La Nuit Qui Ne Finit Pas

Quand on découvre le colonel Protheroe tué d'une balle dans la tête dans le bureau du presbytère, le pasteur a déjà sans doute une idée sur l'identité possible de l'assassin ou, en tout cas, sur un mobile vraisemblable. N'assiste-t-il pas au thé hebdomadaire de sa femme, où s'échangent potins et cancans ? Il sait déjà que la victime avait un caractère de cochon, qu'elle avait eu une prise de bec avec le Dr Stone, que sa fille soupirait après le moment où sa mort lui donnerait la liberté, que le peintre qui voulait faire le portrait de ladite fille en maillot de bain en voulait au colonel parce qu'il l'avait jeté dehors. Et, tenez, même le pasteur, qui raconte l'histoire, avait eu sujet de s'en plaindre : le colonel ne venait-il pas vérifier les comptes de la paroisse ?

L'Affaire Protheroe

Une bande d'amis passe le week-end à la campagne. L'un d'eux a les plus grandes difficultés à se réveiller le matin et ses compagnons décident de lui jouer un tour. Ils placent huit réveils autour de sa chambre. Mais le lendemain le jeune homme n'apparaît toujours pas au petit déjeuner : il est retrouvé mort dans son lit et des huit réveils, il n'en reste que sept... 
Les enquêteurs feront bientôt un lien avec le célèbre night club de la région, « Les sept cadrans », et découvriront qu'il est le quartier général d'une bien étrange société secrète. 

Traduit de l'anglais par Alexis Champon

Les sept cadrans

La table qui se trémoussait à 5h25, au cours de la séance de spiritisme, avait raison : le vieux capitaine misogyne a été assassiné. Chez lui. Bêtement. Un crime de rôdeur ? La police n'y croit guère. Tout l'entourage est suspecté. Le domestique, les héritiers. Et particulièrement le neveu de feu Trevelyan qui, le jour du crime, avait pris pension à l'auberge voisine. Pour le tirer de ce mauvais pas, sa fiancée décide de mener l'enquête avec l'aide d'un journaliste. Elle n'a pas idée de ce qui l'attend, car tous ont un comportement étrange. A commencer par ces deux dames d'Afrique du Sud venues s'exiler dans cette région du Dartmoor qu'un hiver rigoureux paralyse. Entre horreur et stupeur, la reine du crime parvient toujours à nous prendre au dépourvu.

Cinq heures vingt-cinq

Tous ceux qui l'entouraient pouvaient tirer profit de la mort de Mrs Ingelthorp, riche maîtresse de la propriété de Styles : son second mari, Alfred Ingelthorp ; ses beaux-enfants, maintenus dans sa dépendance financière ; Cynthia, sa jeune protégée... Et tous auraient pu se procurer la strychnine qui l'a tuée. Mais pourquoi Hercule Poirot protège-t-il si obstinément Alfred Ingelthorp, alors que celui-ci se défend à peine contre les soupçons grandissants qui pèsent sur lui ? Patience ! Nous ne comprendrons qu'aux dernières pages le subtil jeu de stratégie qui s'est noué entre ces deux hommes, aussi redoutablement intelligents l'un que l'autre. Dès ce premier roman, publié en 1920, Agatha Christie démontre son extraordinaire habileté à nous tenir en haleine jusqu'au bout, alors même que les circonstances, les personnages, les indices nous sont parfaitement connus. Et surtout, elle campe le duo qui devait faire sa gloire : celui du petit détective belge et de son fidèle Hastings.

La Mystérieuse Affaire de Styles / Les quatre

Personne ne remarque jamais la présence de M. Satterthwaite, ce vieux gentleman aimable et effacé. Pourtant, on aurait tort de le prendre pour un personnage falot. Invité dans les manoirs de la noblesse, en villégiature sur la Riviera... où qu'il aille, des drames éclatent. Spectateur discret et attentif, il n'attend que le signe de M. Quinn pour entrer en scène. Ensemble, ils démasquent les coupables et innocentent les victimes. Ensemble, vraiment ? Comment se fait-il alors qu'il ignore tout de son prétendu ami ? Satterthwaite ne serait-il qu'un instrument entre les mains de M. Quinn ? Le mystérieux Harley Quinn, justicier insaisissable dont le visage reste toujours dans l'ombre...

À travers les douze nouvelles de ce recueil, la reine du crime s'amuse à explorer l'étrange et l'inquiétant, ravie de troubler son lecteur en flirtant avec la frontière du fantastique.

Ce titre réunit les volumes précédemment publiés sous les titres Le Mystérieux Mr Quinn et Mr Quinn en voyage.

Traductions révisées de Laurence Kiefé, Gérard de Chergé, Jean-Marc Mendel et Daniel Lemoine.

Le mystérieux monsieur Quinn

Sur le seuil de la chambre d'Hercule Poirot se tient un visiteur inattendu, couvert de poussiere de la tete aux pieds. L'homme le regarde fixement pendant un moment, puis son corps decharne chancelle et s'affale sur le sol.Qui est-il ? A-t-il subi un traumatisme ou seulement un coup de fatigue ? Et surtout, que signifie ce chiffre quatre, qu'il a griffonne sur toute la surface d'une feuille de papier ? Poirot se retrouve immerge dans une intrigue a dimension internationale, risquant sa vie - et celle de son frere jumeau - pour decouvrir la verite sur les Quatre et dejouer leur complot malefique."Traduction de Marie-France Franck entierement revisee""

Les Quatre

An elderly widow is murdered at a clifftop seaside house...What is the connection between a failed suicide attempt, a wrongful accusation of theft against a schoolgirl, and the romantic life of a famous tennis player? To the casual observer, apparently nothing. But when a houseparty gathers at Gull's Point, the seaside home of an elderly widow, earlier events come to a dramatic head. It's all part of a carefully paid plan - for murder...

L'heure zéro

This anthology of rare stories of crime and suspense brings together 18 tales from the Golden Age of Detective Fiction for the first time in book form, including uncollected stories by Ngaio Marsh and John Dickson Carr. 

 The Golden Age of detective fiction had begun inauspiciously with the publication of E. C. Bentley's schismatic Trent's Last Case in 1913, but it hit its stride in 1920 when both Agatha Christie and Freeman Wills Crofts - latterly crowned queen and king of the genre - had crime novels published for the first time. They ushered in two decades of exemplary mystery writing, the era of the whodunit, the impossible crime and the locked-room mystery, with stories that have thrilled and baffled generations of readers.

 This new volume in the Bodies from the Library series features the work of 18 prolific authors who, like Christie and Crofts, saw their popularity soar during the Golden Age. Aside from novels, they all wrote short fiction - stories, serials and plays - and although most of them have been collected in books over the last 100 years, here are the ones that got away.

 In this book you will encounter classic series detectives including Colonel Gore, Roger Sheringham, Hildegarde Withers and Henri Bencolin; Hercule Poirot solves 'The Incident of the Dog's Ball'; Roderick Alleyn returns to New Zealand in a recently discovered television drama by Ngaio Marsh; and Dorothy L. Sayers' chilling 'The House of the Poplars' is published for the first time.

 With a full-length novella by John Dickson Carr and an unpublished radio script by Cyril Hare, this diverse collection concludes with some early 'flash fiction' commissioned by Collins' Crime Club in 1938. Each mini story had to feature an orange, resulting in six very different tales from Peter Cheyney, Ethel Lina White, David Hume, Nicholas Blake, John Rhode and - in his only foray into writing detective fiction - the publisher himself, William Collins.

La Nuit Qui Ne Finit Pas

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