Mexico Noir

No sabía el presidente errante de México, Benito Juárez, ni su compañero de fuga y fino cronista Guillermo Prieto, los líos que habría de desencadenar aquel ataque de los inoportunos en un pueblo perdido de Durango, mientras huían de imperiales y franceses. No sabía el guerrillero y poeta Vicente Riva Palacio (además de fiero, importador del saxofón) la cacería que contra él había de desatarse por haber salido de Puebla una noche al mando de las caballerías. Nadie sabía, pero todos hablaban del tesoro. Maldito país de rumores…Y en medio de una patria desgarradora por los incendios y las batallas, aparecen apaches solitarios, un hombre se lee el Archivo General de la Nación para matar el aburrimiento, dos oficiales sureños gringos se besan a la luz de la luna del desierto de Chihuahua, el general Escobedo cruza países como si fueran charcos, un contraguerrillero imperial tortura campesinos y el cuñado de Manet va cambiando de nombres en una ruleta rusa…

Le Trésor Fantôme

Description: The narrators of Paco Ignacio Taibo II's wonderfully inventive novel, Four Hands, are Greg Simon and Julio Fernandez: investigative journalists uncovering an elaborate plot by an obscure American government agency to vilify the Sandinista leadership in Nicaragua. The story they discover and type out together weaves truth with lies, wild humor with tragedy, and reality with fantasy–a stranger-than-fiction tale of imperial excess where delusion makes perfect sense. Joining such historical figures as Harry Houdini, Leon Trotsky, Pancho Villa, and Stan Laurel is a sprawling cast of characters that includes Alex, a spymaster with a knack for the absurd; Rolando, a depraved Mexican drug trafficker; and Stoyan Vasilev, a geriatric Bulgarian counterspy. A “documentary novel” and a passionate satire about the means and ends of politics, Paco Taibo's Four Hands has been compared to the fiction of Marquéz, Dos Passos, Doctorow, and Heller. Praise: “I am his number one fan…. I can always lose myself in one of his novels because of the intelligence and humor.” —Laura Esquivel, author of Like Water for Chocolate “Taibo writes with genuine savvy, a crackling wit and a certain zaniness that is his very own…. A storyteller of real genius.” —Los Angeles Times “Like Bach (or Houdini), the pleasure Taibo offers us consists in watching him set himself a problem of astonishing complexity and then solve it.” —New York Newsday “It’s impossible to review [Taibo II’s] literary work without painting an ideological portrait. He’s probably the writer on the left with the proudest lineage of all those I’ve read.” —Christopher Domínguez Michael, Letras Libres “Taibo's prose is rich in metaphor, and his confident, insightful storytelling makes the individual pieces of his novel intriguing long before the connections among them are apparent. Dail's translation does fine justice to the author's colorful, virtuosic narrative.” —Publishers Weekly About the Author: Paco Ignacio Taibo II, or PIT, was born in Gijón, Spain in 1949, before fleeing Franco’s dictatorship with his family in 1958. He has resided in Mexico City ever since, where he’s built a career as a writer, journalist, historian, and perhaps most crucially, a founder of the neopolicial genre in Latin America. His books have been published in 29 countries and translated into nearly as many languages. In addition to being a prolific writer, he is an active member of the international crime writing community and organizes Semana Negra or “Noir Week” in his native Gijón. He has won the Latin American Dashiell Hammett Prize three times, as well as the Mexican Premio Planeta, and several other awards for international crime fiction. About the Translator: Laura C. Dail graduated from Duke University and received her Master’s degree in Spanish from Middlebury College. She has served on the board of the Association of Authors Representatives (AAR) and currently chairs the AAR Royalties Committee. A literary agent as well as a translator, she is the head of the Laura Dail Literary Agency.

À quatre mains

« En bon mexicain, Héctor Belascoarán Shayne n’était pas du genre à s’effrayer devant l’absurde.» Borgne, il voyait seulement la moitié de ce que voyaient les autres, mais de façon plus nette... Alors quand un homme récemment assassiné téléphone d’outre-tombe pour accuser un certain Morales, responsable d’extrême droite coupable d’exactions tant à Mexico qu’au Chiapas, Héctor se met en chasse.Rejoint par Elías Contrarios, enquêteur dépêché tout exprès par le sous commandant Marcos, il se laisse entraîner dans des pérégrinations surréalistes fertiles en révélations fracassantes.Paco Ignacio Taibo II, auteur de nombreux romans publiés chez Rivages et d’une monumentale biographie du Che, et le sous commandant Marcos, personnage emblématique de la contestation indienne, se délectent ici de tous les codes du feuilleton, mais derrière la fantaisie pointe toujours la dénonciation des maux du Mexique : corruption, injustice, arbitraire, assassinats.

Des morts qui dérangent

La fanfara sta eseguendo le ultime battute di una marcia militare quando Fermín Valencia, poeta per vocazione e pubblicitario per fame, vede un uomo che sale rapidamente sul palco, poggia una pistola sulla tempia del suonatore di trombone e preme il grilletto. Il musicista cade stecchito. Qualche giorno dopo Pioquinto Manterola, incorruttibile cronista di nera, mentre sta fumando una sigaretta alla finestra vede precipitare un uomo dal palazzo di fronte. I due fatti, al principio tenuti insieme solo dalla parentela tra i due assassinati, diventano l'argomento di discussione di uno strambo gruppo di amici composto, oltre che da Valencia e da Manterola, dal cinese Wong e dall'avvocato Verdugo, che si riunisce sempre nello stesso bar per giocare delle interminabili partite di domino. Il poeta, il giornalista, il cinese e l'avvocato iniziano a mettere insieme le tessere del puzzle per fare luce su una storia che sembra incomprensibile. Ma come in un copione scritto da un regista distratto, che ha dimenticato di assegnare alcune parti della commedia, le morti misteriose continuano a susseguirsi senza tregua e nell'atmosfera turbolenta degli anni successivi alla rivoluzione messicana la posta in gioco diventa all'improvviso la loro stessa vita.

L'ombra dell'ombra

Certains disent qu'Emiliano Zapata n'est pas mort et que c'est son double qui a été assassiné. D'autres sont ingénieurs dans une usine au bord de la grève et se font tuer. D'autres encore persécutent une adolescente, fille d'une actrice de films pornographiques. Héctor Belascoarán Shayne, détective privé, va essayer de retrouver Zapata, découvrir les assassins d'ingénieurs et de venir au secours de la jeune fille. Comme si une seule de ces histoires n'était pas suffisante, il s'attelle aux trois en même temps ?! Totalement irrationnel. Mais être un privé à Mexico ne relève-t-il pas de la folie ??

Paco Ignacio Taibo II a obtenu le Prix Hammett pour «La vie même» (Rivages/Noir) et «À quatre mains» (Rivages/Noir).

Cosa facil

Ernesto Guevara connu aussi comme le Che, tome 1

Voici "la" grande biographie latino-américaine d'un héros latino-américain. Le mythe et l'image du Che hantent les imaginaires, symbole de l'utopie pour les uns, héros d'une révolution impossible mais nécessaire pour leurs autres. A partir d'un important matériel en partie inédit, archives cubaines, journaux intimes, témoignages et photos, Paco Ignacio Taibo II nous fait rencontrer Ernesto Guevara au-delà du mythe du Che. Cette fresque historique extraordinairement documentée devient sous la plume de l'écrivain un roman d'aventures unique qui révèle un personnage complexe et surprenant : le guérillero insolent, moqueur et dur, surtout avec lui-même, laisse place à un homme différent de celui qu'on croyait connaître.

Ernesto Guevara, connu aussi comme le Che - Tome 2

Le détective borgne Hector Belascoaran Shayne se voit confier une mission par une jeune avocate : retrouver un mort... qui n'est pas mort. Elle défend l'instituteur et syndicaliste Medardo Rivera, accusé d'avoir tué un certain Lupe Barcenas. Mais le jour du meurtre, le suspect assistait à une réunion de famille en compagnie de deux cent cinquante personnes. Quant à la victime présumée, elle a été aperçue post mortem en train de trinquer avec les dirigeants de la police locale !Aidé par un ancien élève de Rivera, Hector se lance sur la piste de Barcenas...Inspiré par une authentique révolte d'enseignants à la fin des années 80 à Oaxaca et au Chiapas, ce livre totalement jubilatoire met à nu la mascarade sinistre du système politico-judiciaire mexicain. Rébellion, humour et poésie surréaliste, telles sont les armes préférées de Paco Taibo, qui a l'art de s'indigner avec élégance.

Mexico Noir

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Critiques

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