Parker le casseur, l'efficace, le précis, le froid Parker est de retour ! Cette fois, il s'agit de braquer le Casino installé sur une île par un Allemand qui travaille en solo. Du gâteau, a priori ! Oui, mais il faut compter avec les mouchards, les maladroits, le hasard. Sans oublier les flics fédéraux, qui ont la mauvaise habitude de se mêler de ce qui ne les regarde pas.

Sous pression

Donald E. Westlake is one of the greats of crime fiction. Under the pseudonym Richard Stark, he wrote twenty-four fast-paced, hardboiled novels featuring Parker, a shrewd career criminal with a talent for heists. Using the same nom de plume, Westlake also completed a separate series in the Parker universe, starring Alan Grofield, an occasional colleague of Parker. While he shares events and characters with several Parker novels, Grofield is less calculating and more hot-blooded than Parker; think fewer guns, more dames.Not that there isn’t violence and adventure aplenty. . The Dame finds Grofield in Puerto Rico protecting a rich, demanding woman in her isolated jungle villa, and reluctantly assuming the role of detective. A rare Westlake take on a whodunit, The Dame features a cast of colorful characters and a suspenseful—and memorable—climax.With a new foreword by Sarah Weinman that situates the Grofield series within Westlake’s work as a whole, this novel is an exciting addition to any crime fiction fan’s library.

La Dame (Alan Grofield, #2)

« Parker était entré à l hôpital avec un visage où le Syndicat de New York voulait mettre une balle, et il en sortit avec une tête qui ne dirait rien à personne. Du bon boulot. Payé à l avance, bien sûr. Le visage lui avait coûté presque dix-huit mille, ce qui lui laissait à peu près neuf mille pour tenir le temps de se remettre sur les bons rails. Il avait besoin d un boulot. Il avait écrit à Joe Sheer quelque temps plus tôt pour voir si rien n était dans l air. » Le truand Parker doit donc se remettre au travail, mais dans son boulot, il ne faut jamais baisser la garde, toujours être méfiant. Toujours.

Parker Tome 2 ; l'organisation

Une vente de tableaux qui doit rapporter cent soixante mille dollars, ça n'est pas mal. Même s'il faut en déduire des frais professionnels relativement élevés : la réussite d'une affaire dépend du soin apporté à sa réalisation. Et Parker et ses associés sont des spécialistes... du hold-up en tous genres ; ils respectent les clauses du marché. Ce qui n'est pas le cas de leur client amateur... d'art, et quand, de surcroît, la Mafia se pointe pour tirer les marrons du feu, ça commence à barder.

Portraits gratis

Parker a bien des soucis. Il veut récupérer le butin d'un braquage qui a été dissimulé dans une église désaffectée. Une idée de son complice Nick Dalesia. Mais Nick s'est fait arrêter et, bien qu'il ait réussi à échapper à la police, il constitue un danger. Les relations s'annoncent également compliquées avec l'autre complice, McWhitney, qui tient un bar à Long Island. Et il faut aussi compter avec une adversaire coriace, Sandra Loscalzo, une chasseuse de primes qui a besoin d'argent. Parker va devoir conclure avec elle une alliance de circonstance.
Richard Stark renouvelle la saga de son héros singulier en faisant la part belle aux femmes, de Claire la fidèle compagne de Parker à Sandra, la chasseuse de primes capable d'en remontrer aux hommes.

Argent sale

Difficile de trouver des complices convenables de nos jours. Parker, financièrement aux abois, a rejoint six autres types à Cincinnati pour s'emparer d'un stock d'or, mais il doit renoncer à ses plans lorsqu'il découvre que l'un d'eux porte un micro. C'est le début d'une série noire, car ensuite, le parfait imbécile qui les avait mis sur un coup d'enfer compromet tout par son émotivité et sa liaison avec la femme du banquier visé. Pour finir, un redoutable chasseur de prime débarque en plein braquage à la recherche du porteur de micro, que Parker a étranglé. Sans oublier les flics, qui ne vont pas tarder à s'en mêler. Parker se rend parfaitement compte que la situation est en train de lui échapper, mais il ne peut rien y faire. Et bien sûr, les choses dégénèrent.

A bout de course ! - Occasion

Parer vient de tuer un homme. S'il ne l'avait pas fait, c'est cet homme qui l'aurait éliminé. Parker n'a que le temps de se débarrasser du cadavre ; son associé Frank lui donne rendez-vous dans un motel de Lake placid pour y rencontrer deux spécialistes : Ralph Wiss, un artiste des serrures, et Larry Lloyd, un as de l'informatique. Leur cible : un superbe relais de chasse du Montana, propriété d'un milliardaire de la net-économie. Ce dernier, grand amateur d'art, possède une collection de tableaux d'une nature un peu particulière, car il ne s'agit que d'oeuvres volées. Et pour voler le voleur, il va falloir faire preuve de beaucoup d'ingéniosité...

Firebreak

Comeback

The statue wore white and grieved. Parker wasn’t interested in its sentimental value. The thief cared more about retrieving a certain gun that came with it, the one he had used in a previous crime that could incriminate him. By the time Parker comes face to face with the 16-inch-tall alabaster figurine called The Mourner, he knows that stealing it for a rich man and his beautiful, amoral daughter is the least of his worries. New players are coming in every minute, from strutting syndicate boys to a fat man with a heavy accent who is lighter on his feet than he looks. Now in a deadly, treacherous endgame, Parker will find out who intends to bury whom — and why no one will be crying over his grave.

Sous pression

Résumé

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