Aux frais de la princesse (San-Antonio #158)

Quand le Vieux se mêle d'organiser un coup fourré, tu peux commencer à lui tresser des lauriers. Histoire de le sacrer roi des naves... Car on ne peut pas faire mieux dans le genre sac d'embrouilles. Pourtant, moi, la Sicile, j'étais partant. Tu te serais douté qu'on allait s'y chicorner avec les agents simples, doubles et triples du monde entier ? Tu te serais douté qu'on y transformerait Béru en porc de comice agricole ? Et que j'y prendrais des panards à grand spectacle ave ces dames de la famille MACHINCHOUETTI ? Eh bien, c'est pourtant ce qui nous attendait là-bas ! Plus quelques avatars pas piqués des hannetons que je te laisse le soin de découvrir tout seul, comme un grand. Après tout, si tu n'es pas encore majeur, t'es au moins vacciné. Non ?

Si, Signore !

Si tu n'as jamais vu le prince Charles d'Angleterre complètement mort, le nez dans une salade de homard, lis ce book. Si tu n'as jamais vu Béru propulser deux nonnes dans des cageots de tomates, lis ce bouquin. Si tu n'as jamais vu San-A aux prises avec un couple mystérieux qui le ridiculise, lis ce polar. Mais si tu as le palpitant qui déconne, l'ami, alors ne lis pas ce chef-d'œuvre, il te tuerait !

Baise Ball à La Baule

S'il y a une chose que l'on n'apprend pas en faculté de pharmacie, c'est bien à recevoir des morceaux de bonhomme par colis postal. Et Madame Agnès Masson, veuve de fraîche date, a beau tenir l'officine de main de maître, elle ne s'en trouve pas moins décontenancée face à tous ces membres coupés. Chose dont San-Antonio, plus que porté sur la cuisse, est tout prêt à s'occuper. Mais pour qu'il reconstitue le puzzle, la dame va devoir être gentille... À la colle comme à la colle !

Faites chauffer la colle (San-Antonio #154)

« Elle était chinoise et s'appelait Li Pût, ce qui dans l'argot pékinois signifie Poison d'Avril… » Un genre de poisson qui ne s'accroche pas dans le dos, si vous voyez l'astuce. Oh non ! De mémoire de micheton, on n'a jamais vu ça. Une peau de porcelaine, une bouche de cerise à croquer… Ce que l'Orient fait de mieux en matière péripatétique. C'est bien simple : les plus grands de ce monde ont succombé à ses charmes. Littéralement. Prochaine cible : le président des États-Unis. Or, de Li, San-A est gaga : dilemme cornélien et casse-tête chinois.

Poison d'Avril ou La Vie sexuelle de Lili Pute

Si vous aimez les frissons, alors là vous serez servis, et pas qu'un peu. Tout d'abord il y a ceux, ineffables ô combien, qui vous transportent au septième ciel, dont je ne suis pas avare, mes chéries, qui me connaissez bien comme moi je vous sais. Et puis les autres, ceux qui vous flanquent la Sibérie dans l'entresol, transformant vos espérances (c'est bien le mot pour la majorité, non?) en flétrissures ectoplasmiques. Je sens déjà que vous salivez d'avidité libidineuse et castagnettez de délicieuse frayeur anticipée avant même de mouiller votre doigt pour... tourner la première page de ce récit hautement édifiant.

Faites chauffer la colle

Les sables du désert, à perte de vue... Entre deux dunes, trois marchands ambulants cheminent à dos de dromadaire, Berbères pépères. Ce que vient fiche la fine fleur de la Sûreté parisienne (id est San-A, Béru et la Pinuche), loquée façon Lolo d'Arabie, dans ce Tartare sans frites ? Une mission incognito de la plus haute importance, sûrement... Mais va faire tenir le Gros sur un camélidé ! Ou même empêcher San-A de peloter les bayadères, chasse gardée de l'émir Obolan ! Les chiens aboient, la caravane passe...  SAN-ANTONIO ANNÉES 60

Bérurier au sérail

Les vacances de berurier

Connaissez-vous Stinginess Castle ?Au fin fond des Highlands, en Ecosse, ce château se dresse sur une colline dans les brumes britanniques.Un nouveau fantôme le hante depuis quelque temps. Et un fantôme de poids ! Il a pour nom : BERURIER !Et si vous saviez ce que le Gros et votre valeureux San-Antonio magouillent dans ce château de cauchemar, vous en auriez la chair de poule. Un renseignement : si vous entendez un craquement dans la pièce d'à-côté pendant que vous lisez ce chef-d'oeuvre, ne cherchez pas, c'est le fantôme de quelque Mac !

Aux frais de la princesse (San-Antonio #158)

Plus de livres de San Antonio

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques