #2)

Dans cette édition du conte d’Andersen, le vilain petit canard est à la quête d’un lieu où il ne serait pas rejeté par tous et chacun, un lieu où il se sentirait chez lui, c’est-à-dire accepté par ses semblables. Ce n’est qu’après avoir vécu plusieurs péripéties que le vilain petit canard découvre qu’il est en réalité un beau grand cygne. Dès lors, c’est en rejoignant un groupe de cygnes qu’il trouve le bonheur de la reconnaissance. La présente adaptation fait partie d’une collection où des classiques de la littérature pour la jeunesse sont revisités par des auteurs et des illustrateurs québécois. Le texte, assez long et descriptif, dépeint avec plusieurs détails les mésaventures du caneton malheureux. Les illustrations concourent à transmettre l'émotion dans ce conte en proposant des couleurs chaudes, des personnages expressifs et des effets de perspective intéressants.

Mélamine blues

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