Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Anvers-Malines

L'étude de la coordination, familière à tous les linguistes, semble être à première vue d'une banalité excessive et déroutante, tant nous sommes habitués depuis l'école primaire à la célèbre formule mnémotechnique " mois où est donc ornicar ? ".
 Pourtant, à y regarder de plus près, la coordination - dont les approches sont multiples et constamment renouvelées: logique, morphologique. syntaxique, énonciative. typologique, etc. - se situe au croisement d'une série de questions dont la réponse ne va pas de soi et que l'article initial s'efforce de replacer dans un développement construit.
L'examen du fonctionnement de la coordination à travers plusieurs types de langues anciennes ou modernes, d'origine indo-européenne ou non (comme l'arabe, le basque, le hongrois, le turc, le japonais et quelques autres), nous montre différents modèles auxquels notre esprit, guidé en général par les langues qui nous sont proches, n'aurait pas spontanément songé, mais aussi la constance des structures fondamentales, en nombre limité du reste.
Le schéma coordinatif.
 Par sa simplicité même, qui n'est certainement qu'apparente, semble aussi s'appliquer à toute construction syntaxique échappant à la toute-puissance du principe de hiérarchie, qui régit pratiquement toutes les relations qui s'établissent entre les différentes unités.
L'ouvrage, qui s'achève par une synthèse, un tantinet provocatrice, rassemble une vingtaine de contributions: il s'adresse à tous les spécialistes des langues, généralistes ou non, et concerne tous ceux qui ont recours directement au langage dans leurs expériences ou que l'étude du langage, dans ses fonctions et ses articulations essentielles, ne saurait laisser dans l'indifférence.

La coordination

Pourquoi la théâtralisation permanente de l'identité régionale rencontre-t-elle en Bretagne un accueil enthousiaste jamais démenti ? Pour répondre à cette question, ce livre s'intéresse aux acteurs qui depuis près de deux siècles tentent de transformer la situation de périphérie dominée de la Bretagne en une « question bretonne ». Les discours et projets nommés ici « idéologie bretonne » présentent trois constantes : le dessein de valoriser un peuple différent, sa langue et sa littérature, en se fondant sur leur caractère celtique ; la volonté plus ou moins affirmée de rompre avec la culture française en produisant un récit breton concurrent du roman national ; enfin, un consensus à propos de l'exceptionnalité de la Bretagne. Le terme « idéologie » résume - mieux que celui d'identité - l'ensemble des croyances, traditions plus ou moins réinventées que des acteurs divers et en concurrence orchestrent depuis environ 180 ans. Ce livre analyse cette idéologie à l'ouvre dans les politiques publiques régionales (langue et culture bretonnes) et il suggère que le bretonisme n'est pas sans combler le retrait sensible de la catholicité dans cette région. En somme, l'idéologie bretonne compense par l'émotion le désenchantement du monde, et demeure en deçà d'un projet politique, au grand regret des autonomistes.

L'idéologie bretonne - Entre authenticité et nationalisme soft

Peu de livres démontrent d une façon aussi pratique, sans complication, la gestion de nos employés. Rédigé dans un langage simple et accessible, avec parfois un peu d humeur, cet ouvrage démontre l efficacité québécoise en ressources humaines. Un livre qui fait état du savoir-faire québécois pour un service R-H ou pour un gestionnaire, dans un contexte de compétition et de globalisation. Le livre fait état de pratiques et de techniques, d innovations et de respect auprès de nos employés, dans l esprit de nos valeurs. L objectif de cet ouvrage est PERFORMANCE !

Les ressources humaines, le modèle québécois Tome 1

Véritable somme et bilan de multiples recherches menées sur le gotique en neuf chapitres, cet ouvrage renouvelle en profondeur la description de cette langue à la charnière de l'indo-européen et des langues germaniques anciennes. Comme le gotique joue au sein des langues d'origine germanique (anglais, allemand, néerlandais, langues scandinaves) le même rôle qu'exerce e latin auprès des langues romanes, l'ouvrage se recommande à tout spécialiste, qu'il soit germaniste, angliciste ou scandinaviste, et aussi à tous ceux dont l'intérêt se tourne vers la connaissance et le fonctionnement des langues naturelles.

Manuel approfondi de la langue gotique

Les dix articles de ce volume, publié en hommage aux importants travaux de René Amacker, professeur de linguistique générale à l'Université de Genève jusqu'en 2002, croisent le regard que les linguistes contemporains posent sur l'œuvre fondatrice de Saussure à partir de leurs paradigmes théoriques. Autour de questions générales (la place de Saussure dans l'enseignement universitaire ou l'articulation de la sémantique avec le Cours de linguistique générale) et particulières (le traitement des onomatopées en rapport avec l'arbitraire du signe, la nature du nom propre ou la notion de valeur face à celle de contexte), les auteurs témoignent de la manière dont on peut comprendre les grandes intuitions saussuriennes, ayant recours à des documents inédits, comme le cours de gotique que Saussure dispensa à Paris. Ils questionnent également la nature même du projet saussurien, souvent envisagé comme davantage théorique qu'empirique. Ce livre est dédié à la mémoire de Rudolf Engler, décédé quelques semaines avant la tenue du colloque qui fit naître le projet de ce livre, et où il était attendu.

Nouveaux regards sur Saussure - Mélanges offerts à René Amacker

Pourquoi la théâtralisation permanente de l'identité régionale rencontre-t-elle en Bretagne un accueil enthousiaste jamais démenti ? Pour répondre à cette question, ce livre s'intéresse aux acteurs qui depuis près de deux siècles tentent de transformer la situation de périphérie dominée de la Bretagne en une « question bretonne ». Les discours et projets nommés ici « idéologie bretonne » présentent trois constantes : le dessein de valoriser un peuple différent, sa langue et sa littérature, en se fondant sur leur caractère celtique ; la volonté plus ou moins affirmée de rompre avec la culture française en produisant un récit breton concurrent du roman national ; enfin, un consensus à propos de l'exceptionnalité de la Bretagne. Le terme « idéologie » résume - mieux que celui d'identité - l'ensemble des croyances, traditions plus ou moins réinventées que des acteurs divers et en concurrence orchestrent depuis environ 180 ans. Ce livre analyse cette idéologie à l'oeuvre dans les politiques publiques régionales (langue et culture bretonnes) et il suggère que le bretonisme n'est pas sans combler le retrait sensible de la catholicité dans cette région. En somme, l'idéologie bretonne compense par l'émotion le désenchantement du monde, et demeure en deçà d'un projet politique, au grand regret des autonomistes.

Anvers-Malines

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