La poésie de l'encre - Tradition lettrée en Corée 1392-1910

in 4 broché 213 p. Editions Réunion des Musées Nationaux 2001. Catalogue de l'exposition déroulée au Musée octobre 2001 - janvier 2002. Tableau de chronologie en fin de volume. Bibliographie.

Nostalgies coréennes. Peintures et paravents du XVIIe au XIXe siècle

Archéologues, véritables pionniers et découvreurs de trésors au coeur de régions méconnues du globe, résistants de la première heure et compagnons de la libération... Joseph et Marie Hackin se rencontrent à Paris, au milieu des années 1920, alors que Joseph est conservateur du musée Guimet. Ensemble, ils parcourront le monde de part en part lors de quatre grandes missions scientifiques comme autant d'aventures, menant au cours de ces voyages des recherches déterminantes sur l'art oriental et asiatique. Pour la première fois, leur vie romanesque au destin tragique, leurs carrières de savants ainsi que l'importance de leurs rôles respectifs dans les premiers mois de la France libre sont ici relatés, à la lumière de recherches inédites et d'une riche iconographie.

De l'Asie à la France libre - Joseph et Marie Hackin, archéologues et compagnons de la Libération

« ... Michèle avait pris, sans presque le savoir, une décision à laquelle le songe flou où elle glissa donna une forme décisive : elle était assise au bord du clair ruisseau, des oiseaux piaillaient dans les buissons d'églantiers, des sauterelles zébraient l'ensoleillement du matin et les tilleuls embaumaient Près d'elle, Renaud... » « - Bonjour, toi... prononça Hervé, sûr que le pouvoir de sa voix, qu'elle aimait, agirait infailliblement. - Que me veux-tu ? demanda-t-elle durement, recevant son regard de velours avec affolement car il la rejetait dans la zone d'irrésolution et de vertige si difficilement désertée. - Te reprendre. » Renaud, Hervé... Leur amour enveloppe étourdit et fait osciller Michèle devant le difficile choix...

Un souffle de vent chaud...

Remarquable par son unité, la collection de peintures et paravents du musée national des arts asiatiques, Guimet est considérée comme l’une des plus importantes collections jamais rassemblées en Occident. Elle évoque l’univers décoratif de la Corée du 14e au 20e siècle, mais pas seulement, puisque bouddhisme et chamanisme ont leur place. Ce florilège inédit de quelque 170 oeuvres - rouleaux, paravents mais également céramiques et mobilier - largement déployées dans cet ouvrage, invite à reconsidérer les rapports et les liens qui existent entre le Japon, la Chine et la Corée sur fond de relations avec l’Occident pour mieux en comprendre les différences réelles et les correspondances.

Tigres de papier, cinq siècles de peinture en Corée

La Cité de la céramique de Sèvres conserve environ 280 oeuvres provenant de Corée, dont une grande partie a été rapportée en France par Victor Collin de Plancy (1853-1924), grand connaisseur de l'art de la Corée et premier consul de France dans le pays. Ce livre présente l'exposition conçue par la Cité de la céramique à l'occation de l'année France-Corée, illustrant les différents aspects de la création céramique coréenne de ses débuts au premier siècle de notre ère jusqu'aux créations contemporainesd'artistes revisitant la tradition, en passant par les céladons de l'époque Kôryô, ces pièces à la couverte vert-bleutée admirées dans le monde entier.

Roman d'un voyageur - Victor Collin de Plancy, l'histoire des collections coréennes en France

L'art Coréen Au Musée Guimet

La Corée est aujourd'hui en France un pays mal connu, mais dont la culture suscite de plus en plus d'intérêt.
Dans la perspective de l'année France-Corée, ce livre s'attache à donner des bases historiques en proposant un parcours chronologique complet de l'art en Corée jusqu'au début du XXe siècle.
Il montre comment, tout au long de son histoire, la Corée a su marquer sa différence, malgré les influences dues à sa position géographique entre ses voisins mongols, sibériens, chinois, japonais.
Jusqu'au vie siècle, il ne reste que des grottes ornées de fresques représentant la vie quotidienne et la mythologie de l'époque (shamanisme). Après le VIe siècle, la Corée adopte le bouddhisme et l'écriture chinoise, et développe une peinture et une sculpture d'une grande élégance, avec des bouddhas très humanisés. À partir du XVe siècle, le confucianisme va supplanter le bouddhisme, et les artistes s'attachent à des représentations de plantes et d'animaux, à des portraits et des scènes de genre dans une perspective très réaliste. Cette période qui va durer jusqu'au XIXe siècle voit également se développer des arts décoratifs très vivants, notamment autour du mobilier, et des céramiques exceptionnelles et d'une modernité surprenante.

La poésie de l'encre - Tradition lettrée en Corée 1392-1910

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