Akli veut aller chercher son épée chez son oncle qui habite la ville. Mais, pour cela, il doit traverser le désert et affronter des génies méchants et grands comme des monstres. Akli demande à Azumar le chameau de l'accompagner et, pour le convaincre, il lui promet une selle d'argent...

Akli prince du désert

Lola vient d'avoir un petit frère.
 Elle trouve qu'il lui ressemble. elle veut lui donner grand loup, son plus beau jouet. mais théo ne le veut pas. il pleure. " je crois qu'il ne m'aime pas ", se dit lola.

Tu m'aimes ou tu m'aimes pas ?

Vent d'hiver - Petites histoires pour réchauffer les jours froids

Comment dire je t'aime quand on est timide sans devenir tout rouge ?
C'est ce que Zouk, le crocodile va tâcher de dire à Rumba, la girafe...

Moi, je t'aime

Monstre ne me mange pas

Carl Norac invite les enfants à approcher la beauté du monde à petits pas et à la saisir au détour des cailloux tombés des poches du poète.
Cette promenade poétique explore la nature, fait parler le soleil, l'arbre et le champ. Mais la quête de beauté, thème de ce Printemps des poètes 2019, ne néglige pas les bonheurs décalés comme la vue d'un terril, paysage de l'enfance du poète.
Un fil invisible relie les 36 poèmes et le miel des souvenirs au temps qui passe. Le jardinier, par exemple, cultive les livres et le poète, chante le merle, « la plus belle virgule noire de la phrase de son paysage » sur les images délicates de Julie Bernard.
En fin d'album, les lecteurs peuvent s'essayer à une dernière question : « sur tes sentiers, dis-moi : ce serait quoi, la beauté ? ».

Le livre des beautés minuscules ; 36 poèmes pour dire la beauté du monde

Joey l'écureuil vit avec sa famille dans un grand parc à New York. Laveur de vitres sur les plus hauts gratte-ciels, il n'a peur de rien. "Tous les matins, c'est mon jour de chance. Mon pays, c'est la chance. Appelez-moi Lucky Joey ! "

Lucky Joey

Le carnet de Montréal

Au détour de ses promenades et de ses ruminations intérieures, Monsieur Satie rencontre une fille aux grands yeux verts, la pauvreté. Et puis aussi un facteur pas très aimable, un nuage voyageur, un parapluie qui aime danser au soleil, un chapeau à rêves et Madame Valladon, avec qui il esquisse quelques pas de danse... Mais aussi son piano, bien sûr, qu'il emmène en promenade dès qu'il fait beau.

Erik Satie était un solitaire qui aimait les autres. Voici huit récits pour présenter ce rêveur fou qui cachait ses sentiments derrière chacune de ses notes. Un texte grave, drôle et tendre, lu par François Morel, sur les plus célèbres pièces pour piano d'Erik Satie.Grand prix de l'Académie Charles Cros, Coup de coeur Ricochet, Prix Mino Talent Adami et de la SPPF, Réalisé avec le soutien de l'Adami et de la SPPF

Akli prince du désert

Résumé

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Critiques

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