Little Boy-Manhattan - Le monde ne sait pas où est sa maison

Nous sommes (comme) au cinéma. Nous sommes dans l'attente de quelque chose... Il y eut, notamment, Le crime de Monsieur Lange, Les porte de la nuit, il y eut, en ce temps-là, Jacques Prévert et Jean Renoir. Le récit de Jean-Pierre Spilmont est un crime imaginaire, une violence inaccessible. Alors, et surtout, laissez-vous convaincre. Plutôt, laissez-vous tenter. Osez ! " Oh ! vous savez, la vie... c'est une question d'habitude... On s'y fait... "

Cinéma muet - Suivi de Le jardinier des Lisières

Les itinéraires littéraires en Lozère - Cévennes

Je vous imaginais, hommes et femmes, vieux de trois milliers d'années. J'aurai voulu vous reconnaître, mais vous aviez déjà tracé l'itinéraire d'une existence où se croisait encore, où se croiserait à travers le temps, ce qui vous tînt debout et nous aide aujourd'hui à ne pas abdiquer: rien que de très banal au fond. Cet ordinaire désir d'aimer, malgré nos manques, nos incertitudes et nos reniements. L'ordinaire désespoir. L'ordinaire solitude. Le doute aussi. Et les refus. Et l'ordinaire désir de vivre. L'ordinaire folie de vivre qui nous appelle chaque jour à inventer un pays définitivement apaisé dont nous n'apercevrons jamais pourtant, que des contours diffus, que des chemins courant se perdre dans la brume et dont nous n'espérons rien. Rien que s'y retrouver simplement voyageurs, peut-être.

Lumiere Des Mains

" Objets-volants-identifiés, vous avez donc une âme... et si les murs des villes avaient tant soit peu de mémoire, longtemps, peut-être, ils se souviendraient de vous. "
Jean-Pierre Spilmont

10 Ans D'Aventures Culturelles En Rhone-Alpes. 100 Affiches De Thery

Je vous imaginais, hommes et femmes, vieux de trois milliers d'années. J'aurai voulu vous reconnaître, mais vous aviez déjà tracé l'itinéraire d'une existence où se croisait encore, où se croiserait à travers le temps, ce qui vous tint debout et nous aide aujourd'hui à ne pas abdiquer : rien que de très banal au fond. Cet ordinaire désir d'aimer, malgré nos manques, nos incertitudes et nos reniements. L'ordinaire désespoir. L'ordinaire solitude. Le doute aussi. Et les refus. Et l'ordinaire désir de vivre. L'ordinaire folie de vivre qui nous appelle chaque jour à inventer un pays définitivement apaisé dont nous n'apercevrons jamais pourtant, que des contours diffus, que des chemins courants se perdre dans la brume et dont nous n'espérons rien. Rien que s'y retrouver simplement voyageurs, peut-être.

Toro

Une saison flamande

Une classe. Les enfants parlent de la tempête. De la forêt blessée. Et puis soudain ces mots, comme témoignage : " On était chez moi et tout à coup la lumière s'est éteinte et la balançoire est tombée... " La petite fille qui vient de murmurer cela devant toute la classe, se doute-elle de la portée des mots qu'elle vient de prononcer ? Peut-être. Peut-être pas. Ce qu'elle vient de dire, ce dont elle vient de témoigner, c'est de ce qui constitue " La tempête et l'après-tempête ". L'événement et ce qui en découle. Le fléau et ses conséquences. Comme si cette évocation ouvrait sur d'autres réalités. La lumière s'est éteinte, puis elle est revenue et la vie a repris.

Little Boy-Manhattan - Le monde ne sait pas où est sa maison

Plus de livres de Jean-Pierre Spilmont

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques