Chifchif vivait paisiblement avec son père et son bouc Assoumane-el-bique. Tout bascula le jour où son père se remaria... Une fabuleuse histoire transmise à l'auteur par sa grand-mère maternelle, gardienne de la Mémoire à Milépvani aux Comores.

Chifchif et la reine des diables - Conte bilingue français-comorien

Je m'appelle Sambafum ou Roi-de-Lance. A Mayotte, je passais paisiblement mes jours entre les baobabs centenaires et les cocotiers géants, l'esprit bercé par les deux étoiles qui faisaient battre mon coeur : Madame Hanquart, la documentaliste du collège, et Hassanati, mon amie de toujours. Mais Hassanati devint fille-mère, à douze ans. Elle partit pour Marseille et moi, je restai à Mayotte. Nous reverrions-nous un jour ? La vie est parfois une bonne fée qui exauce nos voeux les plus chers.

Hassanati - De Mayotte à Marseille

Naïa et le tam-tam sacré

Le sang de l'obéissance

Pour sublimer l'acte de manger, enjeu de la collection, l'auteur a choisi la forme du conte, un conte à rebours, prenant place aux Comores, dans l'ombre affamée du volcan Karthala. Le dévoreur s'apprête à s'étendre et se répandre en une féroce éruption. Sur ses flancs, pleins de la promesse des braises, des hommes et une femme palabrent. Ils content les délices du verbe pour rassasier le volcan qui attise le braiser de sa propre faim. Ils savourent ensemble les mots pour apaiser les cœurs, peut-être forcer le sort, se retrouver enfin au Shahula, le repas des frères.

A feu doux

Rabah et Karim sont nés et vivent à " Belle Ile ", quartier Nord de Marseille. Lorsqu'ils obtiennent leur diplôme universitaire de technologie en techniques de commercialisation, ils pensent trouver rapidement et facilement un emploi. Ensemble, ils vont découvrir les dures réalités du marché du travail : exploitation, mensonges, précarité et surtout ségrégation raciale. Aspiré par le chômage et l'exclusion, le jeune Karim perd tout espoir et dérape. Mais jusqu'où glissera-t-il ?

L'odeur du béton

Un jour une maman accompagna son grand fils à l'école. Il retourna aussitôt dans sa maison. Il n'aimait pas l'école, ce petit garçon-là. Il n'y alla plus et passa tout son temps à jouer avec les cabris de son village. Alors, il devint Daba Wure, un idiot-baveur. Dans ce livre, tu découvriras les aventures pittoresques et amusantes de cet enfant qui n'aimait pas l'école.

Daba, l'enfant qui n'aimait pas l'école

Né le 20 juin 1972 aux Comores, Salim Hatubou est l'un des pionniers de la littérature comorienne d'expression française.Dans Les démons de l'aube, il dépeint avec lucidité la société actuelle de son archipel et dénonce avec verve et humour le sort d'une génération entière de petits Comoriens négligés par des gouvernements successifs. Ce roman est un hymne à l'enfance, à l'école et aux enseignants sans qui le pire est à présager.

Les demons de l'aube

Le anda, mariage traditionnel, régit la société comorienne. S'il fait le bonheur des uns - les hommes qui acquièrent un noble statut social et la famille qui voit son honneur agrandi - il engendre des victimes : ces jeunes filles contraintes d'accepter un mariage imposé par leur famille. Dans Le sang de l'obéissance, dialoguent la désolation et la réclusion de Fatma, dix-sept ans, forcée d'épouser Toufik, âgé de soixante ans. Le sang de l'obéissance est écrit pour que parle le silence.

Chifchif et la reine des diables - Conte bilingue français-comorien

Résumé

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