Correspondance" de Jean-Baptiste Say. economiste classique francais, journaliste et industriel (17667-1832).

Correspondance

Défenseur de l'éducation comme moyen de favoriser la morale chez son peuple fictif d'Oblie (mais c'est naturellement de la France dont on parle), Jean-Baptiste reconnaît également, déjà, l'influence des principes économiques. La science de l'économie politique, qu'il a découvert chez Adam Smith, lui apparaît comme une science importante, la plus importante de toutes . Dans Olbie, Say a soin de montrer quels bienfaits attendent les peuples qui en appliquent les principes. Cet ouvrage est aussi une occasion de réfléchir, avec l'un des grands esprits du dix-neuvième siècle, sur ce que signifie la morale, mais aussi sur les moyens de la favoriser sans vouloir - prétention funeste - provoquer le bien par la contrainte, et, en suivant le vers célèbre de la Henriade de Voltaire, forcer les Français à devenir heureux.

Olbie

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Cours complet d'économie politique pratique

À la manière de La Bruyère, Jean-Baptiste Say propose dans son Petit volume des considérations morales piquantes sur la société de son temps. Composé d'aphorismes, de conseils et de développements critiques, ce texte curieux fait découvrir un moraliste et un philosophe, derrière l'économiste libéral que la postérité a reconnu comme un maître. L'auteur y adopte un ton tantôt jovial, tantôt grave, passant sans transition des questions économiques aux préceptes moraux, des erreurs politiques aux mauvaises habitudes personnelles de ses contemporains.Extrait:Lorsqu'une fois on a pris l'habitude de généraliser facilement et qu'on le fait avec un jugement passablement sain, on peut ensuite descendre de la loi générale à des faits particuliers même inconnus. C'est ainsi que Newton a prédit les aberrations des planètes qu'on ñ'avait pas encore observées de son temps. C'est ainsi que la connaissance de la nature humaine fait prévoir les aberrations des hommes, même avant qu'elles n'arrivent.

Petit volume contenant quelques aperçus des hommes et de la société

This Elibron Classics book is a facsimile reprint of a 1803 edition by Deterville, Paris.Excerpt from A Treatise on Political Economy, or the Production, Distribution, and Consumption of Wealth, Vol. 1 of 2 Quite a necessary part of education. Aided by the general advance of human intelligence, and stimulated by the acute sense of individual, or the dismal scene of national, calamity, its maxims have been discussed alike in the counting-house and in the cabinet: in the...

Traité d'économie politique, ou simple exposition de la manière dont se forment, se distribuent, et se consomment les richesses: Tome 1

Cours d'économie politique et autres essais

Excerpt from Catechism of Political Economy: Or Familiar Conversations on the Manner in Which Wealth Is Produced, Distributed, and Consumed in Society This work does not pretend to furnish means of becoming rich. It professes only to point them out. Wealth cannot be produced from nothing: but a clock may be made with wheels; and, as men may be taught to make a clock, so they may be taught to make what is called Riches. Many men have the materials within their reach, who do not suspect it; and as for those who have them not, is it useless even to them to know where they are to be found, and how they may be employed? Some men may be better able than others to profit by the perusal of this little Work.

Catéchisme d'économie politique, ou, Instruction familière qui montre de quelle facon les richesses sont produites, distribuées et consommées dans la société

Olbie, ou essai sur les moyens de reformer les mœurs d'une nation

Ce livre basé sur les travaux de deux grands auteurs, John Stuart Mill et Jean-Baptiste Say, traite du principe de l'utilité et de l'utilitarisme. 
Les besoins qu'éprouve l'homme sont beaucoup plus nombreux dans une société civilisée que dans l'état sauvage. En dehors de ses besoins d'ordre social, l'homme éprouve aussi des besoins individuels. On désigne par « biens » toutes les choses qui permettent à l'homme de satisfaire ses besoins, aussi bien en société que sur le plan individuel ; et par « utilité » la qualité qui les rend propres à satisfaire ces différents besoins. Le principe de l'utilité consiste à mesurer l'estime que nous faisons des choses ou des actions sur le degré d'importance de cette utilité. 
Tout homme doué de son bon sens désire ce qui peut contribuer à son bien-être, ce qui lui est utile, et repousse ce qui produit en lui du malaise ou de la douleur, ce qui lui est nuisible...

Correspondance

Résumé

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