Un verger dans le ventre traite de la capacité de l’enfant à utiliser son imaginaire pour extrapoler une situation du quotidien. Angoissant et tendre à la fois, ce texte de Simon Boulerice est mis en images par de magnifiques dessins à saveur vintage de Gérard DuBois.

Un verger dans le ventre

Simon rime avec imagination. Toi, quel mot rime avec ton prénom ?

Des livres qui s'adressent aux premiers lecteurs capables de décoder aisément les mots, et qui font appel à leurs aptitudes de compréhension.
- Une histoire comptant 121 mots.
- Une à trois phrases par page, à l'emplacement constant.
- Des phrases de 7 à 12 mots.
- Une structure répétitive et un vocabulaire varié.
- Des signes de ponctuation diversifiés.
- Une histoire humoristique dont la chute est inattendue.
- Des illustrations en adéquation avec le texte.
- Des mots-étiquettes disponibles en ligne.

Des livres qui s'adressent aux premiers lecteurs capables de décoder aisément les mots, et qui font appel à leurs aptitudes de compréhension. Il est recommandé de faire lire les livres en seconde partie de la première année du primaire. Les textes ont été approuvés par un comité formé de conseillers pédagogiques, d'orthopédagogues, d'enseignants de première année et de spécialistes en enseignement.

Simon et moi Tome 3 : les rimes de Simon

L'enfant mascara est une histoire d'amour à sens unique, comme on en voit partout, dans toutes les écoles secondaires. À cette différence qu'elle se conclut de manière particulièrement tragique. Inspiré par des faits réels qui se sont déroulés dans la ville d'Oxnard en Californie, Simon Boulerice transpose dans la fiction l'un des meurtres homophobes, voir transphobes, les plus violents à s'être produit aux États-Unis, tout en rendant hommage à Larry/Leticia, un être rempli de désir, d'éclat et d'arrogance, dont la vie n'aura été que fulgurante.Un roman unique, traversé par la profonde empathie de son auteur.-Résumé de Léméac

L'enfant mascara

Un jour d'octobre, Alain est assis dans son salon, immobile. À la télévision, on vient de diffuser les images d'un jeune homme exécuté en raison de son orientation sexuelle. Habité par la colère, l'incompréhension, la détresse, Alain prend le clavier et écrit à la première personne à laquelle il pense : Simon. Celui-ci, quelque part entre Montréal et Baie-Comeau, dans les nuages, lui répond. Oui, il a vu. Oui, il a senti la chute, le vide, le vent dans son chandail, dans ses cheveux. C'est ainsi que s'amorce une correspondance entre des auteurs de générations différentes (l'un a cinquante ans, l'autre, trente-cinq), tous deux homosexuels. Des échanges désarmants de sincérité, où les hommes se révèlent sans fausse pudeur à travers leur perception de ce qui secoue notre monde.

Moi aussi j'aime les hommes

Petit, dans la maison de notre enfance, il m’arrivait de me mettre des bouchons dans les oreilles, tellement c’était cacophonique. D’autres fois, je mettais mes écouteurs. Je n’écoutais même pas de musique. Je voulais seulement me couper un peu du bruit ambiant. J’ai toujours aimé le silence et j’ai grandi dans une maison bruyante. Quelle malchance. Ce n’étaient pas des bruits de fond, mais bien une symphonie d’électroménagers qui marchaient en permanence. Chez les Bonneville, on offrait un concerto de hotte, de sèche-linge, de lave-vaisselle et de climatiseur. J’ai toujours été à l’affût de la musique agressante des électroménagers. Le vrombissement du fouet électrique pour faire de la crème fouettée, quand papa recevait des invités. Le chant écorché de la bouilloire, quand maman préparait son thé au jasmin, le soir, pour décompresser.

La maison sonore

La petite grenouille qui rêvait de danserLe plus grand rêve de Julie était de danser. Mais elle ne pouvait pas, car elle n’entendait pas la musique. Un soir, une chose formidable s’est produite : un haut-parleur qui diffusait la musique est tombé sur le plancher et celui-ci s’est mis à vibrer. C’était comme des chatouilles pour la petite grenouille qui sentait chacune de ces vibrations dans son corps. Elle pouvait enfin danser au rythme de la musique. Le voisin d’en bas, une vieille tortue appelée Monsieur Bourru, était monté pour se plaindre du bruit, mais il s’est laissé gagner par l’ambiance et, au bout d’un moment, il a réalisé que la danse avait guéri ses vieux os.Un Noël magiqueVincent habitait avec ses parents dans un tout petit village, près du pôle Nord. Il s’amusait beaucoup à sculpter des personnages de neige. Mais il était souvent seul et il s’ennuyait. À l’approche de Noël, il eut l’idée d’écrire une lettre pour demander un petit frère qui jouerait avec lui. Le Père Noël était bien embêté, car il était incapable d’exaucer ce souhait. Mais son lutin Coquin eut une idée. La nuit de Noël, en passant au-dessus de la maison de Vincent, le Père Noël a laissé tombé une poudre magique et, le lendemain matin, toutes les sculptures de neige de Vincent étaient vivantes, prêtes à jouer avec lui!

Passe-Partout #6: La petite grenouille qui rêvait de danser / Un Noël magique

Florence a un problème aux poumons, mais enseigne la natation ; pour elle, c’est toujours comme si elle respirait dans une paille. Léon a un problème aux yeux et est agent d’assurance ; pour lui, c’est toujours comme s’il regardait par le trou d’une paille. Leur rencontre chamboulera leurs vies. Et si les différences pouvaient devenir une force ? Et si l’amour pouvait naître au bout d’une paille ?

Un verger dans le ventre

Résumé

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