It's a good life, if you don't weaken

Palooka ville

Nouvelle édition de cette première oeuvre de Seth, un roman graphique à saveur autobiographique dans lequel il relate sa quête obsessionnelle de toutes les traces de Kalo, un dessinateur méconnu des années 1940 et 1950 dont le style ressemble au sien. Cette quête devient le prétexte à sa propre introspection sur sa vie, sur ses relations avec les femmes et avec sa famille, sur sa nostalgie d'un passé qu'il refuse de voir disparaître, sur la vision qu'il entretient de son métier. Une oeuvre méditative au rythme lent, bien servie par un dessin épuré et précis en bichromie (gris bleu) qui sert parfaitement la mélancolie imprégnant de ce récit miroir. En fin d'ouvrage est reproduite la douzaine de caricatures de Kalo que possède l'auteur. [SDM] "La vie est belle malgré tout" disait la mère de Seth à son fils. C'est le titre de cette autobiographie désabusée, par un auteur nostalgique que la modernité désespère. Ayant découvert un dessinateur des années 1950 dont le trait ressemble étrangement au sien, Seth part à sa recherche et ne découvre que 11 dessins de Kalo... [Éditions Delcourt]An Acknowledged Classic returns gorgeously re-designed. In his first graphic novel, It’s a Good Life, if You Don’t Weaken--a best-selling D & Q titles ever--Seth pays homage to the wit and sophistication of the old-fashioned magazine cartoon. While trying to understand his dissatisfaction with the present, Seth discovers the life and work of Kalo, a forgotten New Yorker cartoonist from the 1940s. But his obsession blinds him to the needs of his lover and the quiet desperation of his family. Wry self-reflection and moody colours characterize Seth’s style in this tale about learning lessons from nostalgia. His playful and sophisticated experiment with memoir provoked a furious debate among cartoon historians and archivists about the existence of Kalo, and prompted a Details feature about Seth's "hoax".

La vie est belle malgré tout: un roman graphique

Du Donbass en guerre aux quartiers en destruction de Shanghai, des camps de réfugiés palestiniens, aux écoles d'Haïti, les enfants peints de Seth font le tour du globe. Énigmatiques et sans visage ils racontent les transformations qui secouent notre planète.
En privilégiant la poésie au message, Seth dialogue avec le contexte. Le soin particulier qu'il apporte à ses photos nous fait voyager loin des monuments touristiques et des couchers de soleil Instagram. Sous leur apparente douceur, ses enfants nous transportent dans un univers introspectif qui éclaire ce qui l'entoure. Une lecture sensible du monde où l'imaginaire devient le remède à tous les maux.
Première monographie de l'artiste globe-painter, ce livre retrace dix ans de voyages et de création, commentées et expliquées par l'artiste.

Seth s'exprime sur les murs depuis plus de 25 ans. Présentateur des documentaires « Les nouveaux explorateurs » sur l'art urbain, auteur de plusieurs ouvrages, il a participé aux plus importants festivals street-art de la planète. Aujourd'hui, ses créations sont régulièrement présentées dans des institutions prestigieuses (MOCA Shanghai, MAC Lyon, Wynwood Walls Miami...).

Seth. face aux murs

Le commis voyageur

When Lady Jane Lynke unexpectedly inherits Bells, a beautiful country estate, she declares she'll never leave the peaceful grounds and sets about making the house her home. But she hasn't reckoned on the obstinate Mr Jones, the caretaker she's told dislikes her changes, yet never seems able to be found.

Mr Jones

Fable jubilatoire à propos d'un collectionneur de comics à la morale douteuse, Wimbledon Green s'amuse de l'industrie de la bande dessinée en même temps qu'il rend hommage aux bons vieux comic books d'autrefois. C'est plein de gags, de rires et de mystère.

Wimbledon green

Erigé en 1935 à Dominion, la ville art déco imaginée par Seth abrite un club très fermé où se côtoient les plus grands professionnels de la bande dessinée. Dessinateurs de presse, créateurs de comic strips et autres adeptes du dessin d'humour y devisent en sirotant des cocktails. Dans cet album, Seth décrit avec tendresse un monde qui est le sien : celui des dessinateurs nord américains.

It's a good life, if you don't weaken

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Critiques

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