Une amie de la mère d’Emma lui offre un carnet tout blanc, un carnet à secrets. Mais Emma ne sait écrire que son prénom. Ce n’est pas grave, elle va y dessiner, coller un ticket de métro ou un papier de bonbon... bref, garder une trace de ce qu’elle vit, de ses émotions et de ses rêves. Et constater qu’elle a une vie bien remplie !

Le carnet à secrets

Cela fait des semaines et des semaines qu'il pleut à verse. Célia n'en pleut plus. Mais la jeune fille a de la ressource : plus tard, elle veut être inventrice ! Voici donc son premier défi : inventer un parapluie sans manche ! Un parapluie un peu magique... Grâce à sa folle imagination et à l'aide de Jules, un garçon bien plus matheux qu'elle, peut-être trouvera-t-elle la solution ?

Il pleut des parapluies

Dana ne sait pas comment se situer dans cette famille. Elle aimerait tellement être fille unique. Sa grand-mère va lui donner l'occasion d'exaucer ce rêve. Mais Dana va vite s'apercevoir que ces soeurs lui manquent...

La famille trop d'filles : Dana

La princesse Doritch avait des critères bien particuliers en ce qui concerne les princes charmants. Elle était moyennement sensible au courage, à la beauté, à l'argent, et au massacre de dragons. Une seule chose comptait pour elle : il fallait que son prétendant soit capable de lui gratter le dos, correctement, savamment, et au bon endroit, jusqu'à ce que cesse cette épouvantable démangeaison qui lui rendait parfois la vie impossible. Aussi avait-elle décidé d'aborder tous les princes d'une manière très directe, en leur demandant de lui gratter le dos sur-le-champ. Les résultats furent très variés.

Un jour mon prince grattera

Emma et l'école

Une nouvelle tranche de vie de la famille trop d'filles au travers des yeux d'Elisa, passionnée de danse. 
Pour Elisa, c'est la déprime ! Elle en est convaincue : ses pieds grandissent plus vite que le reste de son corps. Comment continuer à danser avec des pieds si gigantesques ?

Elisa, la ballerine aux grands pieds

Emma et le cadeau de Noël

Ecrire, c'est comme vivre, ça vous tombe dessus comme un coup de foudre. C'est ce qui m'est arrivé quand j'étais petite. J'ai tout de suite aimé le crayon, les cahiers, le papier à lettres. À la folie ! J'y voyais un pouvoir magique : je pouvais crier sans émettre un son. Je pouvais faire rire une feuille de papier inanimée. Et surtout, je pouvais enfin parler, car je vivais dans une famille très bruyante et la seule façon pour moi de placer un mot, c'était de l'écrire. Et puis, j'étais Dieu ! Je pouvais faire disparaître mes ennemis et créer un monde idéal. Oui, je détenais un vrai pouvoir magique ! J'aimerais partager ma passion avec vous et vous dire que, pour être écrivain, il n'y a pas de secret : il faut écrire. L'écriture est une activité à pratiquer comme un sport : elle demande entraînement, endurance, persévérance. J'aimerais vous pousser à aimer écrire. C'est un de mes rêves depuis longtemps, car je pense sincèrement que plus on est de fous, plus on s'amuse ! Et une fois que la passion est là, on peut aller jusqu'à la lune !

L'agenda de l'apprenti écrivain

Queue vie ! Plus riche, plus inouïe, plus drôle qu'un roman ! Cela tombe bien, Susie Morgenstern est romancière : elle a publié plus de cent cinquante livres, dont d'immenses best-sellers pour les enfants. Avec elle, impossible de s'ennuyer. Tout est rire, autodérision, émotion. Elle a l'art de raconter les petits et les grands moments de la vie, les chagrins, les joies, mais surtout l'éblouissement d'aimer. De ses 18 exils, elle tire un hymne à la vie qui se lit pied au plancher et sourire aux lèvres.

Le carnet à secrets

Résumé

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