C'est l'histoire romancé du gangster Tony Perelli qui va sous fond de guerre de gang et de prohibition, imposer sa loi des armes ! Le décors est la ville de Chicago des années folles, alors capitale de la corruption, de la violence et des meurtres en série. 



Un grand cru d'Edgar Wallace qui a vécu une grande partie de sa vie sur la côte Est des Etats-Unis. 



L'écrivain britannique est notamment connu pour avoir participer à l'écriture du scénario de King Kong (1933). Ses policiers et ses romans d'aventure ont été traduits dans 44 langues et se sont vendus à plus de 100 millions d'exemplaires.

Le gangster [édition intégrale revue et mise à jour]

He is somewhat over fifty, a long-faced gentleman with sandy-grey hair and a slither of side whiskers that mercifully distract attention from his large outstanding ears. A high and flat-crowned bowler hat matches and yet does not match a frockcoat tightly buttoned across his sparse chest. His boots are square-toed, his cravat is ready-made. In short, he seems to be a rather harmless, somewhat eccentric gentleman. But it is fatal to underestimate Mr. J. G. Reeder ...

The Mind of Mr. J. G. Reeder

The sensational novel which launched Collins' Detective Story Club in 1929 was by Edgar Wallace, who wrote more crime stories in the 1920s, and more films, than any other author. This new edition of The Terror, with its original jacket artwork, also includes another classic Wallace text, White Face.

 A dangerous gang of criminals is imprisoned after a daring robbery, although the ringleader who masterminded the crime disappears with the loot. Finally released after ten years behind bars, they are out for vengeance on the man who betrayed them, and the trail leads to a lonely house haunted by organ music and the spectre of a hooded figure who prowls its dark corridors.

 The Terror began life as a stage play, then a film, and finally the book that began Collins' Detective Story Club in July 1929. This new edition also includes White Face, the other crime novel Wallace adapted from one of his own plays. A doctor finds a man murdered in a seedy part of London. The police suspect a notorious master of disguise known as 'White Face', and the doctor enlists a reporter to help him track down and unmask the elusive killer.

 This Detective Story Club classic is introduced by award-winning crime novelist and mystery genre expert Martin Edwards, author of the acclaimed The Golden Age of Murder.

The Terror

La terreur s'installe dans les milieux d'affaire Londoniens quand des cartes anonymes sont réceptionnées. Dessus, un cercle rouge et un message « Payez ou vous mourrez ». 



Ce roman fut adapaté au cinéma en 1959, par le réalisateur allemand ROLAND Jürgen sous le titre « Scotland Yard contre Cercle rouge » (Der rote Kreis).



Edgar Wallace est notamment connu pour avoir participer à l'écriture du scénario de King Kong (1933). Ses policiers et ses romans d'aventure ont été traduits dans 44 langues et se sont vendus à plus de 100 millions d'exemplaires

Le cercle rouge [édition intégrale revue et mise à jour]

ON the night of May 27, 1911, the office of Gilderheim, Pascoe and Company, diamond merchants, of Little Hatton Garden, presented no unusual appearance to the patrolling constable who examined the lock and tried the door in the ordinary course of his duty. Until nine o'clock in the evening the office had been occupied by Mr. Gilderheim and his head clerk, and a plain-clothes officer, whose duty was to inquire into unusual happenings, had deemed that the light in the window on the first floor fell within his scope, and had gone up to discover the reason for its appearance. The 27th was a Saturday, and it is usual for the offices in Hatton Garden to be clear of clerks and their principals by three at the latest.

The Melody of Death

IF you leave the Plaza del Mina, go down the narrow street, where, from ten till four, the big flag of the United States Consulate hangs lazily; through the square on which the Hotel de la France fronts, round by the Church of Our Lady, and along the clean, narrow thoroughfare that is the High Street of Cadiz, you will come to the Café of the Nations.

At five o'clock there will be few people in the broad, pillared saloon, and usually the little round tables that obstruct the sidewalk before its doors are untenanted.

In the late summer (in the year of the famine) four men sat about one table and talked business.

Leon Gonsalez was one, Poiccart was another, George Manfred was a notable third, and one, Thery, or Saimont, was the fourth. Of this quartet, only Thery requires no introduction to the student of contemporary history. In the Bureau of Public Affairs you will find his record. As Thery, alias Saimont, he is registered.

The Four Just Men

You will never know from the perusal of the Blue Book the true inwardness of the happenings in the Ochori country in the spring of the year of Wish. Nor all the facts associated with the disappearance of the Rt. Hon. Joseph Blowter, Secretary of State for the Colonies.

We know (though this is not in the Blue Books) that Bosambo called together all his petty chiefs and his headmen, from one end of the country to the other, and assembled them squatting expectantly at the foot of the little hillock, where sat Bosambo in his robes of office (unauthorized but no less magnificent), their upturned faces charged with pride and confidence, eloquent of the hold this sometime Liberian convict had upon the wayward and fearful folk of the Ochori.

Now no man may call a palaver of all small chiefs unless he notifies the government of his intention, for the government is jealous of self-appointed parliaments, for when men meet together in public conference, however innocent may be its first cause, talk invariably drifts to war, just as when they assemble and talk in private it drifts womanward.

Bones

Edgar Wallace (1875-1932) 

"- Monsieur, vous avez laissé tomber une fleur ! dit le gardien. 

James Sepping, à qui s'adressaient ces mots, rougit légèrement et regarda d'un air un peu confus les trois violettes qui gisaient sur le gravier immaculé de la cour d'honneur. Il n'avait ni l'allure ni la physionomie d'un détective, et quoiqu'il fût déjà l'un des principaux chefs de la police secrète de Londres, il avait su se garder de tout trait professionnel et avait plutôt l'apparence insouciante et joviale d'un vigoureux et jeune fils de bonne famille en vacances. 

- Non, ne ramassez pas ces fleurs, répondit-il au gardien... à moins que les règlements de la Tour de Londres ne s'y opposent. Elles ne font pas mauvais effet. 

Le vieux militaire décoré qui avait pour mission de faire visiter la Tour de Londres à quelques centaines de gens par jour, se frotta le menton en jetant à son interlocuteur des regards quelque peu soupçonneux... Mais l'aspect parfaitement correct et sérieux de James Sepping le rassura. 

- Les morceaux de papier sont défendus, mais pas les fleurs, dit-il. 

L'officier de police glissa une pièce de monnaie dans la main du gardien. 

- Il me semble, lui dit celui-ci, vous avoir déjà vu à la Tour, monsieur. 

- Oui... cela m'est arrivé... en effet." 

Le dénommé Kuppie, infernal et insaisissable maître chanteur, s'en prend au richissime Rex Walton qui doit épouser Dora Coleman. Jim Sepping, chef de la police secrète de Londres et meilleur ami de Rex, est sur l'affaire ; mais il faut avouer qu'il est impuissant... Kuppie a toujours un coup d'avance...

L'affaire Walton

Edgar Wallace (1875-1932) 

"Le train de Lewes qui quitte la gare de Victoria à 4 h. 15 s'était arrêté à Three Bridges à cause d'un déraillement et, bien que John ait eu la chance de prendre le train de Beston Tracey qui avait un léger retard, lorsqu'il était arrivé à cet endroit, la tapissière qui formait le seul lien entre le village et le monde extérieur était déjà partie. 

« Si vous pouvez attendre une demi-heure, lui dit le chef de gare, je téléphonerai au village pour vous faire envoyer une voiture. » 

John Lexman embrassa du regard le triste paysage et haussa les épaules. 

« J'irai à pied », répondit-il laconiquement, et, après avoir boutonné son imperméable jusqu'au menton, il s'enfonça résolument dans la nuit pluvieuse pour franchir les deux milles qui le séparaient encore de Little Tracey. 

La pluie semblait devoir tomber durant toute la nuit. La haie qui bordait la route étroite ruisselait comme une cascade et la route elle-même était un véritable marais où l'on plongeait dans la boue jusqu'aux chevilles. John Lexman s'arrêta un instant sous le branchage protecteur d'un grand arbre pour allumer sa pipe, puis se remit en marche. 

Le chemin qui reliait Beston Tracey à Little Tracey était associé dans son esprit aux passages les plus réussis de son ouvre. Il en avait fait le théâtre de ce crime mystérieux dont l'ingénieuse conception avait valu un succès retentissant à son dernier livre, qualifié de meilleur roman policier de l'année. Car John Lexman s'était spécialisé dans cette branche particulière de la littérature." 

John Lexman, auteur de romans policiers à succès, n'imaginait sûrement pas qu'en fréquentant l'homme d'affaires gréco-albanais Remington Kara, il se trouverait dans une situation digne de ses polars... Son ami, le commissaire T. X. Meredith semble impuissant à le sortir du pétrin...

Le gangster [édition intégrale revue et mise à jour]

Résumé

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