Lettres de menaces, étranges poupées de chiffon clouées aux portes, persistante odeur de brûlé dans les étages... La tension monte au Marché Saint-Pierre, temple du tissu au mètre. Bientôt, des employées manquent à l'appel. Et la police piétine... Dans la psychose générale, Rebecca Levasseur prend l'enquête en main, arpente les ruelles de la Butte, et sonde les âmes et les consciences à la recherche des disparues.

Aux malheurs des dames

A travers des saynètes courtes, les élèves de l'école primaire (CM1 et CM2) et de collège (de la 6ème à la 4ème) vont prendre contact avec la langue anglaise par le biais du théâtre, en abordant des thèmes qui leur sont proches. Les besoins langagiers des élèves sont pris en compte : les saynètes ou dialogues font intervenir un grand nombre de notions fonctionnelles essentielles (se présenter, exprimer ses goûts et ses préférences, décrire une personne, se repérer dans le temps et dans l'espace, etc.) ; l'aspect lexical (vocabulaire, verbe) est adapté à chaque niveau de classe ; les structures syntaxiques incontournables (forme négative, interro-négative, cas possessif, etc.) apparaissent fréquemment. Les thèmes abordés dans ces pièces sont proches de l'univers des élèves : pour les enfants de CM, des sketches courts (2 à 3 pages) traitant de la vie quotidienne : Breakfast, To the zoo, Making a cake, Shopping, We play sport, etc. ; pour les élèves de début de collège (6ème et 5ème), des scènes un peu plus longues : Fast food, Merry Christmas, My best friend Rachid, etc. ; des pièces humoristiques adaptées aux élèves de 4ème : Which way ? , A nice boy, The black cherries at Wembley, etc. Quelques pièces issues de ce recueil sont disponibles sous le titre To the zoo and short plays.

Saynètes en anglais 9-13 ans

Imaginez vos parents sauvagement assassinés par un tueur qui essaie de vous dire quelque chose et qui, dix ans plus tard, sacrifie d'autres victimes à la date anniversaire. Imaginez-vous en train de pénétrer dans une mystérieuse clinique pour officiers de police en dépression. De marcher à travers un brouillard omniprésent, menaçant, comme absorbant la vie et ses fantômes.
Pour Jeanne Debords, il ne s'agit pas d'imaginer mais de faire taire cette voix qui lui répète inlassablement "N'oublie pas". Avec N'oublie pas, Lalie Walker réaffirme son impressionnante maîtrise du roman noir psychologique. Elle excelle dans l'art de la fausse piste, l'analyse chirurgicale des pulsions et phobies et enfouit la clef de ses énigmes dans la mémoire et les blessures de la vie de chacun de ses personnages. Un suspense redoutable !

N'oublie pas

Anne Boher, la très sérieuse et réputée légiste de la morgue de l'hôpital de Strasbourg, est harcelée et acculée, au bord du gouffre. Lettres anonymes et poupées ensanglantées déposées à son domicile sont sur le point de la rendre folle. Qui lui en veut ? Pour quelles raisons ? Serait-ce lié à sa volonté de demander l'exhumation des corps des victimes du fou de Blauelsand, affaire pourtant brillamment résolue, grâce à elle, deux ans plus tôt ? Y a-t-il un rapport avec le dossier 242 ? la maladie de sa mère ?
Son amie Laure Bellanger, psychologue, et Franck Albertini, un ancien flic tourmenté, tentent de voler à son secours. De son côté, Enzo Marquèz, l'assistant de la légiste, cherche ce mystérieux dossier 242 dans les labyrinthiques archives de l'hôpital, un lieu sur lequel courent d'étranges rumeurs parlant d'expériences médicales.
En toile de fond, la canicule sévit, la capitale alsacienne connaît un été effroyable. L'hôpital est débordé, les décès se multiplient, la morgue est saturée. Les citoyens volontaires, militants d'un ordre nouveau, veillent tandis que dans l'atmosphère saturée de la ville, jaillis de nulle part, retentissent les grands airs de La Traviata.

Les survivantes

Un serial killer obsédé par les filles aux yeux verts et qui tue rituellement avant d'épiler les corps et de tracer sur les reins la même mystérieuse croix blanche. Des jumeaux aux comportements psychotiques soudés par un secret que personne n'a percé. Une famille où le non-dit pèse et ravage les faibles. Des hommes qui rôdent la nuit en rollers dans une ville balayée par les vents... La vie de Laure récemment revenue de Stanford bascule dans le cauchemar. Psychologue spécialisée dans l'étude des rêves et fascinée par l'amnésie, dotée d'un regard couleur d'eau magnifique, elle ne supporte plus les mensonges. Elle sait que le tueur la guette chaque jour. Que la vérité est à portée de sa main. A-t-elle envie de la connaître ? En aura-t-elle le temps ?

Pour toutes les fois

«Elle avait peur. Terriblement peur. Elle n'était pas la seule. Mais elle l'ignorait. Elles étaient cinq à trembler. À renifler l'odeur fétide de la terre, gorgée d'eau croupie. Cinq, à se croire seules. Chaque femme était enfermée dans une cage, isolée des autres par des kilomètres de galeries souterraines. La distance aurait suffi à les maintenir dans l'illusion de la solitude. Mais leur kidnappeur en avait jugé autrement. À toutes fins utiles, il leur avait tranché la langue.» Une cinquantaine d'enlèvements répertoriés de femmes, volatilisées du jour au lendemain, ne laisse aucun doute quant à l'existence d'un psychotique particulièrement dangereux. Jeanne Debords est sur la brèche. Nouvellement nommée à la tête du Bureau spécial des disparitions, elle doit à nouveau, dans le cadre très inquiétant d'un zoo laissé à l'abandon, mettre un nom et un visage sur celui, insaisissable, qu'elle sent, chaque jour, plus cruel, plus démoniaque, plus proche...

Portées disparues : Une enquête du commissaire Jeanne Debords

Un déséquilibré séquestre et fait disparaître des femmes. Une date fétiche et un même rituel, toujours. Un rituel qui ne laisse ni corps, ni traces, ni empreintes. Sauf celles enfouies dans la mémoire de chacun, souterraines. Alors comment faire pour dresser le profil de ce serial killer ? Et s'ils étaient deux, et si c'était un schizophrène à personnalités multiples ? Et si l'auteur brouillait les pistes avec une inquiétante maestria ? Une affaire difficile pour le BSD, et pour Jeanne Debords qui n'échappe pas à ses propres fantômes. Une affaire issue du plus lugubre des cauchemars, peuplée de personnages insolites et fragiles : une mère obnubilée par Mozart et les imperfections du corps. Un père chirurgien et quatre filles évoluant dans un univers très singulier. Rachel, une peintre obsédée par le Cri de Munch. Alfred un ancien gardien du Parc zoologique de Vincennes. Sans oublier les victimes. Après Pour toutes les fois, Lalie Walker poursuit ses recherches sur les serial killers, la mémoire et l'enfermement psychologique. Elle bouleverse par son talent à saisir les failles de ses personnages, à faire remonter les silences. Un travail qui ne laisse aucun élément en suspens et accroche le lecteur de la première à la dernière page.

Aux malheurs des dames

Résumé

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