Abrégé de l'histoire Universelle depuis Charlemagne - I

Les oeuvres complètes de Voltaire - Tome 83, Miscellaneous verse

400 citations des grands philosophes du 17ème siècle

Éloge de Louis XV, prononcé dans une académie, le 25 mai 1774Date de l'édition originale : 1774Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.

Éloge de Louis XV, prononcé dans une academie, le 25 mai 1774

Abrégé de l'Histoire universelle depuis Charlemagne jusques à Charlequint , par M. de Voltaire. Tome premier [-second]Date de l'édition originale : 1753Sujet de l'ouvrage : Histoire médiévale -- Ouvrages avant 1800Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.

Abrégé de l'Histoire universelle depuis Charlemagne jusques à Charlequint

Voltaire Zadig Jeune et riche, beau et intelligent, courtisé et considéré, savant et brave, Zadig incarnait à Babylone la plénitude du bonheur humain lorsque les caprices de la fortune mirent à l'épreuve la fermeté de son caractère et les ressources de son esprit. Trahi par la belle Sémire, en butte à la féroce jalousie du roi Moabdar, le voici bientôt réduit à l'état misérable de vagabond. Mais le malheur est-il vraiment sans remède pour qui possède au plus haut point, comme Zadig, «le talent de démêler la vérité que tous les hommes cherchent à obscurcir» oe On peut discerner dans Zadig la méditation d'un sage sur les jeux imprévisibles de la liberté et de la nécessité. On peut relire entre ses lignes Newton, Leibniz et Spinoza. On peut y découvrir également d'impertinentes allusions à la vie de Cour, une plaisante transposition romancée des mésaven- tures  versaillaises de Voltaire et de ses déboires sentimentaux dans les années 1745-1747. On doit surtout se laisser ravir par le charme de cette pure fantaisie narrative où l'esprit de l'Arioste voisine avec celui des Mille et Une Nuits.
La présente édition comporte également le texte de Memnon, dont l'histoire est étroitement liée à celle de Zadig, et Le monde comme il va.

Edition d'Edouard Guitton.

Zadig et autres contes

Candide or Optimism is above all a theodicy in the realm of evil. If, for Leibniz, we live in "the best of all worlds, where everything is for the best", Candide is faced with humanity's greatest misfortunes. However, Candide is much more than negativism, it is the quest for an optimism and relativism that alone can put us on the path to wisdom and happiness.

Candide

L'Ingénu

Political satire doesn't age well, but occasionally a diatribe contains enough art & universal mirth to survive long after its timeliness has passed. Candide is such a book. Penned by that Renaissance man of the Enlightenment, Voltaire, Candide is steeped in the political & philosophical controversies of the 1750s. But for the general reader, the novel's driving principle is clear enough: the idea (endemic in the day) we live in the best of all possible worlds, & apparent folly, misery & strife are actually harbingers of a greater good we cannot perceive, is hogwash. Telling the tale of the good-natured but star-crossed Candide (Mr. Magoo armed with deadly force), as he travels the world struggling to be reunited with his love, Lady Cunegonde, the novel smashes such ill-conceived optimism to splinters. Candide's tutor, Dr. Pangloss, is steadfast in his philosophical good cheer, in the face of more & more fantastic misfortune; Candide's other companions always supply good sense in the nick of time. Still, as he demolishes optimism, Voltaire pays tribute to human resilience. In so doing he gives the book a pleasant indomitability common to farce. Says one character, a princess turned one-buttocked hag by unkind Fate: "I have wanted to kill myself a hundred times, but somehow I am still in love with life. This ridiculous weakness is perhaps one of our most melancholy propensities; for is there anything more stupid than to be eager to go on carrying a burden which one would gladly throw away, to loathe one's very being & yet to hold it fast, to fondle the snake that devours us until it has eaten our hearts away?"--Michael Gerber

Abrégé de l'histoire Universelle depuis Charlemagne - I

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