Der Gruftwächter ist das einzige Drama von Franz Kafka. Es entstand in der Zeit zwischen 1916 und 1917 und wurde postum veröffentlicht. Es behandelt die undurchsichtigen Machtverhältnisse und -verschiebungen am Hof eines Fürsten, wobei reale und irrationale Kräfte und Strömungen beschrieben werden. Kafka erinnert in diesem kleinen Drama an den 1. Aufzug des Hamlet. Auch dort erleben Wächter eine nächtliche Gespenstererscheinung des früheren Königs. Kafka hat das Shakespeare-Werk zu dieser Zeit intensiv gelesen. Der Gruftwächter entstand in der Epoche um den Tod von Kaiser Franz Joseph I.

Der Gruftwächter

Faut-il le rappeler ? Les textes ici réunis n'étaient pas destinés à la publication, et Kafka eut soin de le faire savoir à son ami Max Brod : "tout ce qui se trouve dans ce que je laisse derrière moi [... ] en fait de journaux, manuscrits, lettres, écrites par d'autres ou par moi, dessins, etc. , est à brûler sans restriction et sans être lu". Brod divulgua pourtant ces documents, progressivement et partiellement. Son geste passa tantôt pour une trahison, tantôt pour le signe tangible d'une fidélité vraie. Il reste, quoi qu'on en pense, que ces écrits dits "intimes" enrichissent la voix de Kafka et contribuent à faire d'elle l'une des plus singulières qui soient. Dans le sillage de ses romans, tous les écrits de Kafka ont peu à peu acquis un statut "littéraire". D'une centaine de fiches numérotées on a fait le recueil des Aphorismes de Zürau, parfois intitulé Considérations sur le péché, la souffrance, l'espérance et la vraie voie. La Lettre au père, nouvelle "description d'un combat", fut un temps promise à l'envoi postal, mais se lit aujourd'hui comme un texte autonome, et comme l'une des clés de l'oeuvre : Kafka déclara plusieurs fois son intention d'en confier le manuscrit à Milena Pollak afin de lui donner accès à une compréhension plus profonde de sa difficulté à vivre et à aimer - difficulté dont les lettres à Felice Bauer témoignent massivement. Ces lettres à Felice et les lettres à Milena (on a eu tôt fait de réduire ces jeunes femmes à leur prénom) ont été considérées comme de grands romans d'amour. Leur quantité, leur tonalité, la puissance des affects présidant à leur écriture les destinaient à une existence littéraire propre. Elles démontraient la violence chez Kafka du désir de vivre pour et par l'écriture, contre les voeux du père. Quant au Journal, il bénéficie d'une forte image d'"oeuvre pour soi ". Il fut pour son auteur un lieu de vie et de survie solitaire dans les profondeurs protectrices de l'écriture, un réseau souterrain de stockage sans cesse ouvert sur des galeries nouvelles - un terrier. Très hétérogènes, les cahiers de Journal servaient à consigner des notes personnelles et des récits de rêves, mais aussi à recueillir des chapitres de romans ou des ébauches de récits, à rédiger des brouillons de lettres, à accueillir des dessins et des exercices d'écriture. Ils sont ici traduits intégralement. Les nouvelles et récits contenus dans ces cahiers, et que l'on avait isolés pour les publier au tome I de cette édition, figurent donc de nouveau au sein du Journal, sous une autre lumière. Le corpus intégral des lettres de Kafka, dont quelques-unes étaient encore inédites en français, est ici classé selon la chronologie, et non plus, comme autrefois, par correspondants. C'est l'occasion d'une redécouverte - l'occasion aussi de prendre conscience de l'intrication des notes personnelles ou intimes, des projets littéraires et des lettres quotidiennes. Chaque tome contient en effet les Journaux de la période

Oeuvres complètes - Tome 3, Journaux et lettres (1897-1914)

A côté des rares volumes de nouvelles qu'il publia, Kafka 
songea, à partir de 1917, faire paraître un recueil d'aphorismes. 
On trouvera ici les deux grandes séries collationnées par lui de 
ses "pensées" éparses, délimitées par Brod et Schoeps, et 
conformes à l'édition allemande.La première, préparée par 
Kafka jusqu'en 1919, entre Prague et ses retraites à la 
campagne, est marquée par l'ombre menaçante de la 
tuberculose, par l'oscillation et le rejet dont témoignent ces 
années de relations convulsives avec la femme, l'impossible 
alma rêvée, Félice, Julie, ... Milena; la seconde série, articulée 
sur le "il" (dont Kafka a dit que cette troisième personne du 
verbe signa son passage de la quête initiale à la littérature 
effective), à l'orée de 1920, tandis qu'il délaisse son 
volumineux journal, commencé dix années plus tôt, et comme 
venant étrangement s'y substituer, datant à présent sur 
quelques pages de ses "cahiers bleus", plutôt que les 
numérotant, ses pensées et aphorismes. Comme en marge de la 
visée littéraire de Kafka, mais l'éclairant singulièrement, 
l'enjeu et la nature de ces aphorismes ne laisseront pas de 
surprendre. Et on pourrait dire, avec Claude David qui attira 
l'attention sur leur extrême importance, que c'est en effet, pour 
une réelle connaissance de Kafka, là sans doute "le fond 
permanent de sa pensée qui apparaît".

Aphorismes

"El híbrido" (título original en alemán: "Eine Kreuzung"), es un relato corto escrito por Franz Kafka en 1917.

El híbrido

Un matin, Joseph K. est arrêté. Qui l'accuse ? De quoi ? Quand aura lieu son procès ? À ces questions, une réponse implacable: "C'est la loi." L'erreur est donc impossible. Ainsi, lentement, au rythme de l'administration, la vie de K. tourne au cauchemar. Avocats désabusés, juges peu scrupuleux, tribunal déserté... la justice n'est plus qu'absurdité, simulacre d'une liberté déjà perdue.

Le Procès [édition intégrale revue et mise à jour]

"Beschreibung eines Kampfes" ist eine etwa zwischen 1903 und 1907 entstandene dreigliedrige Erzählung Franz Kafkas, die sein erstes erhaltenes Werk darstellt und die postum veröffentlicht wurde. Der erste und der dritte Teil beschreiben das Gesellschafts- und Nachtleben Prags aus der Sicht des Erzählers und seines Bekannten. Den mittleren Teil kann man als fantastische, in sich mehrfach untergliederte Traumsequenz verstehen.

Kafka hat zwei Fassungen dieser Geschichte geschrieben.

Beschreibung eines Kampfes

"Buitres" (título original en alemán: "Der Geier"), es un relato corto escrito por Franz Kafka en 1920.

Buitres

"Hochzeitsvorbereitungen auf dem Lande" ist eine fragmentarische Erzählung von Franz Kafka, die zwischen 1907 und 1909 entstand und postum veröffentlicht wurde. Die eigentliche Geschichte, nämlich die Fahrt des unglücklichen Bräutigams Raban zu seiner Braut aufs Land, ist eingebettet in minutiöse Beschreibungen des ganzen Umfeldes.

Diese Erzählung war als Teil eines Romans vorgesehen. Kafka hat jedoch nach mehrfachen Anläufen das Romanprojekt verworfen.

Hochzeitsvorbereitungen auf dem Lande

Die Erzählung "Das Urteil" hat den Charakter einer Novelle und handelt von einem Vater-Sohn-Konflikt. Georg Bendemann, Sohn eines Kaufmanns, verlobt und kurz vor der Heirat stehend, korrespondiert brieflich mit seinem - aus seiner Sicht - glücklosen Freund in Petersburg. Um diesen zu schonen, verschweigt Georg in seinen Briefen viel von seinem eigenen erfolgreichen Leben. Doch nach langem Überlegen und eifrigem Zureden von Seiten seiner zukünftigen Frau entschließt er sich, ihm doch von seiner bevorstehenden Hochzeit zu erzählen. Als Georg mit dem Brief zu seinem Vater geht, kommt es zu einem Disput. Während des Streits erfährt der Sohn, dass sein Vater angeblich schon lange mit dem Petersburger Freund in Verbindung stehe und diesen längst über alles unterrichtet habe. Der Vater wirft Georg vor, die Leitung des Geschäftes an sich gerissen und eine nicht ehrenhafte Verlobte gewählt zu haben. Er beendet die Auseinandersetzung mit den Worten: "Ich verurteile dich jetzt zum Tode des Ertrinkens!" Daraufhin läuft der Sohn aus dem Haus, stürzt zum Fluss, schwingt sich über das Geländer, "rief leise: 'Aber liebe Eltern, ich habe euch doch immer geliebt', und ließ sich hinabfallen."

Der Gruftwächter

Résumé

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