Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Fontargente

Le Père Noël des wagons-lits

La sagesse de porcelaine

Rajuste ta couronne et pars coquelicot...

Si l'on devait appliquer à Louis Amade la définition de Béranger : « Mes chansons, c'est moi », on obtiendrait l'image à la fois précise et légère d'un chansonnier sensible et fort. Qui n'a fait siennes des paroles que Louis Amade improvisa de manière définitive - don miraculeux du poète - à croire qu'elles surgirent de lui et comme par enchantement déjà presque aussi musicales que Gilbert Bécaud les rendit ? Bécaud-Amade : leur éloge n'est plus à faire - et tous deux sont connus comme leurs airs et leurs chansons. Mais c'est une autre face de son talent multiple que Louis Amade nous révèle dans ce livre, formé de traits et d'anecdotes tantôt badines, tantôt graves. Un mémorialiste émouvant qui sut retenir de la vie, de ses épreuves et de ses joies, des moments qu'il interpréta selon son coeur et sa raison. Dans son jardin de souvenirs où Louis Amade nous entraîne, et bien qu'il nous le dise en prose, l'important, toujours, c'est la rose.

Vous nous chanterez bien quelque chose

Les chevaux blancs de Salamanque

Si l'on devait appliquer à Louis Amade la définition de Béranger : « Mes chansons, c'est moi », on obtiendrait l'image à la fois précise et légère d'un chansonnier sensible et fort. Qui n'a fait siennes des paroles que Louis Amade improvisa de manière définitive - don miraculeux du poète - à croire qu'elles surgirent de lui et comme par enchantement déjà presque aussi musicales que Gilbert Bécaud les rendit ? Bécaud-Amade : leur éloge n'est plus à faire - et tous deux sont connus comme leurs airs et leurs chansons. Mais c'est une autre face de son talent multiple que Louis Amade nous révèle dans ce livre, formé de traits et d'anecdotes tantôt badines, tantôt graves. Un mémorialiste émouvant qui sut retenir de la vie, de ses épreuves et de ses joies, des moments qu'il interpréta selon son cour et sa raison. Dans son jardin de souvenirs où Louis Amade nous entraîne, et bien qu'il nous le dise en prose, l'important, toujours, c'est la rose.

Pardonnez-leur... a été publié pour la première fois en 1953, par les éditions Ferenczi à Paris. Lors de l'un de ses nombreux passages sur France-Inter, dans l'émission de Jean-Charles Aschero, "Les choses de la nuit", Louis Amade a lu de larges extraits de son roman. Le nombreux courrier reçu le lendemain de cette émission, prouve - s'il en est besoin - que ce roman garde tout son impact et que sa réédition s'impose. Voilà qui est fait. Laissons le dernier mot à l'auteur : « Je livre aux hommes ce que les hommes ont jugé ».

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Résumé

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