La vache et le corbeau

Grâce au développement de la photographie et aux travaux de Le Goubey ou de l'abbé Dubosq, entre autres, qui sillonnent villes et campagnes tels de véritables ethnologues, les Normands deviennent les héros de leur vie quotidienne.

Tout ce qui fait la particularité de la Normandie s'offre désormais à la vue de tous : les foires et les marchés, les scènes de la vie des pêcheurs, la fabrication du cidre et de l'eau-de-vie, la traite des vaches, les petits métiers, le barattage du lait, la dentelle, la cueillette des pommes, les fêtes populaires, les plaisirs et les jeux, mais aussi le monde urbain, la vie politique, le sport et les moyens de transport. On n'hésite plus à photographier les gens avec leurs vêtements de tous les jours : la blaude et la gapette, la bonnette, le tablier et le châle.

C'est en partie grâce à ce travail photographique que nous pouvons vous inviter à cette découverte de la Normandie à la Belle Époque.

Découvrir la Normandie à la Belle Epoque

"Face au peloton d'exécution qui allait le fusiller le 17 août 1946 à 7 h 05 à Alençon, Bernard Jardin, très pâle, prononçait d'une voix assez faible ses derniers mots : « Vive le national socialisme », puis avant que les balles ne fusent, il ajoutait « Et vive la France quand même ». À notre connaissance, Bernard Jardin demeure le seul auxiliaire de la Sipo-SD en Normandie à proclamer jusqu'au bout son adhésion au national-socialisme. Pourquoi ce jeune homme commis boucher choisit-il délibérément le camp nazi ? L'appât du gain l'amène d'abord à monter des affaires de marché noir. Repéré par Hildebrandt, le chef roué et manipulateur de l'antenne ornaise du Sipo-SD, Bernard Jardin devient d'abord agent de renseignement avant de prendre la responsabilité d'opérations contre la Résistance ornaise ; en quelques mois, lui et son équipe, portent des coups très durs à celle-ci. D'abord enquêteur, Jardin frappe et torture ses victimes avant de devenir un assassin."

Bernard Jardin : gestapiste normand

Die Strände Der Alliierten Landung

Cet ouvrage recense le patrimoine de deux siècles d'évolution des télécommunications. Il s'inscrit dans la collection " Le Patrimoine des Institutions françaises ". Un travail de recherche systématique a permis de répertorier les documents d'archives, les infrastructures, le matériel, les outils, les objets du quotidien, les bâtiments, autant de témoins qui se font l'écho d'une histoire des moyens de communications intimement liée à l'évolution économique, politique et sociale de la France. Outil de référence, Le Patrimoine des télécommunications françaises est aussi un ouvrage facile d'accès qui privilégie le plaisir de la lecture. En 568 pages, plus de 1 700 notices et 1 700 photographies en couleurs, Le Patrimoine des télécommunications françaises offre un regard nouveau sur les diverses techniques de communications que sont la télégraphie aérienne, la télégraphie électrique, le téléphone, les câbles sous-marins, la TSF, la radio, la télévision et les satellites tout en mettant en lumière leur rôle dans notre vie quotidienne.

Le patrimoine des télécommunications françaises

Plages du débarquement

Caen un château dans la ville

Le mardi 6 juin 1944 était lancée la plus importante opération amphibie jamais réalisée dans l'histoire de l'humanité. Plus de 150 000 soldats venus sur 7 000 navires de toutes sortes abordaient les côtes du Calvados et de la Manche. Du 6 juin au 12 septembre 1944, sur les plages, dans les haies du Bocage et dans la plaine de Caen, les combats furent violents, mais victorieux. Ici Yves Lecouturier illustre comment l'opération Overlord a été préparée, exécutée et réussie afin de commencer à libérer la France et l'Europe.

La vache et le corbeau

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