Aventures dans le commerce des peaux en alaska

Le photographe et ses modeles

Jacqueline Burne Deauville, dite Sunny, tient un bordel, fait d'un groupe de caravanes, au bord d'un lac de l'Alaska. Sillonnant cette région, où l'auteur a passé son enfance, Oncle Jake, le père de Sunny, sorte de capitaine Achab déguisé en John Wayne des glaces, ne cesse d'organiser des expéditions de secours, poussant ses traîneaux, chassant les ours. Et si Melville est bien là, Conrad n'est jamais bien loin, l'auteur développant jusqu'au vertige la complexité épique et onirique de l'âme humaine. C'est surtout Oncle Jake qui fait lever les amarres de l'imaginaire, lui le père grandiose de Sunny, la future reine des prostituées. Il finira par réaliser son rêve : partir à la recherche d'un totem, représentant Abraham Lincoln, abandonné sur une île sacrée.

Aventures dans le commerce des peaux en Alaska

Cassandra

Patte du scarabee (la)

Mais qu'avaient-ils donc en commun ces deux-là, Dervla O'Shannon, la maigrichonne de treize ans, et le caporal Teddy Stack, ce vétéran de la Grande Guerre en âge d'être son grand-père, pour écumer ainsi, main dans la main, la sombre et tumultueuse campagne irlandaise ? Elle, l'enfant trouvée de l'hospice Sainte-Marthe et lui le vieillard flamboyant de Saint-Clement, le foyer des anciens combattants ? Est-ce l'amour des chevaux ? Mais ce ne sont pas les minables poneys crasseux du haras de Lackey qui pourraient les retenir longtemps.
Est-ce Heather alors, la fière et blonde patronne de Great Manor, à peine plus âgée que Dervla ? Mais ce serait oublier que dans ce conte aux limites du fantastique, tout bruissant de ses durs fantasmes et ruisselant de couleurs, une chasse à courre qui ressemble fort au galop de la Mort va passer par deux fois sur le corps du récit. Et qu'en fin de compte une tribu d'enfants trouvées risque un sort à peine plus enviable qu'une nichée de souriceaux planquée sous les draps, au fond d'un lit à baldaquin.

L'irlandaise

Guilledou, beau cheval américain sur le tard de sa vie, a connu la gloire et les amours, la déchéance et la folie, le vertige des fuites et des batailles.
 Dans l'air frais du matin, il court l'amble ou le galop et raconte, avec la langue baroque de john hawkes, les vicissitudes de sa vie de cheval presque humaine, trop humaine.

Autobiographie d'un cheval

Jacqueline burne deauville, dite sunny, tient un bordel, fait d'un groupe de caravanes, au bord d'un lac de l'alaska.
 Sillonnant cette région, oú l'auteur a passé son enfance, oncle jake, le père de sunny, sorte de capitaine achab déguisé en john wayne des glaces, ne cesse d'organiser des expéditions de secours, poussant ses traîneaux, chassant les ours.  et si melville est bien là, conrad n'est jamais bien loin, l'auteur développant jusqu'au vertige la complexité épique et onirique de l'âme humaine.  c'est surtout oncle jake qui fait lever les amarres de l'imaginaire, lui le père grandiose de sunny, la future reine des prostituées.
 Il finira par réaliser son rêve : partir à la recherche d'un totem, représentant abraham lincoln, abandonné sur une île sacrée.

Aventures dans le commerce des peaux en alaska

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