Lorenzo Lotto

"Une ville... Fougères... Un pays" c'est : - le Pays avant Fougères, de la nuit des temps à l'an 1000 ; - la Maison de Fougères et ses grands féodaux dont Raoul II luttant avec le roi d'Angleterre ; - l'éternelle frontière entre France et Bretagne jusqu'au désastre de Saint-Aubin-du-Cormier en 1488 ; - la misère au quotidien, toujours grandissante jusqu'à la fin de l'Ancien Régime ; - la Révolution attendue puis rejetée ; - la Contre-Révolution et les chouans de Bois-Guy ; - la permanence d'un patrimoine industriel qui trouve son siècle d'apogée avec la chaussure ; - le granit, ses carrières, ses tailleurs de pierres - la vie des champs et des campagnes, le « folklore » de nos pères ; - les guerres mondiales et leurs cicatrices ; - le présent enfin, de l'après-guerre à l'après-crise... C'est encore : - la fondation des paroisses, la population des communes depuis 1792 et un répertoire des sites et monuments remarquables.

Une ville... Fougères ... un pays

Avez-vous peur de mourir dans votre sommeil, enseveli sous l’écroulement de votre bibliothèque ? L’accumulation de livres ne met-elle pas en danger l’existence même de votre famille ? Classez-vous les volumes par thème, langue, auteur, date de parution, format ou selon un autre critère de vous seul connu ? Peut-on faire voisiner sur une étagère deux auteurs irrémédiablement brouillés dans la vie ? Autant de graves questions se posant à cette espèce en voie de disparition : les bibliomanes, qui, outre la passion de posséder les livres, ont celle de les lire.Les bibliothèques sont des êtres vivants à l’image de notre complexité intérieure. Elles finissent par composer un labyrinthe dont pour notre plus grand, et dangereux, plaisir nous pouvons très bien ne plus sortir.Dans ce petit traité sur l’art de vivre avec trop de livres apparaissent, parmi nombre d’autres, Pessoa tentant de devenir bibliothécaire, Matisse postulant au poste de « contrôleur du droit des pauvres » ou encore le capitaine Achab et le mystère de sa jambe abandonnée à Moby Dick.En fait, ces milliers de pages qui occupent nos étagères sont peuplées de fantômes bien vivants qui, une fois rencontrés, ne nous quittent plus.

Des bibliothèques pleines de fantômes

Cet ouvrage est consacré aux cadres et aux dirigeants du secteur public et du secteur privé. Il a pour première ambition d'engager une exploration des activités de ces responsables dans un contexte de travail marqué par la complexification des organisations, des relations
humaines et des tâches qui leur sont confiées. Que fait-on lorsque l'on encadre ou dirige un service, un établissement, une PME ? Quels obstacles, quelles contraintes, quelles situations rencontre-t-on ? Quelles sont les compétences requises par ce métier si particulier dont on peut constater qu'il fait de plus en plus appel à des habiletés d'interface, de médiation, de gestion symbolique, autant de savoirs professionnels complexes auxquels la formation fait généralement peu référence ? En posant le problème des compétences des cadres et des dirigeants hors de toute définition déterministe, il s'agit de montrer comment ces responsables trouvent et donnent du sens à leurs missions et à leurs activités. En effet, leur nouvelle professionnalité semble bien se situer
entre les logiques propres au rationnel et celles qui relèvent du champ du sensible en termes de ressenti et de vécu. Mais que signifie être cadre ou dirigeant aujourd'hui ? Quels parcours de professionnalisation
ces pilotes d'organisations vivantes et complexes peuvent-ils entreprendre, avec quels effets pour leurs compétences et leur identité ? Appuyé sur les apports de la psychologie sociale et des sciences de l'information et de la communication, ainsi que sur une démarche théorique et méthodologique originale et sur des témoignages, cet
ouvrage invite le lecteur à la découverte de cette construction souvent hésitante, parfois difficile, que représente le parcours vers le métier de cadre ou de dirigeant.

Nouvelles logiques, nouvelles compétences des cadres et des dirigeants - Entre le rationnel et le sensible

Année 1582 -Le samedi 10 de décembre advint dans la maison du Coq, rue SaintJean-de-Latran, un affreux massacre. Le libraire Nicolas Heucqueville fut tué durant la nuit et aussi son épouse, sa s?ur, ses deux garçons et son nouveau-né et la nourrice d'icelui et aussi son père [. . . ] c'est chose grandement déplorable en ce malheureux siècle de voir les maisons d'honnestes gens baignées de sang innocent. Le chroniqueur Pierre de l'Estoile relate ainsi, dans une page méconnue de son Journal, l'un des plus horribles faits divers du règne d'Henri III. Ce même mois de décembre 1582, rue de Latran, habitait le philosophe italien Giordano Bruno, alors en rupture de couvent. Impliqué dans l'enquête, Bruno partit à la découverte des surprenants coupables dans le Paris des derniers Valois, ses boutiquiers, ses collèges, ses librairies et ses tavernes du Quartier latin.

A l'enseigne de l'amitié

Comment le management et la communication appréhendent-ils les profondes mutations sociales, économiques, technologiques, fonctionnelles et culturelles qui affectent les activités humaines et les structures qui les abritent ? Quels savoirs et quelles compétences mobilisent-ils face à ces changements ? Font-ils l'objet d'échanges, d'emprunts, de réinterprétations ? Témoignent-ils de convergences ou de contradictions ? Comment sont mises en récit leurs éventuelles rencontres et pour quels effets individuels et collectifs ?

Management et communication

Les Historiettes de Tallemant des Réaux ne sont pas seulement un document essentiel sur la première moitié du XVIIe siècle, elles constituent l'un des monuments littéraires les plus méconnus, et les plus plaisants à lire, de leur époque. Ce petit livre est tout d'abord un hommage à leur auteur et à cette forme littéraire des plus répandues et souvent négligées : l'anecdote. On découvre en outre à lire Tallemant que les Historiettes trouvent, par les hasards de la littérature ou des influences, de mystérieuses correspondances avec des oeuvres à venir. Ainsi, apparaissent à y regarder de près des échos troublants de Tallemant chez Melville, Flaubert, Maupassant, Proust, Quignard ou Stephen King. Après Des bibliothèques pleines de fantômes et le plaisir à posséder des milliers de livres, c'est au bonheur de se promener parmi leurs pages que nous invite Jacques Bonnet.

Quelques historiettes ou Petit éloge de l'anecdote en littérature

Orthographe Et Principe D'Analogie. De La Theorie A La Pratique A L'Ecole Elementaire

Avez-vous peur de mourir dans votre sommeil, enseveli sous l'écroulement de votre bibliothèque? L'accumulation de livres ne met-elle pas en danger l'existence même de votre famille? Classez-vous les volumes par thème, langue, auteur, date de parution, format ou selon un autre critère de vous seul connu? Peut-on faire voisiner sur une étagère deux auteurs irrémédiablement brouillés dans la vie? Autant de graves questions se posant à cette espèce en voie de disparition : les bibliomanes, qui, outre la passion de posséder les livres, ont celle de les lire. Les bibliothèques sont des êtres vivants à l'image de notre complexité intérieure. Elles finissent par composer un labyrinthe dont pour notre plus grand, et dangereux, plaisir nous pouvons très bien ne plus sortir. Dans ce petit traité sur l'art de vivre avec trop de livres apparaissent, parmi nombre d'autres, Pessoa tentant de devenir bibliothécaire, Matisse postulant au poste de 'contrôleur du droit des pauvres' ou encore le capitaine Achab et le mystère de sa jambe abandonnée à Moby Dick. En fait, ces milliers de pages qui occupent nos étagères sont peuplées de fantômes bien vivants qui, une fois rencontrés, ne nous quittent plus.

Lorenzo Lotto

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