Césaire d'Arles (470-542) fut moine, puis évêque d'Arles pendant quarante ans. Né gallo-romain, il a été tour à tour sujet des Burgondes, des Wisigoths et des Ostrogoths, tous hérétiques. Il est mort dans la France mérovingienne, sous le règne du roi franc, catholique, Childebert. Pour tous, il fut un saint.

Césaire d'Arles

A en juger d'après la controverse, souvent passionnée, qui oppose spécialistes ou profanes depuis quelques années les investissements directs des États-Unis à l'étranger seraient à la fois la meilleure et la pire des choses, suivant la parole d'Esope. Faut-il parler d'impérialisme ? Les Américains s'en défendent. S'il est vrai que l'origine de la domination politico-économique des États-Unis doit être recherchée du côté du Pentagone, du Congrès et de l'opinion publique plutôt que dans les cercles dirigeants des milieux d'affaires, il est également évident que ce sont les entrepreneurs américains qui investissent à l'étranger et non la population, et qu'ils ne le font qu'à la condition d'être soutenus - financièrement, diplomatiquement et éventuellement militairement - par le gouvernement des États-Unis. Au regard de l'analyse économique traditionnelle, l'investissement direct américain fait d'ailleurs figure d'hybride, à la fois stock et flux, tour à tour interprété comme une réincarnation du bien et du mal. Pour les États-Unis, le bien, c'est le stock de capital détenu par des Américains à l'étranger, gage désormais dépassé de la convertibilité internationale du dollar et moyen de domination économique et politique sur le monde non-communiste ; c'est aussi le flux croissant des profits rapatriés engendrés par ce stock de capital. Le mal, c'est le flux incoercible de sorties de capitaux à long terme des États-Unis vers l'étranger destiné à financer les investissements nouveaux, qui grève la balance des paiements américains. Mais pour le reste du monde, le bien est ce qui est mauvais pour les États-Unis et le mal ce qui est bon pour les États-Unis. Que faire ? L'ambition des auteurs de ce livre, Christian Goux et Jean-François Landeau, tous deux universitaires et praticiens de l'économie, est de démontrer que la seule alternative réaliste en matière d'accueil des investissements directs américains réside en un « dirigisme tempéré ». Un sursaut nationaliste, en effet, ne parviendrait qu'à « nationaliser des murs ». A l'opposé, en rester au « laisser-faire » équivaut à se mettre - insensiblement mais inéluctablement - sous la dépendance économique, politique et culturelle des États-Unis : il faut que chacun sache que c'est en cela précisément que réside le Péril américain.

Le péril américain

L'une des périodes historiques préférée des enfants : le Moyen Âge et ses châteaux forts !

Les châteaux forts racontés aux enfants

La loi de cohésion sociale modifie en profondeur les conditions de mise en œuvre des projets de restructuration et des plans de sauvegarde de l'emploi. Bien plus qu'un simple réaménagement juridique, il s'agit de privilégier la gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences et le dialogue social de terrain. Ces dispositions conduisent à des modifications substantielles des systèmes de management en renforçant la responsabilité sociale de l'employeur et en créant un nouveau type de relations sociales fondé sur la concertation. Ce guide permettra aux acteurs concernés - dirigeants, DRH, partenaires sociaux - d'une part d'intégrer les dispositions de la loi de cohésion sociale et de mieux maîtriser les processus de restructuration, et d'autre part de mettre en œuvre les politiques managériales et de gestion des ressources humaines adaptées à chaque situation dans un souci permanent de dialogue et de concertation.

Emploi et Restructurations - Guide d'application de la loi de cohésion sociale

Ce nouveau recueil présente, au travers de quelques artistes emblématiques, les grands courants artistiques du XIXe siècle. Du néo-classicisme de David au réalisme apporté par la photographie, en passant par le romantisme de Delacroix ou de Beethoven. C'est une histoire des arts certes incomplète mais qui témoigne de l'histoire tourmentée de ce siècle souvent qualifié de mal-aimé mais riche d'enseignements.

Faire connaître la vie de grands artistes en quelques pages de BD ludiques, tel était le pari de Christian Goux pour le journal Le Petit Léonard des éditions Faton.
Pari tenu pour plus de 130 épisodes qui se rattachaient à l'actualité artistique de la parution du journal (exposition, anniversaire, actualité des musées...).
Pari réussi grâce au talent de l'auteur qui arrive à accrocher le jeune lecteur et qui, tout en gardant son propre style, rend l'esprit, la manière, l'ambiance de l'artiste ou du thème choisi.

Voici le 3e tome de la collection. La suite d'une série qui rencontre un beau succès éditorial.

Petites histoires de l'art racontées aux enfants Tome 4 ; vers l'épopée du XIXe siècle

Ce roi de France profondément pieux et épris de justice fut considéré comme un modèle de la Chrétienté.

Avec Saint Louis

Au-delà des dimensions politiques et sociologiques du débat sur les contrats de travail, il est frappant de constater combien des notions a priori aussi courantes que celles de " contrat à durée indéterminée " ou de " période d'essai ", pour ne citer qu'elles, sont source de fausses interprétations et de confusion. Destiné aux PME et aux TPE qui doivent en permanence s'adapter et anticiper les évolutions des marchés et les attentes des clients, ce guide pratique les aidera à se repérer dans la profusion et la complexité des contrats de travail. Dans un langage clair et accessible, l'auteur présente dans une première partie l'ensemble des contrats existants avec leurs possibilités de recours et les règles générales de mise en œuvre. Dans une seconde partie, il fait une étude comparative des aspects juridiques et économiques des principaux contrats et analyse leurs avantages et leurs limites. Le lecteur pourra ainsi choisir le contrat le plus adapté à ses besoins.

Le guide commenté des contrats de travail

Monet, Degas, Renoir, Van Gogh... des noms à jamais célèbre d'artistes connus du monde entier. A leur époque pourtant, leurs talents ne firent pas toujours l'unanimité, leurs sujets d'inspirations, la vie quotidienne, les paysages n'avaient pas la noblesse requise pour être considérés comme de l'art. Leurs tableaux sont aujourd'hui les plus cotés. Christian Goux a écrit et dessiné la vie de grands artistes en BD pour permettre aux enfants d'aborder l'histoire de l'Art de façon ludique et originale en créant une proximité entre l'artiste et le jeune lecteur. Une belle manière de faire découvrir aux enfants les richesses de notre patrimoine et de notre histoire.

La Belle Epoque... de Corot à Matisse - Petites histoires de l'art racontées aux enfants

Une nouvelle série de personnages hors norme : le comte Jean-François de La Pérouse et son expédition dans le Pacifique , Diane Fossey, la femme qui aimait les gorilles , le commandant Charcot, navigateur polaire, Clärenore Stinnes, première femme à avoir fait un tour du monde en voiture , Jacques Cartier, explorateur du Canada , Pytheas, l'astronome grec voyageur , René Caillié, premier occidental à être revenu de Tombouctou. Tragiques ou glorieux, mais toujours passionnants, des destins exceptionnels qui font rêver. A propos de l'auteur : Christian Goux, né en 1946, commence la bande dessinée après des études d'architecture et d'archéologie. Passé par le journal Tintin, il a notamment publié au Triomphe la série Petites histoires de l'art, en 5 tomes. François Dimberton, né en 1953, est dessinateur, illustrateur et scénariste de bande dessinée. Il a été l'assistant de Greg, et a signé près de 40 albums chez divers éditeurs depuis 40 ans. Guy Lehideux, né en 1944, est scénariste de bande dessinée depuis les années 1970.

Césaire d'Arles

Résumé

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