Le métier politique en représentations

Ouvrez les portes merveilleuses du rêve et laissez-vous raconter la plus belle histoire d'amour de tous les temps...

Le célèbre conte de fées dans une version nouvelle, adaptée du film événement réalisé par Christophe Gans, avec Vincent Cassel, Léa Seydoux et la participation d'André Dussolier.
En bonus, un cahier illustré avec les photos du film.

La Belle et la Bête

Australie - Occasion

Un petit format carré au prix très étudié qui permettra à chacun de retrouver chaque jour sa passion pour New York. Vingt-cinq photographies d'exception pour découvrir la ville la plus photogénique au monde, cité verticale par excellence à la géométrie parfaite, bâtie comme pour donner naissance à l'idée même de photographie. New York City, la mégalopole où tout se crée, où tout semble possible, est plus qu'une ville, c'est une expérience unique.

Calendrier mural New York

Cleopatra

POESIE SLOVENE CONTEMPORAINE

Who was Napoleon ?

Filmer le travail : mission impossible ? Mais pour qui et pourquoi ? A première vue, la question peut surprendre. Depuis les sorties d'usine filmées par les Frères Lumière à la fin du XIXe siècle, les images du travail ne cessent de s'accumuler. Il est vrai que de film ethnographique en film militant, de film d'entreprise en "film scientifique" - on pense à ceux tournés par exemple par les ingénieurs des temps et méthodes à la grande époque de l'O.S.T. - se construit, sur le travail, un certain regard.

Filmer le travail - Recherche et réalisation

Kabîr naquit vers 1440 et mourut en 1518 après avoir vécu l'humble vie de tisserand. Ses Paroles sont à l'origine du mouvement religieux des Kabîr-Panthi (4 millions d'adhérents) ; les Sîkh eux aussi le tiennent pour un de leurs maîtres.Musulman d'ascendance - car Kebir, en arabe, signifie «grand» -, Kabîr s'était pourtant assimilé à l'hindouisme. Il subit l'influence de Râmânanda et du Hatha-Yoga, puis, à la suite d'une «illumination», prêcha les petites gens. Pandits, mollahs, yogis, tous ceux qui vivent en parasites des religions, il les condamnait. Il veillait à se garder «du Véda comme du Coran». Ainsi que Toukârâm, le mystique marathe, il aspirait à l'union directe avec Râm, l'Absolu, qui transcende toutes les sectes. On l'accusa donc de vouloir se diviniser, ainsi qu'à Bagdad un peu plus tôt Mansûr Hallâj. Plus chanceux, il échappa de peu au supplice. Aujourd'hui, musulmans et hindous se reprochent mutuellement de l'avoir persécuté.La belle traduction de Mlle Vaudeville colle à ce chant si simple et fulgurant, très modeste et plus ambitieux encore, celui d'un homme qui répudie à la fois le syncrétisme banal et les arcanes de l'ésotérisme, et qui, prophète une fois de plus de l'Unité, à ce titre doit toucher l'agnostique aussi bien que le croyant.

Le métier politique en représentations

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