Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Ode à Canto

Guantanamo - Guantanamour - une terre tout au bout de la terre... Dans une cage grillagée, voici deux hommes Rassoul, un prisonnier d'Afghanistan en tenue orange, ligoté sur une civière ; Billy Harst, un G.I. Deux êtres que tout sépare, que la haine seule rapproche. Parce qu'ils ne se connaissent pas. Uniquement la parole est capable de briser ces carapaces de méfiance et de peur qui opposent d'emblée deux individus, intégristes chacun à sa manière et pourtant désintégrés par leur propre passé, un passé qu'ils portent en eux comme une guerre civile. Une semblable désespérance, une commune révolte contre un destin ignoble vont rapprocher ces deux êtres, les rendre aux vraies valeurs de l'existence humaine, l'amitié, l'amour de la vie : tout ce qui se situe hors champ, en dehors du cadre étroit des systèmes et réduit l'individu à n'être qu'un simple pion sur un inaccessible échiquier mondial. Que faire alors ? Peut-être retourner chez les Indiens. Ceux d'avant la Conquête... Là où les hommes ne sont pas en cage, juste le temps d'un pique-nique, sans bagarre, sans drogue, sans béton... Et au nom de tous ceux qui sont morts, enterrer une bonne fois pour toutes cette putain de hache de guerre ! Mais n'est-ce pas déjà trop tard ?

Guantanamour

Comment dire ce que l'on pense à un ministre lorsque l'on est un directeur de théâtre en quête de subventions ? Comment retrouver le chemin de la création après avoir vu sa première pièce interdite pour "trouble à l'ordre public" ? Comment installer un théâtre dans une vieille chapelle transformée en parking ? C'est ce qu'explique Gérard Gelas en évoquant quarante-sept années consacrées au théâtre, avec chaleur, émotion et humour, dans un vibrant éloge de la "transmission buissonnière". D'anecdotes en confidences, se révèlent la passion et l'engagement d'un grand nom du théâtre avignonnais.

Transmissions

Comment dire ce que l'on pense à un ministre lorsque l'on est un directeur de théâtre en quête de subventions ? Comment retrouver le chemin de la création après avoir vu sa première pièce interdite pour « trouble à l'ordre public » ? Comment installer un théâtre dans une vieille chapelle transformée en parking ? C'est ce qu'explique Gérard Gelas en évoquant quarante-sept années consacrées au théâtre, avec chaleur, émotion et humour, dans un vibrant éloge de la « transmission buissonnière ». D'anecdotes en confidences, se révèlent la passion et l'engagement d'un grand nom du théâtre avignonnais

Afin de s'évader d'un Milieu situé quelque part dans le triangle formé par l'auberge des Trois Canards, la Butte et la place Blanche, à Paris, Livio rejoint son pays faussement d'origine, la Corse, et un certain mouvement nationaliste.
Poursuivi par l'implacable et très perverti commissaire Cherchel, il va connaître dans la clandestinité Aia, une très belle jeune femme se parant des odeurs du maquis et de celles des explosifs. On rencontrera aussi un ministre de l'Intérieur pas très recommandable et toute une série de tueurs, légaux ou illégaux, selon le côté où l'on se place. Un roman d'amour en noir, bleu et rouge. La fatalité, le ciel et le sang tissent un filet duquel les anges ont bien du mal à se défaire pour échapper aux balles.

L'ombre des anges Tome 1 ; je broie du bleu

" Elles sont douze. Elles sont là, devant vous.
Mille fois, vous les avez croisées, elles ou leurs sœurs. Dans les rues, au marché. Et mille fois, elles se sont tues. Les avez-vous jamais regardées, d'ailleurs ? Et les voici, toutes les douze, devant nous. Les voici, les courageuses, mais aussi les joyeuses, les rusées, les poétiques, les acharnées, les inventives. Epouses et mères et filles et femmes. La pièce commence. Elles se sont agenouillées. C'est au fleuve qu'elles s'adressent, au fleuve invisible de la Cité. "

La cité du fleuve

Ode à Canto - S'inspirant du "Voyage au pays des Tarahumaras", de l'extraordinaire Antonin Artaud

The beautiful vache folle ou La belle Camarguaise ! - [Avignon, Théâtre du Chêne noir, 2 décembre 1997

Pendant la guerre du Golfe, en 1991, un article relatait le mariage par téléphone d'un G.I., perdu quelque part dans le désert d'Arabie saoudite, avec sa fiancée, perdue aussi quelque part dans une grande ville américaine. Pour que cette noce soit heureuse, on accorda aux jeunes époux, une fois la cérémonie accomplie par le Maire, un tête-à-tête de vingt minutes au téléphone. Les personnages sont français, car guerre et sottise ne connaissent pas les frontières.

Ode à Canto

Résumé

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