La france moderne

Le 2 février 1956, les listes présentées par Pierre Poujade obtiennent 2 500 000 voix aux élections législatives et 52 élus à l'Assemblée nationale. Stupeur dans la presse d'opinion et dans la classe politique, crainte et ironie mêlées chez les « intellectuels » ! Qu'est-ce que le poujadisme ? Mécontentement des couches sociales liées à des structures périmées ? Avatar d'une longue protestation antifiscale qui jaillit depuis des siècles des régions déshéritées du Centre ? Toute définition, comme le montre Dominique Borne, enferme le phénomène dans des limites sclérosantes. Seule, une étude précise de l'enracinement, des origines et de l'élargissement de la révolte permet d'en apprécier le vocabulaire et les gestes. Replaçant ce mouvement dans la conjoncture économique et politique des années 50, Dominique Borne en dévoile magistralement les filiations et les ambiguïtés.

Petits bourgeois en révolte ? - Le mouvement Poujade

"Relier l'histoire des lois et des règlements à la vie mouvante de la société et de l'Etat, nous intéresser moins aux institutions en elles-mêmes qu'à leur esprit" : telle est la visée de Denis Richet, qui unit indissociablement histoire sociale et histoire de l'Etat en décryptant le complexe institutionnel des trois siècles modernes, de la Réforme à la Révolution. Faut-il parler d'un "Ancien Régime" quand les contemporains le vivaient comme moderne ? Faut-il isoler les institutions de l'époque, alors qu'elles s'enracinaient dans un monde socio-culturel en perpétuelle évolution ? En répondant à ces questions, c'est tout un système — l'absolutisme français — que Denis Richet explore dans ce livre majeur, pour en révéler la genèse, l'épanouissement et la crise.

La France moderne : l'esprit des institutions

Peut-on comprendre la révolution française sans faire la critique des tabous et des mythes qu'elle a engendrés ? récusant à la fois les nostalgiques du roi et les partisans de robespierre, ce livre montre l'extrême diversité du phénomène révolutionnaire : à la fois fondateur des libertés politiques et de l'etat moderne, et à l'origine d'une guerre civile dont la violence et les atrocités n'ont pas fini de diviser notre mémoire.
 Cet ouvrage a ainsi ouvert de manière décisive une nouvelle approche de la révolution française. il rassemble deux de nos historiens les plus brillants, récemment disparus.

La revolution franÇaise

Depuis 150 ans, ce nom encombre la polémique sociale et politique, symbole de l'argent, incarnation du cosmopolitisme, bouc émissaire de l'antisémitisme. Voici qu'avec ce livre, l'histoire enfin se saisit de cette dynastie : Jean Bouvier a écrit à la fois la chronique d'une grande famille et le récit du développement d'un réseau bancaire. Documenté et clair, son livre explique l'aventure extraordinaire et pourtant « bourgeoise » du groupe Rothschild, qu'il suit à travers l'Europe dans ses personnages multiples et successifs - du « Juif de Cour » de l'Allemagne d'Ancien régime, jusqu'à la haute banque à Londres, Paris et Vienne, et jusqu'aux Rothschild d'aujourd'hui. Dans les portraits psychologiques et dans les reconstitutions comptables de Jean Bouvier, la banque et l'antisémitisme perdent en même temps leurs mystères.

Les Rothschild

« Relier l'histoire des lois et des règlements à la vie mouvante de la société et de l'État, nous intéresser moins aux institutions en elles-mêmes qu'à leur esprit » : telle est la visée de Denis Richet, qui unit indissociablement histoire sociale et histoire de l'État en décryptant le complexe institutionnel des trois siècles modernes, de la Réforme à la Révolution. 

Faut-il parler d'un « Ancien Régime » quand les contemporains le vivaient comme moderne ? Faut-il isoler les institutions de l'époque, alors qu'elles s'enracinaient dans un monde socio-culturel en perpétuelle évolution ? En répondant à ces questions, c'est tout un système - l'absolutisme français - que Denis Richet explore dans ce livre majeur, pour en révéler la genèse, l'épanouissement et la crise.

« Relier l'histoire des lois et des règlements à la vie mouvante de la société et de l'État, nous intéresser moins aux institutions en elles-mêmes qu'à leur esprit » : telle est la visée de Denis Richet, qui unit indissociablement histoire sociale et histoire de l'État en décryptant le complexe institutionnel des trois siècles modernes, de la Réforme à la Révolution. 
Faut-il parler d'un « Ancien Régime » quand les contemporains le vivaient comme moderne ? Faut-il isoler les institutions de l'époque, alors qu'elles s'enracinaient dans un monde socio-culturel en perpétuelle évolution ? En répondant à ces questions, c'est tout un système - l'absolutisme français - que Denis Richet explore dans ce livre majeur, pour en révéler la genèse, l'épanouissement et la crise.

La france moderne

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