Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

De quelques cœurs inquiets - Petits essais de psychologie religieuse

Ce volume est le huitième de la série des Nouveaux cahiers François Mauriac.

Nouveaux cahiers François Mauriac n°08

De 1948 à 1955, François Mauriac a écrit un nombre considérable d'articles dans les journaux et les revues qui n'avaient pas été recueillis en volume de son vivant. Le grand romancier y traite de toutes sortes de sujets, avec une prédominance pour les thèmes littéraires et artistiques, sans omettre les questions de société ou les affaires judiciaires du moment. Il décrit les péripéties politiques de la IVe République, engage des polémiques avec ses contemporains, Sartre et Aragon par exemple, ou célèbre ses grandes admirations, telles que Pascal ou Proust. La Paix des cimes reflète la sérénité d'un écrivain au sommet de son art. Comme le Bloc-notes, D'un bloc-notes à l'autre et "On n'est jamais sûr de rien avec la télévision", la présente édition est assurée par Jean Touzot, un des meilleurs connaisseurs de l'œuvre de Mauriac.

La paix des cimes - Chroniques 1948-1955

Vie de jean racine

«Des romans brefs, classiques et purs, l'apothéose d'un genre voué à l'étude des passions. Sur la poésie des forêts bruissantes, l'amour prosaïque brûle dans l'interdit. Au théâtre, et dans les écrits autobiographiques, on trouve le même jeu : on ne sait si la religion l'inspire, ou le désir, ou la culture, ou le talent. Mauriac (1885-1970) a traversé tous les genres littéraires à une vitesse racinienne, en rêvant de Pascal : il est notre XVII? siècle.» Jean-Yves Tadié.

Oeuvres romanesques et théâtrales complètes Tome 3

François Mauriac, témoin du XXe siècle, présentation de Jacques MonférierMauriac et l'affaire Dreyfus, par Bernard CoculaFrançois Mauriac en 1914, par Jacques MonférierMauriac et le surréalisme, par Jacques PetitMauriac et Emmanuel Mounier, par Howard EvansMauriac et la Table ronde, par Michel BressoletteFrançois Mauriac et les salons littéraires, par Georges-Paul ColletFrançois Mauriac et " France-Maghreb ", par J. LacoutureFrançois Mauriac et la petite histoire littéraire de son temps, par Keith GoeschYves Frontenac et les " fourmis à tête d'homme ", par Maurice MaucuerFrançois Mauriac, témoin d'une époque (de mai 1968 au 27 avril 1969), par André SéaillesL'actualité aux " hasards de la fourchette ", par Jean TouzotVers une métaphysique du sensible - François Mauriac et " l'Univers des Formes ", par Michel SuffranFrançois Mauriac et la musique contemporaine, par Yves LerouxLe Paris des années 20 vu par François Mauriac, par Marie-Françoise CanérotMauriac et les hommes politiques, par François DurandL'oeuvre de Mauriac sous l'Occupation, par F. Narkirier

Cahiers numéro 07

Veuve et mère sublime, Blanche Frontenac se voue à l'éducation de ses enfants, Jean-Louis, José et Yves. Dans un désir d'éternité, elle tente de faire de sa famille une véritable oeuvre d'art. Mais les femmes, la guerre et la littérature bouleverseront ce dessein qui l'unissait à ses fils...

Le mystère Frontenac

PrésentationUne génération dans l'orage : Éternité 14-18, par Michel Suffran, précédé de la reproduction d'une lettre de François MauriacJalons d'une amitié : François Mauriac, Robert Vallery-Radot, par Yves Leroux40 lettres de François Mauriac à Robert Vallery-Radot (1909-1912)12 lettres de François Mauriac à Robert Vallery-Radot (1910-1931)Mauriac, Lacaze et " l'absent bien-aimé ", par Margaret ParryL'apaisement de l'angoisse, par Dom GozierCalendrier des activités des Amis de François Mauriac

Cahiers numéro 12 (1985) - Les amis de jeunesse

Il semble que François Mauriac ait mis le meilleur de son art dans cette cruelle peinture d'une famille de hobereaux du Sud-Ouest dont l'héritier, un pauvre homme dégénéré, s'est mésallié en épousant une jeune fille qui n'a pu résister au désir de quitter son milieu bourgeois et de devenir baronne.De cette union mal assortie est né un fils, Guillou. Nous suivons le calvaire de cet enfant, si disgracié physiquement, si sale, si arriéré que sa mère ne l'appelle que le Sagouin. Nous le verrons tout près peut-être du salut parce qu'enfin quelqu'un, l'instituteur du village, le traite en être humain, mais cet homme bon et secourable renonce à s'occuper de l'enfant du « château » et la tragédie se précipite.Victime de la haine de sa mère à qui il ne rappelle que d'odieux souvenirs, victime des préjugés du village, la pauvre Guillou entraînera son faible père dans la tragédie. Cette « sombre et parfaite nouvelle » - le mot est de Robert Kemp - est un récit d'une grande intensité qui évoque un monde de haine et de souffrance avec une remarquable sobriété de moyens et un art achevé.

De quelques cœurs inquiets - Petits essais de psychologie religieuse

Résumé

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