Les mésaventures hilarantes d'un canard solitaire dans une ferme totalement déjantée! 

Il était une fois un canard qui boîtait.
Il marchait avec une canne avec deux n.
Un jour, il se mit à jongler pour attirer l'attention d'une cane avec un n...

Le canard qui avait perdu sa canne

Après Constance, c'était devenu invivable, chez moi. J'ai donc engagé une femme de ménage, mais elle ne prenait pas au sérieux la poussière. Quand elle m'a demandé de l'héberger, j'ai hésité, mais je ne détestais pas l'idée d'avoir une femme à demeure. La cohabitation a créé des liens, entre nous. Puis Constance est revenue, j'ai pris peur. J'ai décidé de m'enfuir. J'ai emmené avec moi ma femme de ménage. C'est elle qui a voulu. 

Ce roman paru en 2001 et a été adapté au cinéma en 2002 par Claude Berri. 

« Autant le dire tout de suite. On aime les livres de Christian Oster. Leur désespoir, leur folie, leur timidité, leur drôlerie. Cette syntaxe ferme qui enserre un univers en fuite. On se sent comme chez nous lorsque l'on est chez lui. Ses personnages ne sont pas des érudits de la vie. Loin de là. Ils tournoient, allégés du poids des aveux et des audaces, dans le préau de leur existence. Seul l'amour les mobilise. » (Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche) 

« Incontestablement, Christian Oster est l'un des grands maîtres actuels de l'humour. Un humour qui n'est ni noir ni d'une autre couleur, mais plutôt du genre impassible et pathétique. L'émotion qu'il insinue au coeur même de son humour est d'autant plus poignante qu'on ne l'attend pas, qu'elle monte sans que l'on y prenne garde, pour nous surprendre en train de sourire ou de ricaner des facéties mentales du narrateur. Vue d'un certain point de vue, la loufoquerie est une chose sérieuse, surtout si l'on y met, comme Oster, un accent de gravité. » (Patrick Kéchichian, Le Monde)

Une femme de ménage

Nous roulions vers l'île où Philippe fêtait son cinquantième anniversaire quand Laure se mit à éternuer. C'était son premier rhume. C'était la première fois aussi qu'elle me priait, quand nous eûmes pris une chambre d'hôtel, de la laisser seule. Puis, le lendemain, de poursuivre le voyage sans elle. Sans voiture, également. Toutes choses que je n'avais pas envisagées mais qui m'amenèrent bientôt, le pouce levé, au bord de la nationale. 

L'Imprévu est paru en 2005.

L'imprévu

"Un prince qui a un problème avec les chiffres, un autre prince beaucoup trop pressé, un cochon qui décide d'être le roi, une famille royale catastrophée, deux sorcières débiles, un chevalier bien embêté, un dragon sans dents, et bien d'autres surprises dans ces quatre histoires merveilleusement farfelues ! Edition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. "

Quatre histoires avec des princesses, des princes, un dragon et même un cochon

" J'ai pris le volant un jour d'été, à treize heures trente. "

On ne sait pas grand-chose des raisons qui poussent le narrateur à quitter Paris et à rouler en direction de Marseille, ville qui s'est imposée à lui comme un mot plus que comme une destination. Le seul besoin de fuir ? Ce serait trop simple. N'a-t-il pas plutôt l'intuition que c'est justement en s'en remettant au hasard que la vie peut enfin apporter du neuf ?

" La géographie n'a jamais été mon fort ", apprendrons-nous plus loin. Avec ce road-novel d'un genre très particulier, Christian Oster signe l'un de ses romans les plus forts.

Rouler

Hé bé ! Les poules en restent babas. Ce jour-là, Denise a pondu non pas un oeuf mais un boeuf. Oui, vous avez bien lu : un boeuf. C'est-à-dire un oeuf avec un b devant. Mais d'où peut bien venir ce b ? Pour le savoir, les poules vont devoir battre la campagne et enquêter. Est-ce un simple effet du hasard ? Peut-être. En tout cas, c'est vraiment le bazar. Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

La poule qui avait pondu un boeuf

Ils ne sont pas vraiment amis, pourtant, tous les ans, ils partent en vacances ensemble. Cette année, le départ est perturbé par des événements inattendus : Georges tombe amoureux, William fait une embolie, Paul et Louise se séparent, Jean devient père malgré lui... À la faveur de ce chaos, une solidarité indéfectible naît entre eux. Rien ne sera plus comme avant ? désormais, ils ne sont plus seuls.

En ville

C’est une princesse nulle en tout. Au bal, elle a tendance à écraser les orteils de ses prétendants. À cheval, elle finit toujours par tomber de sa selle. Quand elle parle, elle met souvent un mot à la place d’un autre et, à son âge, elle ne sait toujours pas se servir d’une machine à laver ! Qui voudrait épouser une princesse aussi nulle ? La reine, excédée, a ordonné à sa fille de se trouver un mari coûte que coûte et l’a flanquée dehors. Heureusement, être nulle en tout n’empêche pas de se faire des amis. Comme cet ours tombé du ciel, qui n’a pas l’air de la trouver si nulle que ça, la jolie princesse.

Le canard qui avait perdu sa canne

Résumé

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