La morale

6 mai 2007 6 décembre 2007 : à l'occasion de la Saint Nicolas, huit grands noms du dessin de presse, collaborateurs réguliers de Charlie Hebdo, mettent en lumière et analysent à leur manière les six premiers mois de « règne » de Nicolas Sarkozy. Le social, la politique extérieure, Cécilia, l'extrême droite, l'immigration, les people sont autant de domaines choisis pour illustrer la gestion du pouvoir politique par le nouveau président de la République, mais surtout son système. Car le bilan est lourd, la figure incontournable, l'omniprésence incroyable : Nicolas écrase tout le monde.
Catherine, Cabu, Charb, Jul, Luz, Riss, Tignous, et plus discrètement Wolinski, traquent l'improbable et pugnace président. Sévère, impitoyable, lucide, leur regard dessine les travers et les talents de l'homme de communication, le surdoué du copier-coller à la carte.
L'humour intransigeant de chacun, et leur connaissance quasi quotidienne de la vie politique et publique de Nicolas Sarkozy, rendent ce livre absolument indispensable.

Bonne fête Nicolas

Dessins parus dans le journal Hara-Kiri en 1965, 1966 et 1967.

Ils ne pensent qu'à ça

France, de nos jours. Le président de la République affiche un nouveau style de politique, épouse une ex-star des podiums de la mode reconvertie en chanteuse à texte, et monopolise l'espace médiatique. Pendant ce temps, le pays s'enfonce dans la morosité...Halte à tout cela ! Et le remède est tout trouvé : les dessins de Georges Wolinski. Chaque semaine, dans les pages qu'il confie à Charlie Hebdo, Paris Match et le Journal du Dimanche, Wolinski croque la France, les Françaises et les Français d'aujourd'hui, avec empathie mais sans concession. Grâce à ce nouveau recueil de dessins, florilège des plus récentes contributions de l'auteur, renouez avec l'un des plus brillants commentateurs des travers de notre société...

La France se tate

Trop beau pour etre vrai !

La main de Moscou ? La peur d'aller au pouvoir ? La revanche des "durs" ? La nostalgie du ghetto ? La tentation d'un "compromis historique" à la française ? Un irrésistible penchant pour la solitude ? La crainte de tirer les marrons du feu pour les socialistes ? Le parti communiste ne préfère-t-il pas à tout prendre être le premier dans l'opposition que le second au gouvernement ? Quand il devint évident que la négociation sur la mise à jour du programme commun entre les partis de gauche déboucherait sur un échec, les interrogations fusèrent de toute part dans la presse, à la radio, et à la télévision. Interrogations diverses, parfois contradictoires mais qui présentaient en général un dénominateur commun : c'était le parti communiste qui pour d'obscures et inintelligibles raisons larguait les amarres et prenait la responsabilité de la rupture. Dans cette Lettre ouverte à ceux qui se réclament du socialisme, René Andrieu répond de manière précise à ces questions et remet les choses au point : les communistes n'ont qu'une stratégie, celle de l'union de la gauche. Ils ne l'abandonnent pas, ils ne l'abandonneront jamais. Leur objectif n'a pas changé : créer les conditions pour que les partis de gauche aillent au gouvernement le plus tôt possible afin de mettre en ouvre ensemble, dans l'égalité des droits et des devoirs, une politique nouvelle qu'ils auront définie ensemble.

La morale

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