Les boîtes à mots

Se i milioni di lettori di Eduardo Galeano sanno che le sue passioni oscillano tra il fervore politico e una fede calcistica incrollabile, gli amici del grande scrittore uruguayano sapevano altrettanto bene che ogni quattro anni, quando si disputavano i mondiali di calcio, Galeano si barricava in casa, non riceveva nessuno e - per essere più chiaro con gli scocciatori inavveduti - appendeva un cartello fuori dalla porta, con su scritto a caratteri cubitali: « CHIUSO PER CALCIO ». Per tutta la sua lunga carriera, Galeano ha raccontato questa passione in racconti nostalgici, aneddoti spassosi e avvincenti cronache giornalistiche, in cui il calcio è di volta in volta metafora e filtro per affrontare argomenti politici, filosofici, storici, sociali. Tutta questa produzione futbolera viene ora riunita per la prima volta in un volume antologico in cui compaiono anche molti testi inediti. Con l'arguzia e l'incisività che contraddistinguono il suo stile, in un centinaio di brevi capitoli fulminanti vediamo sfilare le glorie del passato e gli idoli moderni, il calcio come mito e come business, gli onori e le delusioni. E un bel pezzo di storia, non solo sportiva. Il volume è arricchito da un utile e divertente « Glossario » a cura della redazione di l'Ultimo Uomo, che firma anche l'introduzione.

Chiuso per calcio

Si vous tendez l'oreille, vous distinguerez, dans la cacophonie universelle, les échos qui s'y répondent : premiers et derniers soupirs, bruissements de feuilles, mots d'amour, clameurs d'indignation, insultes proférées par des volailles, sérénades d'araignées, aveux arrachés, confidences chuchotées et vérités sorties de la bouche des enfants. Alliant chronique et poésie, conte et manifeste, ces histoires brèves et infiniment justes s'assemblent pour faire entendre ceux que le vrombissement des machines du pouvoir a trop souvent et trop longtemps fait taire. Les voix du temps brisent les silences d'un monde désincarné qui vibre envers et pour tous.

Les voix du temps

Magda, lutin rouge à l'expression attentive, découpe des mots dans les journaux et les range dans des boîtes de couleurs et de tailles différentes, comme le sont les mots eux-mêmes. Son classement est très personnel : les mots furieux, les tendres, les tristes... Chacun aura sa boîte. De temps en temps, Magda les renverse pour que les mots se mélangent et lui racontent d'autres histoires, qu'il reste au lecteur à imaginer. Constanza Bravo donne à chaque thème une ambiance colorée, lumineuse et sensible. Ses illustrations, association de collages et d'aquarelles, sont emplies de poésie, d'humour et de fantaisie. Elles jouent avec la typographie et le mouvement. A lire comme une comptine.

Vagamundo

Pendant des années, je me suis senti défié par le sujet, la mémoire et la réalité du football, et j'ai eu l'intention d'écrire quelque chose qui fût digne de cette grande messe païenne, qui est capable de parler tant de langages différents et qui peut déchaîner tant de passions universelles. C'est de ce défi et de ce besoin d'expiation qu'est né ce livre. Hommage au football, célébration de ses lumières, dénonciation de ses ombres. Je ne sais pas s'il est tel qu'il voulait être, mais je sais qu'il a grandi en moi et qu'il est arrivé à sa dernière page, et que, maintenant qu'il est né, il s'offre à vous. Et je garde l'irrémédiable mélancolie que nous ressentons tous après l'amour et à la fin de la partie

Le Football, ombre et lumière

Voici l'histoire implacable du pillage d'un continent. Nous suivons, siècle après siècle, et dans le moindre détail, la honte du mécanisme qui a conduit à une dépossession ruinant les nations d'un des espaces les plus prometteurs de l'univers.
 On ne s'étonnera pas que les multinationales, monstres hybrides des temps modernes, opèrent avec cohésion en cet ensemble d'îles solitaires qu'est l'Amérique latine. Chaque pays plie sous le poids conjugué de ses divisions sociales, de ses armées, de ses polices qui l'enfoncent dans l'échec politico-économique et une plus profonde misère.
 Des forces nouvelles se lèvent. Phénomène de grande conséquence, l'Église, longtemps oppressive, reprend la tradition évangélique des premiers âges et devient porteuse d'espérance : elle est résolument aux côtés des pauvres et des persécutés.
 Cet ouvrage essentiel sur l'exploitation de l'homme par l'homme est à l'échelle d'un continent. Ce livre, un grand classique, est lu et commenté dans les universités nord-américaines ; il dénonce le talon d'Achille des États-Unis : l'Amérique centrale et du Sud.

Les veines ouvertes de l'Amérique Latine

Voici l'histoire implacable du pillage d'un continent. Nous suivons, siècle après siècle, et dans le moindre détail, la honte du mécanisme qui a conduit à une dépossession ruinant les nations d'un des espaces les plus prometteurs de l'univers.On ne s'étonnera pas que les multinationales, monstres hybrides des temps modernes, opèrent avec cohésion en cet ensemble d'îles solitaires qu'est l'Amérique latine. Chaque pays plie sous le poids conjugué de ses divisions sociales, de ses armées, de ses polices qui l'enfoncent dans l'échec politico-économique et une plus profonde misère.Des forces nouvelles se lèvent. Phénomène de grande conséquence, l'Eglise, longtemps oppressive, reprend la tradition évangélique des premiers âges et devient porteuse d'espérance : elle est résolument aux côtés des pauvres et des persécuteurs.Cet ouvrage essentiel sur l'exploitation de l'homme par l'homme est à l'échelle d'un continent. Ce livre, un grand classique, est lu et commenté dans les universités nord-américaines ; il dénonce le talon d'Achille des Etats-Unis : l'Amérique centrale et du Sud.

Les boîtes à mots

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