L'aprés-midi d'un carreleur - Occasion

Un manuscrit rédigé par un philosophe du nom de Spencer C. Spencer est retrouvé après sa mort. Il y est question du rapport ambigu qu'il a entretenu avec le doyen de l'Université d'Austin au Texas, où il est assesseur, le professeur Paul Chapman, cloué dans une chaise roulante depuis la guerre du Vietnam. Malgré le dialogue qui s'est établi entre les deux hommes, le doyen reste une figure énigmatique pour le narrateur. Une certaine violence pénètre peu à peu dans le récit, au travers de personnages qui resurgissent du passé : Mary Elizabeth, l'amante de Spencer, que lui a ravie son cousin Derek, et l'agaçant Douglas Melvin Smith, qui s'est battu aux côtés du doyen et qui veut à tout prix discuter avec lui. Le doyen et son assesseur se mettent d'accord pour se rendre service mutuellement afin de se débarrasser de celui qui a séduit la fiancée, et de celui qui pose trop de questions. Mais le rapport de forces entre les deux hommes

Le Doyen

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Présentation de l'éditeurPar l'une des figures majeures des lettres scandinaves, un roman magnifique et profondément humain sur la fugacité du quotidien, le sens de l'existence et le courage de vivre, une délicate et bouleversante symphonie des adieux sur fond de campagne suédoise. Dans trois carnets, le " carnet jaune ", le " carnet bleu " et le " carnet déchiré ", Lars Lennart Westin, maître d'école à la retraite, livre ses réflexions, celles d'un homme atteint d'un cancer et promis, pense-t-il, à la mort. Car il a brûlé sans l'ouvrir la lettre contenant le diagnostic de l'hôpital. Pour repousser la douleur physique, terrible et insoutenable, que reste-t-il ? Le souvenir des bals d'étudiants à Uppsala ; les premières filles ; Margareth, son grand amour ; l'enfance, les parties de pêche à l'écluse de Färmansbo et l'anniversaire de ses trois ans sous les feuillages du parc de Västera avec sa grand-mère Emma. Et surtout, il reste la vie, plus forte que tout. Car on recommence, on ne se rend pas.Biographie de l'auteurLars Gustafsson, né en 1936, est l'un des grands noms de la littérature suédoise du XXe siècle. Philosophe, poète, dramaturge, essayiste, critique littéraire, journaliste et surtout romancier, auteur d'une oeuvre engagée, il a enseigné l'écriture et la philosophie à l'université du Texas jusqu'en 2006. Une dizaine de ses romans ont été traduits en français, dont le plus connu, "La Mort d'un apiculteur" (Presses de la Renaissance, 1983). Il vit aujourd'hui a Stockholm.

La mort d'un apiculteur

« Io sono un vincente », dichiara il dottor Wasser dall'alto della sua onorata carriera come dirigente sanitario e luminare dei disturbi del sonno, nonché incallito Don Giovanni e campione di ogni concorso, quiz e gioco enigmistico. Con lo humour scanzonato del vecchio saggio, che sa ormai affrontare i grandi dubbi della vita come i cruciverba, l'ottantenne professore si abbandona al puzzle dei ricordi per ricomporre la sua infallibile ricetta esistenziale, con cui ha osato perfino sfidare, e vincere, la realtà: da ragazzo pieno di talenti incompresi in un paesino del Västmanland, promettente gommista e lavavetri all'ospedale di Uppsala, al giorno in cui il caso gli offre l'« improbabilità » di vivere un'altra vita, rubando l'identità di un medico tedesco fuggito dalla DDR. Contro ogni regola e logica, in un irresistibile attimo d'ispirazione in cui la sua volontà si fa davvero libera, l'invisibile manovale diventa il brillante dottor Wasser. Un impostore spudorato che sfodera un patrimonio inesauribile di risorse, intellettuali, creative e seduttive, per reinventarsi ogni giorno con grandioso successo elevando ad arte eroica la menzogna - che in fondo è spesso la sostanza delle nostre cosiddette verità. Uscito pochi mesi prima della sua scomparsa, La ricetta del dottor Wasser è l'ultimo romanzo di un « filosofo alle prese con il giocattolo della letteratura », come Lars Gustafsson si definiva, una sorta di Uno, nessuno e centomila al contrario in cui l'io si tuffa nelle sue infinite identità intime per trovare un'altra libertà. « No, la vita un senso non ce l'ha », dice ancora il dottor Wasser, « però glielo si può dare. Forse è quel che ho fatto. »

La ricetta del dottor Wasser

Windy, coiffeuse, a grandi dans les quartiers populaires d'Austin aux États-Unis.
Lorsqu'elle s'occupe de l'un des habitués du salon, professeur à l'université, la jeune fille bavarde de choses étranges et futiles les secrets un peu mystérieux de la vie privée de ses clients, ses expériences décevantes avec les hommes et, plus généralement, avec les êtres humains. Elle lui révèle ses conversations avec les morts et son don de voyance... Tour à tour, le récit touche et amuse le lecteur.
Derrière l'apparente banalité des propos, l'auteur effleure avec humour des questions essentielles. C'est de la philosophie au quotidien vue sous l'éclairage particulier à Lars Gustafsson, un aimable sceptique et l'un des prosateurs les plus remarquables de la littérature suédoise contemporaine.

La coiffeuse

E se non fossi mai esistito? si chiede un ex professore di filosofia a Oxford, che come uno sciamano ha imparato a liberare l'anima dal corpo per viaggiare indietro nel tempo e scoprire il sottile confine tra memoria e sogno. Forse è per questo che tutti i ricordi lo riportano a un anno, il 1954, quando nella nativa Västerås arrivò la più forte grandinata estiva della storia, ma soprattutto lei, la signora Sorgedahl. Lei che aveva il doppio dei suoi anni e un marito noioso, ma lunghi capelli rossi, un profumo di un altro mondo, e quelle belle morbide bianche braccia che gli avrebbero "aperto le porte della vita". E per ricostruire un'esperienza così intima e segreta da dubitare che sia accaduta davvero non può che ricomporre l'intero puzzle dell'adolescenza, un paradiso perduto di dispute filosofiche con gli amici nel locale caldaia, di racconti famigliari su cani-demoni e prevosti-fantasmi e di incontri proibiti con Ingela, la figlia del Fonditore. Ricordo e fantasia, ironia e rimpianto guidano una proustiana ricerca interiore che diventa un viaggio attraverso l'intero scibile, abbracciando i segreti della pesca al plancton lacustre e i vantaggi morali che offrirebbe un mondo politeista, il legame tra lo Spirito Santo e un organo dell'Ottocento a 50 voci e quello tra il nastro di Möbius e il mistero del tempo. In un funambolico gioco borgesiano intorno a quella babele di domande senza risposta che è l'uomo.

Le bianche braccia della Signora Sorgedahl

Par l'une des figures majeures des lettres scandinaves, un roman magnifique et profondément humain sur la fugacité du quotidien, le sens de l'existence et le courage de vivre, une délicate et bouleversante symphonie des adieux sur fond de campagne suédoise. Dans trois carnets, le " carnet jaune ", le " carnet bleu " et le " carnet déchiré ", Lars Lennart Westin, maître d'école à la retraite, livre ses réflexions, celles d'un homme atteint d'un cancer et promis, pense-t-il, à la mort. Car il a brûlé sans l'ouvrir la lettre contenant le diagnostic de l'hôpital. Pour repousser la douleur physique, terrible et insoutenable, que reste-t-il ? Le souvenir des bals d'étudiants à Uppsala ; les premières filles ; Margareth, son grand amour ; l'enfance, les parties de pêche à l'écluse de Färmansbo et l'anniversaire de ses trois ans sous les feuillages du parc de Västera avec sa grand-mère Emma. Et surtout, il reste la vie, plus forte que tout. Car on recommence, on ne se rend pas.

L'aprés-midi d'un carreleur - Occasion

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