Nos hommes by la droguerie ; le tricot au masculin
Henri Cueco
Publié par Lienart, le 06 février 2020
256 pages
Résumé
Cette monographie rétrospective est une tentative de dire l'oeuvre d'Henri Cueco dans son ensemble, depuis les premières toiles exposées au Salon de la Jeune Peinture jusqu'à la disparition de l'artiste en 2017, et dans sa diversité, à la fois oeuvre peinte, dessinée, mais aussi installations, tapisseries, décors de théâtre... Dès les années 60, Cueco développe une peinture figurative qui s'interroge sur les corps, sur l'ambiguïté des désirs et la violence des rapports humains, sur la tension entre la place de l'homme dans la nature et son occupation des espaces urbains. Toutes ces thématiques, essentielles, sont fondatrices de toute l'oeuvre à venir. Cueco est un artiste travaillant en séries, épuisant un thème, une figure pour passer à une autre, mais capable d'y revenir, l'air de rien, des années après. Son oeuvre se tient sans cesse entre ordre et désordre, entre articulation et désarticulation, autour d'une grande question qui est essentiellement celle de notre rapport à la nature. Si Cueco a peint et dessiné de nombreux animaux, moutons, cochons, serpents..., ce sont, parmi les figures animales, les chiens qui reviennent le plus régulièrement dans son oeuvre. S'il s'intéresse plastiquement aux chiens, dont les formes et les lignes le fascinent, c'est bien leur proximité avec l'humain qui l'intéresse et le pousse à faire, souvent, du chien un double métaphorique de l'homme, entre domestication et sauvagerie, entre nature et culture.
Plus de livres de Collectif
Voir plusRevue tiers monde n.144
Voyage dans nos carnets ; le puy-de-Dôme vu par 17 artistes
La mer
Harry Potter : carnet lettre
Mon agenda scolaire : Bébés animaux (édition 2024/2025)
Pour comprendre les mathématiques : CE1 ; guide pédagogique (édition 2016)
L'harmonisation des statuts entre ouvriers et employés
Critiques
Ce livre n'a pas encore de critiques
Vous avez lu ce livre ? Dites à la communauté Lenndi ce que vous en avez pensé 😎