Le neveu de Rameau

Nella Francia del Settecento, i libri venivano pubblicati in tre modi: con l'approvazione del re, col tacito consenso e clandestinamente, come accadeva per quelli più interessanti. Molte di queste opere sin dal loro apparire subivano la condanna della magistratura. E anche l'anonimato non dava sufficienti garanzie riguardo ai destini individuali. Gli autori si illudevano di essere anonimi, ma la lettura dei rapporti dell'archivio dell'ispettore del commercio librario, Joseph d'Hémery, rivelò che ciascun letterato era minuziosamente schedato. Anche Diderot finì in carcere. Il 22 luglio 1749 fu arrestato. Per poter uscire di prigione, Diderot dovette sottoscrivere una dichiarazione in cui prometteva che non avrebbe più scritto testi contro la religione e la morale. Dopo oltre trent'anni da quell'impegno impostogli e mutata la situazione politica in Francia, Diderot scrisse e consentì la pubblicazione dei "pericolosi" La monaca e, appunto, di Jacques il fatalista, ma per precauzione solo sulle pagine della "Correspondance Littéraire", una rivista che veniva diffusa in quindici copie manoscritte fuori dai confini di Francia. Si può riassumere la trama di Jacques il fatalista e il suo padrone? È difficile. Si può dire che è un libro "on the road" come il Don Chisciotte di Cervantes e la Storia di un fannullone di Eichendorff. E come in questi libri, vi circola l'aria frizzante degli spazi aperti, un'atmosfera ariosa e piena di humour, densa e divertente, arguta e fresca. Il libro narra il viaggio di Jacques e del suo padrone; tuttavia sin dall'inizio il lettore è gettato nell'abisso dell'incertezza: "Di dove venivano? Dove andavano?" Già il titolo avverte che Jacques è fatalista, perciò tutto ciò che accade quaggiù, per lui è scritto lassù, in un gran rotolo stilato da qualcuno. Per intrattenersi durante le lunghe ore a cavallo, il padrone chiede a Jacques di raccontargli la storia dei suoi amori. Argomento principe di ogni letteratura, al punto che lo stesso Diderot, rivolgendosi al lettore, osserverà: "... sempre storie d'amore... ". Per la soddisfazione del lettore, alla fine si scoprirà la meta e lo scopo di questo viaggio. Ma quante cose saranno capitate nel frattempo? Dove sarà stato condotto il lettore? Tra locande e furfanti, tra colpi di scena ed episodi narrati da personaggi che compaiono qua e là, il libro si dipana con un gran ritmo e un irrefrenabile gusto per il divertimento. Prenota oggi la tua copia. Verrà spedita non appena pronta, una decina di giorni prima della disponibilità nelle librerie (30 luglio 2020).

Jacques il fatalista

Le texte initial de Diderot, rédigé fin de l'été 1770, et envoyé depuis Bourbonne à Naigeon a aujourd'hui disparu, mais deux (autres) versions du texte sont aujourd'hui connues. La première, chronologiquement, plus courte et précédée de deux lettres (l'une de madame de Pruneveaux à Naigeon, l'autre de madame de Pruneveaux à un curé, est retrouvée en 1985 et éditée par Jean Varloot dans la Revue de la bibliothèque nationale (de France). La seconde est celle qui paraît dans la Correspondance littéraire le 15 décembre 1770. Extrait : Il y avait au fond d'un bois, où vous vous êtes promenée quelquefois, un charbonnier dont la cabane servait d'asile à ces sortes de gens ; c'était aussi l'entrepôt de leurs marchandises et de leurs armes. Ce fut là que Félix se rendit, non sans avoir couru le danger de tomber dans les embûches de la maréchaussée qui le suivait à la piste. Quelques-uns de ses associés y avaient porté la nouvelle de son emprisonnement à Reims ; et le charbonnier et la charbonnière le croyaient justicié, lorsqu'il leur apparut.

Les deux amis de Bourbonne et autres contes

Pour Diderot, le théâtre ne saurait être pure délectation, il doit prendre sa place dans le grand mouvement expressif, critique et novateur auquel, personnellement, il a délibérément consacré la majeure part de son activité d'homme.Il s'agit d'une numérisation d'une édition critique avec introduction, notes, facimile de 1902.

Paradoxe sur le comédien

Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Denis Diderot. Publiée à titre posthume en 1796, "La Religieuse" est à la fois une satire des moeurs sexuelles et religieuses du XVIIIe siècle et une apologie de la liberté individuelle. C'est aussi une mystification pleine de mouvement ourdie par Diderot, Grimm et quelques autres compères au détriment d'un de leurs amis, le marquis de Croismare, homme sensible qui s'était intéressé au sort de la jeune Suzanne Delamarre (Suzanne Simonin dans le roman), sans parvenir à lui faire gagner son procès. En 1758, Suzanne avait en effet accusé sa mère de l'avoir enfermée de force à l'abbaye de Longchamp, puis au couvent de femmes Sainte-Marie de la rue du Bac où elle dû subir nombre d'épreuves et d'humiliations. Finalement, suivant les conseils d'un prêtre bénédictin, lui aussi entré en religion malgré lui, elle parvint à retrouver la liberté après avoir rompu ses voeux religieux. Diderot et Grimm publieront une fausse correspondance de l'ex-religieuse destinée à émouvoir le marquis de Croismare, puis Diderot entamera plus tard le récit romancé de ses mésaventures sous forme de mémoires. Aussi bien roman érotico-philosophique des corps et des âmes que conte satirique malicieux, "La Religieuse" peint sur le vif, outre le personnage de l'innocente Suzanne plus ambigüe qu'il n'y paraît, plusieurs figures inoubliables de confesseurs et de moniales, dont notamment celle de la supérieure de Saint-Eutrope, si prompte à déshabiller la jeune couventine et à l'embrasser sur la bouche.

La Religieuse

Contains the following works:Les bijoux indicrets --La religieuse --Mystification --Les deux amis de Bourbonne --Entretien d'un pere avec ses enfants --Ceci n'est pas un conte --Madame de La Carlère --Supplément au voyage de Bougainville --Le neveu de Rameau --Jacques le fataliste et son mâitre --Éloge de Richardson.

Contes et romans

Enfant illégitime, Suzanne Simonin est forcée d'entrer au couvent et de prononcer ses voeux. Éprise de liberté, ne se sentant pas l'âme d'une religieuse, la jeune fille demande à retourner dans le monde. Elle s'attire alors les foudres de sa communauté, et notamment celles de la mère supérieure : les privations, les châtiments et les injures s'abattent sur elle. Au bout d'un long combat juridique, soeur Suzanne finit par obtenir son transfert dans un autre couvent. Mais la tendresse de sa nouvelle supérieure est-elle moins dangereuse ?Sans critiquer la religion, Diderot s'attaque à ses institutions. Plus qu'un roman anticlérical, La Religieuse est une critique des couvents qui, selon lui, éloignent les individus de la société, pervertissant ainsi leurs sentiments naturels et exacerbant leurs névroses. Tantôt satirique, tantôt pathétique, à la fois philosophique et érotique, l'ouvrage recèle une profonde ambiguïté qui n'a pas fini de nous intriguer.

La religieuse

Anatomie

Pour Diderot, le théâtre ne saurait être pure délectation, il doit prendre sa place dans le grand mouvement expressif, critique et novateur auquel, personnellement, il a délibérément consacré la majeure part de son activité d'homme.

Le neveu de Rameau

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