Colorbelle-ébène

Le jeune Français Gustin a du sang indien. Il rejoint son père pour les vacances dans le Wyoming où il va découvrir la vie des Indiens au quotidien.

Piège dans les Rocheuses

Gustin n'a pas vu son père depuis qu'il a...
Quatre mois ! Cet été, il part le retrouver au coeur du Wyoming, dans le campement indien où il vit depuis des années. Gustin apprend à connaître ce père, surnommé Renard-Rouge, et découvre avec lui la nature sauvage et belle des Rocheuses. Mais cette vie paisible cache une menace, un secret...

Le Monde d'en haut

Je n’ai plus que quelques minutes d’électricité par jour, et je ne pourrai plus t’envoyer de nouvelles avant un certain temps. Mais n~ao preocupe, Talia, tuo é bem, tout va bien… Elle a beau relire le dernier mail de sa mère pour se rassurer, le “certain temps“ s’éternise, et Talia, inquiète, va tout faire pour retrouver son Indiana Jones de mère. Quitte à s’enfoncer dans 200 km2 de forêt vierge, de marais et de terres inexplorées et pas forcément hospitalières…

Itawapa

Le col des mille larmes

Ils sont cireurs de chaussures, vendeurs de journaux, laveurs de voitures, nettoyeurs de tombes, chiffonniers... Des enfants laissés pour compte dans un pays où les plus pauvres ne peuvent que survivre. Survivre, Saturnino tente de le faire. Dans la rue, il lutte depuis la disparition de ses parents, pour gagner quelques pièces, pour protéger Luzia sa petite soeur, pour se souvenir des mots et des chansons que fredonnait leur mère. Un jour, Saturnino rencontre un vieil homme hors du commun qui se dit chef d'orchestre. Il invite les gamins des rues à venir chez lui. La musique a-t-elle le pouvoir d'effacer la peur et la solitude ? Maestro est né d'un article de journal : Il était question d'un chef d'orchestre bolivien qui avait réussi l'exploit de monter un orchestre avec des gamins des rues. Lors des émeutes de février 2003 à La Paz, les bâtiments de l'école de musique avaient pris feu et les enfants avaient sauvé les instruments et accueilli leur professeur en jouant...

Maestro !

Mon petit coeur imbécile… c’est ainsi que la petite Sisanda surnomme son coeur malade lorsqu’elle lui parle pour l’encourager. À cause de lui et de sa maladie idiote, elle ne peut ni courir, ni sauter, ni jouer avec les autres. Et l’opération qui permettrait de le guérir coûte beaucoup trop cher pour une famille de paysans africains comme la sienne. Mais l’espoir renaît lorsque Maswala, la mère de la petite fille, tombe par hasard sur un article de journal relatant les exploits des coureuses du marathon de Kamjuni. Il faut dire que Maswala a une particularité : elle court plus vite qu’une antilope…

Mon petit coeur imbécile

Lorsqu'Alain est arrivé à l'école, on l'a tous trouvé un peu bizarre. Alain dessinait des bonshommes terriblement ratés, il ne savait pas écrire son nom et parlait avec des mots qui n'existent pas. Pendant la récré, Alain ne jouait ni à chat perché, ni à cache-cache et il était nul au foot. Il-ne-savait-rien-faire ! Et puis, l'hiver est arrivé. Il s'est mis à neiger si fort que tout le monde glissait, tombait, s'enfonçait dans la poudreuse, restait bloqué chez soi quoi, sauf Alain, qui avait un secret...
Alain l'alien est différent. Si tu regardes bien, il a déjà quatre yeux, trois dents, de drôles de pattes... Mais c'est de cette différence que naîtra l'harmonie.

Colorbelle-ébène

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